07/05/2015
Berlin
Des photos de la capitale allemande en 1945 et aujourd’hui. Si on fait abstraction des dégâts dus aux combats la ville était plus belle à l'époque, moins Style international.
19:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
05/05/2015
Tradition ou impécuniosité ?
21:44 | Lien permanent | Commentaires (5)
Musique (372)
Lunoee
Catharsis
Polyphony
Eve
The xx
Intro
18:01 | Lien permanent | Commentaires (0)
04/05/2015
La flamme
Un quart de siècle après la fin de la Seconde guerre Jean-Marie Le Pen avait rassemblé les braises éparses du nationalisme que les bombes démocratiques, le miracle des Trente glorieuses et le mirage gaullien n'avaient pas réussi à éteindre. Après les avoir attisées il avait entretenu la flamme ainsi obtenue. Voulait-il le pouvoir ? C'est peu probable, la période ne s'y prêtait guère. L'eusse-t-il eu c'eut été par un changement de mentalité du peuple venu à lui ou à la faveur d'une crise majeure, pas à coups de promesses putassières et de reniements. Les années ont passé et trop confiant en la génétique il a cru que sa fille était la plus apte à être sa dauphine. Il est difficile de savoir ce que celle-ci pense réellement mais une chose est sûre : elle veut le pouvoir et pense pouvoir l’obtenir. Alors Marine, la bien prénommée, n'hésite pas à tenter d'éteindre la flamme si chèrement conservée depuis si longtemps contre vents et marées. Pourtant l'époque est paradoxalement plus propice à un bouleversement capital que du temps de son père. Son manque de discernement la fait ainsi se plier à toutes les exigences d'un système devenu incapable de se renouveler et au bord de l'implosion. La flamme est de nouveau devenue flammèches dispersées même si Soral et Dieudonné en ont récupéré une partie, mais que de gaspillage et de temps perdue. À moins qu'une particule incandescente passée inaperçue jusque-là et presque morte ne mette par hasard le feu aux poudres.
20:17 | Lien permanent | Commentaires (13)
01/05/2015
C'est pour bientôt
22:40 | Lien permanent | Commentaires (7)
30/04/2015
Histoire... (119)
Ah, ces braves GI ! On leur a donné beaucoup mais ils en voulaient un peu plus...
Mais bon, n'oublions pas :
« Si les Ricains n'étaient pas là
Vous seriez tous en Germanie
À parler de je ne sais quoi
À saluer je ne sais qui... »
Viol de masse des Françaises en 1945
Viols, harcèlement : la face cachée de la Libération de la France - #ActuElles
20:22 | Lien permanent | Commentaires (2)
Ce mépris du peuple
“Élue par la mondialisation, une Nouvelle Classe politique médiatique s'est mise en place, qui associe dans un même élitisme de la richesse et du paraître, dirigeants politiques, hommes d'affaires et représentants des médias, tous intimement liés les uns aux autres (hors caméra, ils se tutoient et s'appellent par leurs prénoms) tous convaincus de la « dangerosité » des aspirations populaires. Alexandre Zinoviev, pour désigner cette Nouvelle Classe parlait de « supra-société ». Confrontée à un peuple qu'elle redoute et qu'elle méprise à la fois, elle constitue une autorité oligarchique qui s'emploie avant tout à préserver ses privilèges et à réserver l'accès du pouvoir à ceux qui émanent de ses rangs. Ce mépris du peuple s'alimente bien entendu de la critique d'un « populisme » assimilé désormais à n'importe quelle forme de démagogie ou d’« irrationalisme » de masse. Qui parle aujourd'hui du peuple s'expose par là même au reproche de « populisme ». Devenu une injure politique, le populisme est présenté comme une sorte de perpétuelle « maladie infantile » de la démocratie, dans une perspective à la fois péjorative et disqualifiante. Le recours au « populisme » fournit ainsi à la mise à l'écart du peuple une justification théorique, sinon savante. ”
Alain de Benoist
Krisis 2008
Via Zentropa
19:41 | Lien permanent | Commentaires (0)