06/05/2024
Un peu d'humour (66)
20:06 | Lien permanent | Commentaires (8)
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Commentaires
La vraie question, c'est le pourcentage à partir duquel le massacre change de dimension.
Un personnage d'Abellio mesurait les époques à la quantité des victimes et à la qualité des tueurs ; à notre grande époque, il aurait des ennuis, tout fictif qu'il était.
Le G.I.C. Jalons n'oserait plus, aujourd'hui, faire figurer sur ses cartes de géopolitique la désopilante mention "Génocide homologué par l'O.N.U."
Écrit par : BR | 07/05/2024
BR > A tous les crétins qui répètent que ceux qui ignorent le passé sont condamnés à le revivre : faudrait-il encore le comprendre.
Écrit par : Pharamond | 07/05/2024
La première image me rappelle le boulot. Ça me rendait dingue en plus ces débiles n'étaient même pas foutus de rédiger une note de service sans faire une faute par mot. J'adorais corriger celles qui étaient affichées.
Écrit par : Paul.Emic | 08/05/2024
oups ! la seconde image
Écrit par : Paul.Emic | 08/05/2024
Paul.Emic > La langue anglaise a de pratique d'être souvent lapidaire et de gagner du temps par rapport à la nôtre. Nous ne pouvons rien contre l'usage de certains mots, mais la complaisance dans l'utilisation de la langue de nos maîtres pour faire moderne tout en reconnaissant sa servitude est ridicule et malsaine.
Écrit par : Pharamond | 09/05/2024
oui, dans le dessin on est en plein dans cette folie linguistique
Écrit par : Paul.Emic | 12/05/2024
Paul.Emic > Et le trait est à peine forcé.
Écrit par : Pharamond | 12/05/2024
à peine, j'atteste
Écrit par : Paul.Emic | 12/05/2024
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