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23/08/2024

Un peu d'humour (76)

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- Ça avait encore un coté bon enfant.

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Pépiements (258)

Le système actuel ne cherche pas à convaincre, seulement à livrer un prêt-à-penser superficiellement cohérent qui fonctionne parfaitement si des individus interagissant entre eux l'utilisent unanimement et intégralement, mais intenable face à un argumentaire logique et contradictoire. D'où la propagande et la désinformation permanentes et la chasse féroce aux pensées et aux individus considérés comme non conformes.

22/08/2024

C'est vu (46)

Dans une petite ville des Vosges tel que l'imagine un bobo parisien une policière enquête sur un double meurtres et un gendarme sur des disparitions d'enfants. On prend du pseudo folklore local, du réseau pédocriminel, du trafic de drogue, des héros tourmentés, des habitants locaux crétins ou pervers, on touille, on étire le film pour faire mystérieux et on obtient Le Mangeur d’âmes d'Alexandre Bustillo et Julien Maury, une bouillie made in France qui lorgne vers le polar glauque américain. C'est mal joué, racoleur, truffé de clichés et d’invraisemblances. Je ne sais pas qui a mangé l'âme du cinéma français, mais il devait avoir bon appétit car il n'en reste pas une miette.

21/08/2024

Musique (691)

Suite en la gavotte et six doubles

Jean-Philippe Rameau

Pépiements (257)

Bien mieux que les dates du calendrier des pompiers accroché dans la cuisine une fleur et une baie balisaient mes années d'école communale. Les coquelicots qui tachetaient de rouge les bas-côtés et les champs en friche m'annonçaient les grandes vacances libératrices et les mûres sauvages, plus difficiles à trouver car il fallait connaître les bons endroits, la rentrée des classes et ses contraintes. Entre le soleil de juin et la rosée des matins de septembre il me semblait alors s'écouler une éternité. Tandis que mes souvenirs d'enfance s'estompent chaque année un peu plus j'éprouve toujours une légère émotion en apercevant les premiers coquelicots sortis de leur bouton ou en m’arrêtant au détour d'un chemin près d'un généreux roncier pour en déguster les fruits.

20/08/2024

Pépiements (256)

Massacres, guerres, colonisation, esclavage, racisme... Sincèrement, je n'éprouve aucune repentance pour ce que la civilisation occidentale a pu faire lors des siècles précédents. Les autres peuples en auraient fait autant si les moyens techniques ne leur avaient pas souvent manqué. Ne pas l'admettre constitue paradoxalement une certaine forme de racisme. C'est accepter que les races soient différentes puisque les "autres" seraient meilleurs que "nous" ou tolérer les horreurs qu'ils ont pu commettre parce qu'ils seraient plus "primitifs".

Curieusement l'anéantissement méthodique de la bande de Gaza qui se déroule en direct n'émeut pas grand monde ; on ergote sur le bien fondé de l’opération israélienne, on discute de l'acception du terme génocide, on réclame mollement une retenue de la part de Tsahal... Bref, on regarde ailleurs quand on n'est pas ouvertement du côté des bourreaux. Que je le veuille ou non je fais partie d'un pays qui approuve cette monstruosité et je me sens sali, j'ai l'impression que quoi qu'on puisse nous faire, quoi qu'il puisse nous arriver nous le mériterons. Agrippés à notre confort auquel nous ne devrions plus avoir droit, pleurnichant sur nos petits malheurs nous mourrons haïs et déshonorés. Ces derniers mois nous ont maudits.

19/08/2024

Pépiements (255)

Les JO, le 80e anniversaire du débarquement de Provence, le décès d'Alain Delon ; jusqu'ici Macron et les médias ont eu de quoi reporter les questions essentielles, mais cela ne va pas durer et il ne sera pas possible de reporter indéfiniment les annonces qui fâchent. Dans le doute, à la place de Brigitte Bardot je resterais sur le qui-vive.