Sont forts ces nazis ! (42)

Hitler - La naissance du mal est un téléfilm de Christian Duguay sur la super star du XXe siècle. La version française qui dure déjà deux heures et quart a pourtant été écourtée (censurée ?) de 50 minutes. Les séquences coupées montraient notamment la jeunesse d'Hitler, TF1 Vidéo jugeant sans doute que le futur chancelier devait rester une émanation luciférienne on ne le verra pas enfant, cela risquerait de le rendre trop humain. Même diminué de presque une heure le film reste une purge innommable, Robert Carlyle est aussi crédible dans le rôle d'Adolf Hitler que Gérard Depardieu le serait dans celui de l'empereur Hiro-Hito, le reste est à l'avenant. En fait, la pitoyable prestation de l'acteur et le manichéisme crétin de l'ensemble ne sont peut-être pas involontaires. Je m'explique : au vu de l'oeuvre on pourrait se demander comment un pantin hystérique au charisme de pétoncle seulement animé par la haine a fait pour enrôler une nation entière. "Par la haine, mon bon Monsieur, la haine suffit" me répondra-t-on car il ne peut s'agir que de cela, et c'est sans doute pour cette raison que depuis la politique de l'Europe n'est qu'amour : amour des étrangers, des sans-papiers, des islamistes, des criminels, des terroristes, des LGBT, des différents, des pas-pareils, des petits oiseaux et des grosses baleines.

 

La version TF1 Vidéo :

 

Et parce que je suis bon, la version longue :

Le jeu des deux images (186)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

 

Bribes d'Occident (17)

Deux évocations de Francis Hourlier des Guerres médiques à travers les batailles décisives de Marathon et de Salamine : des raccourcis mais intéressant et joliment mis en images.

 

Au nom d'Athènes : Vaincre à Marathon

 

Au nom d'Athènes  : Divine Salamine

Le jeu des deux images (185)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

Un soir de septembre à New-York

The disintegration loops - D|p 1.1

William Basinski

En août et septembre 2001, Basinski débute un travail sur un ensemble de quatre œuvres intitulées The Disintegration Loops. Les enregistrements sont basés sur de vieilles bandes magnétiques dont la qualité se dégrade. En tentant de sauver ces enregistrements sur un support numérique, les bandes se désagrègent progressivement.

C’est après le travail de remembrement de ses anciens enregistrements que William Basinski va saisir le sens de l’histoire. Nous sommes le 11 septembre 2001. William Basinski est à New-York. De son appartement situé à Brooklyn, il aperçoit une épaisse fumée qui s’élève dans le ciel. Il saisit alors sa caméra et filme de loin la fumée des tours du World Trade Center en écoutant The Disintegration Loops. La musique constituera la bande sonore de notre monde qui se dissout dans une incroyable mélancolie : l’entropie de l’anthropie.

Xavier Boissel, Précis de désintégration, revue littéraire et philosophique Inculte, no 18, p. 150-154

Source : l'article sur William Basinski de Wikipédia

 

Neuf bougies dans le yaourt

Cela fait aujourd'hui neuf ans que "Guerre civile et Yaourt allégé" existe.

 

Et tombera : « À Taubira, tu obéiras ! »

La loi pour le mariage des homos... pardon... pour tous, ça fait plus républicain, est passée. Je ne conteste pas le courage et la justesse du combat des opposants, mais la lutte était vouée à l'échec. Une reculade de la majorité l'aurait décrédibilisée aux yeux des lobbies qui la soutiennent (pas des nôtres, c'est déjà fait et elle s'en contrefiche) ce qui n'était pas possible pour la suite des festivités progressistes. Certes, les manifestants auraient pu s'abstenir d'avoir Frigide Barjot comme leader et éviter pour certains de s'affubler de bonnets phrygiens mais ce ne sont que détails, même si nos voisins helvétiques remarquent que c'est souvent là que le diable se cache. Bref, les Veilleurs peuvent continuer à veiller ça n'empêchera pas Taubira et sa clique de dormir sur leurs deux oreilles.