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10/06/2015

Le secret

Les Brigandes

La loge des Jacobins

09/06/2015

Milk-shake

Les requins au cinéma depuis Les dents de la mer et surtout l’avènement des images de synthèse on en a eu de toutes les sortes (mais surtout nanardesques) et de toutes les tailles. Les zombies, c'est la mode en ce moment et les nazis sont indémodables. Bref, des petits rigolos ont décidé de mixer le tout pour faire Sky Sharks.

Une histoire de géologues qui découvrent dans l’Antarctique un ancien labo nazi où l'on travaillait sur l'art et la manière de faire voler des zombis à califourchon sur des requins pour l'utiliser comme arme de guerre. Le bazar se remet à fonctionner et va faire du vilain.

En quête de financement (75 000€), l'équipe de tournage a ouvert une souscription sur Kickstarter.

Shy Sharks

08/06/2015

Je suis chat (3)

La protection des animaux ne remet bizarrement pas en cause le rendement productiviste

L’animal a toujours pris une part importante dans la vie des hommes, le cheval ou encore le chien ont toujours eu une place importante auprès des hommes dans l’histoire, sans compter les différentes références aux animaux à travers la religion et les mythes. On sait aujourd’hui que les néandertaliens disposaient dans leurs grottes de crânes d’ours, faisant ressembler celles-ci à des églises préhistoriques ; Mahomet avait obtenu une place pour les chats dans son royaume ; culte du taureau Apis à Memphis (Caire) ; ou, dernier exemple avec l’Egypte Antique : dieu chacal Anubis, dieu faucon Horus, ou déesse chat Bastet.

Dans son célèbre ouvrage L’Enracinement, Simone Weil développe une déclaration, non pas des droits de l’homme, mais des devoirs de l’homme envers l’homme. Depuis le célèbre livre de Peter Singer La libération animale, il y aurait même un droit des animaux, fondé sur leur capacité à souffrir. Bien sûr, et en toute logique, il y avait déjà des outils législatifs pour interdire les sévices faits aux animaux, s’approchant plus d’une notion de devoirs de l’homme envers l’animal. Mais la loi du 16 février 2015 est intervenue, contenant une disposition où, « les animaux sont des êtres vivants doués de sensibilité. […] les animaux sont soumis au régime des biens ». Deux points sont importants ici, non seulement le Parlement estime que les animaux sont doués de sensibilité, mais en plus, et paradoxalement, ils sont soumis au régime des biens.

Entendons-nous, le propos ici n’est pas anthropocentrique mais bien de décortiquer les solutions prises par les gouvernants, qui sont idéologiques mais n’ont aucune cohérence doctrinale.

Ainsi, la proximité historique et traditionnelle n’est pas remise en cause. Ce qui est remis en cause, c’est d’une part la reconnaissance légale de leur sensibilité, et d’autre part de les lier au régime des objets. Cette nouvelle rédaction de l’article 515 du Code civil est à mettre en lien avec l’article L 214 du Code rural et de la pêche maritime qui indique que « Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce ». D’accord, mais alors, pourquoi ne pas remettre en cause et directement au Parlement la ferme des milles vaches ou encore la nouvelle exploitation de plusieurs centaines de cochons ainsi que les différents sites industriels d’exploitation des animaux ? Pourquoi ne pas légiférer aussi sur l’interdiction d’utiliser les animaux comme cobayes, pharmaceutiques ou cosmétiques, alors que l’on connaît les souffrances horribles induites nécessairement par ces traitements ? Pourquoi ne pas interdire l’abattage rituel ? Concernant l’abattage classique, pourquoi ne pas demander un abattage direct au lieu de l’utilisation de matraques électriques qui font tout sauf endormir l’animal ? Quid de l’interdiction des expérimentations ? De manière expresse, les législateurs ont mis en avant leur propre hypocrisie, leur donner une sensibilité tout en les considérant comme des choses, ce qui ne remet pas en cause la vision des animaux dans le système libéral.

Cet amendement législatif n’est que de la poudre aux yeux qui occulte un problème bien plus grand concernant la cruauté exercée sur les animaux. Plus de 2 millions d’animaux sont utilisés chaque année en expérimentation en France, et près de 12 millions pour l’Union européenne. Il faut savoir que le programme REACH sur les produits chimiques a entraîné 16 millions d’animaux sacrifiés pour tester 30 000 substances chimiques sur le marché européen avant 1981 (il semblerait que 90% de ces animaux ont été utilisés pour étudier des effets secondaires sur la reproduction).

Encore une fois, l’idéologie et les bons sentiments sont intervenus dans un cadre qui occulte toute cohérence et tout raisonnement. A titre indicatif, la personne coupable de sévices pourra être condamnée à de la prison, une amende, mais aussi à la confiscation de l’animal ; ce qui est surprenant, c’est que le nouvel article du Code civil explique cependant – concernant la confiscation de l’animal –que « cette interdiction n’est toutefois pas applicable à l’exercice d’un mandat électif ou de responsabilités syndicales » ; il faudrait qu’on nous explique pourquoi les corrompus ont introduit cette immunité pour eux.

Dernier point, cette « avancée » a été le sujet d’une grande causerie chez les progressistes (Michel Onfray, Alain Finkielkraut, Luc Ferry, Jacques Julliard), bref, des « intellectuels »non-juristes. Cette vision progressiste remet en cause les traditions ancestrales de la corrida, de la chasse et de la pêche, sans connaître l’histoire : depuis le développement de l’agriculture, la chasse était une nécessité pour protéger les cultures… Surtout, ces « intellectuels » faussaires se battent pour donner la personnalité juridique aux animaux (ce qui rentre dans la droite ligne des prométhéens qui souhaitent se marier avec un animal), alors que cela n’a jamais été le souhait des défenseurs des animaux classiques.

Comme le rappelle le Professeur émérite Philippe Malinvaud de Paris II, au regard de la nouvelle loi, tout animal est concerné : des mammifères en passant par les tétrapodes (reptiles, serpents, crocodiles, tortues), tous les insectes, coquillages, mollusques, jusqu’aux poissons ou anémones de mer. Doit-on donc désormais poursuivre une personne qui aurait écrasé une araignée ? Techniquement, selon la rédaction du texte, cela pourrait être possible. Allant plus loin, Philippe Malinvaud explique que « dans le même esprit, pourquoi n’y mettrait-on pas aussi les végétaux dont on rappellera que ce sont aussi des êtres vivants mais qui, à la différence des animaux, n’ont ni bouche, ni système nerveux, ni organes locomoteurs. Sont-ils pour autant dépourvus de sensibilité ? »

Surtout, et à contre-courant de ce que voulaient les rédacteurs socialistes-libéraux, cela permet d’ouvrir un porte pour demander l’interdiction de tous les pêcheurs qui utilisent les filets ratissant les fonds marins, de faire condamner les agriculteurs productivistes, d’interdire la fracturation hydraulique, de demander l’interdiction des pesticides, d’interdire la ferme des mille vaches, de demander l’arrêt de la construction de l’aéroport NDDL, d’arrêter la construction du barrage de Sivens, de faire interdire les expérimentations sur les animaux, etc…

Bien sûr, tout le monde aura compris que la loi ne touchera jamais aux grands cartels, car les hommes politiques nous ont appris qu’on pouvait marcher tête haute tout en brandissant l’arme de l’hypocrisie et de la fausseté. Une fois de plus, il est démontré que le progressisme est une aberration idéologique et que la protection de l’environnement doit être fondamentalement liée à la nécessité et l’urgence d’une prise en compte de l’écologie radicale.

Source : Dextra

 

04/06/2015

Projections

Aux prochaines élections j'envisage trois possibilités quant à mon devoir de citoyen :

 

Aller voter FN parce que c'est mieux que rien.

Le pour : On a l'impression d'agir.

Le contre : On perd du temps en entretenant la fiction du jeu démocratique.

 

Ne pas aller voter parce que ça ne sert à rien.

Le pour : Ce n'est pas fatigant.

Le contre : Nos dirigeant s'en fichent.

 

Mettre dans l'urne un bulletin avec A[censuré] H[censuré] écrit dessus en gothique parce que c'est rigolo.

Le pour : Ça peut faire s'étrangler le gugusse qui dépouille.

Le contre : Ce n'est pas très constructif.

 

J'hésite.

L'art de cracher sur les tombes (3)

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« Werner Mölders, né le18 mars 1913 à Gelsenkirchen et mort le 22 novembre 1941 à Breslau, était un officier de la Luftwaffe et un as de la chasse aérienne durant la Seconde Guerre mondiale. »

« En 1968, les États-Unis cédèrent à la Bundesmarine 3 destroyers. Tous portaient des noms d'officier du 3e Reich, Rommel, Lütjens et Mölders. Le Mölders fut en service de 1969 à 2003. Depuis le 24 juin 2005 il est la pièce maîtresse du musée de la marine allemande à Wilhelmshaven (Deutsches Marinemuseum Wilhelmshaven).

Le 9 novembre 1972 la caserne du 34e régiment de transmissions de Visselhövede reçut aussi le nom de "Mölders".

Depuis le 22 novembre 1973, l'escadrille de chasse n°74 (Jagdgeschwader 74) stationnée à Neubourg sur le Danube portait également le nom de "Mölders".

Mais en janvier 2005 le ministère de la défense d'Allemagne décida que des installations de la Bundeswehr ne devaient plus porter le nom de Mölders. Cette décision faisait suite à une demande, effectuée par le parti de la gauche PDS, de mettre en application une loi promulguée lors du 60e anniversaire du bombardement de Guernica par le parlement allemand qui stipule que les membres de la Légion Condor ne devaient plus être honorés.

Divers membres de la Bundeswehr, dont le premier commandant du destroyer "Mölders", protestèrent contre cette décision en argumentant que Mölders n'avait pas participé à l'attaque contre Guernica et que, de par son orientation plutôt chrétienne, ses liens avec le national-socialisme furent plutôt très minces. Une pétition de protestation qui circulait au sein du JG 74 a dû être arrêtée suite à des pressions du ministère et, malgré les protestations d'hommes politiques régionaux, le Jagdgeschwader 74 "Mölders" a été renommé le 11 mars 2005 en Jagdgeschwader 74. » 

Source : l'article de Wikipédia

03/06/2015

Les V. C. sont au fond du couloir

Pendant la Guerre du Vietnam les combattants du Viet Cong étaient désignés "Victor" "Charlie" selon l'alphabet phonétique de l'OTAN ou plus simplement "Charlie". Les Viet Cong firent le sale boulot pour le Vietnam du Nord pendant plus d'une décennie et après la réunification furent brutalement écartés du pouvoir par les hommes d'Hanoï.

C'est amusant et sans doute révélateur d'entendre aujourd'hui le populo brailler être Charlie en soutient à une bande de gauchistes qui servent le système.

Musique... (376)

Une sélection proposée par Anton.

Antoine Pesle

Amarsi un po

Gremlock

FIST

Marklion feat. Etienne Jaumet, Richard Cuvillier, Anne Sabatelli

Grande Camouflage