statistiques web gratuite

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

13/10/2022

Une lettre de menace ?

Ce soir, j'ai trouvé ce petit papier dans ma boîte à lettres. Aucune signature, aucun logo identifiable... Greta, c'est toi ?

greta.jpg

12/10/2022

Merci Monsieur Harari

« Le moyen le plus immédiat pour capter l'attention des populations est de les effrayer. C'est ainsi que nous sommes faits, exactement comme des animaux. Donc si vous voulez détourner l'attention du public de problèmes telles que la corruption du gouvernement, ou la détérioration du système de santé ou du système éducatif, la meilleure chose à faire est de désigner un ennemi extérieur qui menace la survie de la nation et qui monopolise immédiatement toute l'attention.

[...]

Il y a moins de possibilité de critiquer le gouvernement parce que vous risquez d'être immédiatement désigné comme un traître. En tant de guerre, quand il y a une urgence nationale, nous devons tous nous unir autour du gouvernement et quiconque s'oppose ou critique le gouvernement est un traître. C'est pourquoi très souvent, même dans une situation où il n'y a aucune menace réelle, les dirigeants fabriquent des menaces artificielles. »

Yuval Noah Harari

 

11/10/2022

Une explication

sp.jpg

Source : pascalbul

 

10/10/2022

Chronique du temps de la Covid 19 (121)

En première page du 20 minutes d'aujourd'hui :

masque.jpg

Et la page 6 si ça vous intéresse.

 

Méga sublissime !

simone.jpg

À la vision de Simone, le voyage du siècle d'Olivier Dahan Le Journal du dimanche semble avoir frôlé l'extase. De mon côté je note qu'un acteur noir peut interpréter le rôle de Jules César et une actrice noire celui d'Anne Boleyn, mais que pour Simone Vieil il est nécessaire d'avoir recourt à Elsa Zylberstein parce que... faudrait pas non plus...

09/10/2022

Musique (630)

Will I ever

Yorina

Autumn

Chelsea Wolfe

08/10/2022

Un soir en octobre

Hier soir au restaurant, à quelques tables de moi un couple et leur enfant que je n'avais pas remarqués auparavant se lèvent pour accompagner celui-ci aux toilettes. Je le comprends aux gestes explicatifs du serveur. Ils ne reviendront pas, ils ont dû régler l'addition et partir en suivant. Les parents doivent avoir une petite soixantaine, leur fils moitié moins même s'il est difficile de lui donner un âge. Il est maigre, marche difficilement, ses mouvements sont désordonnés et a besoin d'être guidé et soutenu ; il souffre vraisemblablement d'une atteinte neurologique. Alors que je profite en terrasse d'une douce soirée d'automne en agréable compagnie je pourrais n'apporter aucune attention à cette scène, après tout la vie est ce qu'elle est, ou être dérangé par cette intrusion d'une dure réalité dans un moment plaisant, ou bien encore être simplement attristé. Et pourtant, je ne ressens rien de la sorte ; si je suis ému c'est par la tendresse qui se dégage de ce couple vieillissant envers leur grand enfant. Malgré l'époque difficile, le temps qui passe, les inévitables questionnements sur l'avenir, ce soir ils ont amené leur fils au restaurant, parenthèse dans un quotidien que je devine souvent pénible. À ma table personne ne semble avoir remarqué la scène qui n'a pas dû durer plus de deux ou trois minutes. Je ne connais pas cette famille et je ne la reverrai sans doute jamais, mais j'espère qu'elle a passé une bonne soirée.