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21/03/2013

Musique (303)

 

Dexter Britain

The time to run

 

Celeste Buckingham

Bleeding

 

Roberto Cacciapaglia

Lucid dream

19/03/2013

Drumont, petite b*te

Ce soir France 2 diffuse le docu-fiction Drumont, histoire d'un antisémite français. Dans 20 minutes, on peut lire ce que pense Denis Podalydès du personnage qu'il interprète : « une crevure, un homme de lettres, mais profondément raté et profondément petit, un personnage antipathique, médiocre, sûrement d’une intelligence moyenne ». Je n'ai jamais lu Drumont mais cet avis subtil et nuancé ne m'incite pas à vouloir regarder ce téléfilm ; d'ailleurs je n'ai pas la télé.

 

17/03/2013

Cacosphère

La réacosphère, c'est un peu la cour de récréation :

- J'aime pas Bidule parce qu'il est pro sioniste !

- Moi, c'est Truc, parce qu'il m'a mal répondu dans ces commentaires. Tiens, je le retire de mes favoris !

- Machin, il apprécie ce con de Soral, c'est vraiment un nul.

- Faut-il être arriéré pour être catholique, seul Odin nous sauvera.

- Moi, je suis persuadé qu'une alliance russo-européenne nous sauvera des sionistes anglo-saxons.

- T'as raison les Juifs sont plus dangereux que les Arabes.

- Et puis dans le Coran il y a des principes qu'on ne trouve plus chez les gens.

- Le 11/9 c'est le Mossad, faut être débile pour croire le contraire.

- Les Palestiniens sont une création artificielle, heureusement que les Israéliens sont là pour les mater.

- De toute façon, y a trop de néo nazis dans nos rangs !

- Vive Chavez !

Etc. etc.

Ok, je suis pour les débats d'idées et la diversité d'opinions, mais les discussions parfois interminables au sein de la réacosphère ne sont souvent que des querelles d'ego stériles (peut-être parce à part ça il n'y a pas grand chose à faire). Si nos adversaires n'étaient pas aussi nuls et n'avaient pas autant de squelettes dans les placards ils n'auraient pas beaucoup à craindre venant de nous.

Sont forts ces nazis ! (41)

Dans le secret des villes (Cities of the underworld) est une série documentaire américaine qui nous fait visiter les sous-sols de différentes parties du monde. C'est sensationnaliste, historiquement un peu approximatif, mais on y apprend tout de même des choses intéressantes. Mais qu'est-ce que les nazis ont à voir ici ? Eh bien, dans chacune des trois saisons diffusées, il y un titre où le nom d'Hitler figure. Dans le première c'est Berlin, l'empire souterrain d’Hitler (Hitler's underground lair), rien à dire, la capitale du Reich était truffée de bunkers, c'est un fait. Dans la deuxième, on part en République tchèque avec Prague, le dernier secret d'Hitler (Hitler's Last Secret) et la ville souterraine bâtie par les Allemands afin de continuer l'effort de guerre. L'épisode de la troisième saison est le plus tirée par les cheveux : Belgique, dans les tranchées d'Hitler (Hitler's Trenches). Il s'agit des complexes de tranchées réalisés lors de la Première guerre mondiale et dans lesquels Adolf Hitler s'est battu comme n'importe quel soldat du Kaiser, il fallait oser le raccourci. Notez pour finir, l'association dans les titres d'Hitler avec empire souterrain, tanière dans le titre américain, dernier secret. Un peu de frisson à bon marché ça ne fait pas de mal.


D.LS.D.V. :Berlin : L'Empire Souterrain d... par bluekonnie
D.L.S.D.V:Prague : Le Dernier Secret d'Hitler... par bluekonnie
D.L.S.D.V.: Belgique: Dans les Tranchées Avec... par bluekonnie

16/03/2013

Ramallah

 

Une vision de Ramallah, la capitale de facto de l'Autorité palestinienne, cet hiver, loin des clichés où des silhouettes voilées ou armées se détachent sur fond de ruines poussiéreuses.

Le jeu des deux images (180)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

 

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15/03/2013

Trimestres

Et toute la France s’en est foutu...

J’ai publié sur la Toile le texte d’une conférence intitulée « l’Homme remplaçable ».  Je m’efforce d’y montrer que l’homme du Grand Remplacement, l’homme déculturé, décivilisé, désaffilié, dénationalisé, remplaçable à merci, l’homme que produisent en masse l’enseignement de l’oubli et l’industrie de l’hébétude, cet homme-là était celui que voulait l’économisme global, avec son souci d’interchangeabilité universelle. On ne répare plus, on remplace. On a commencé par remplacer les pièces, puis on a remplacé les objets, on en est venu à remplacer les hommes et à présent on remplace les peuples. La dimension économique du remplacisme ne m’échappe absolument pas. Et je suis bien conscient du rôle qu’a joué et continue de jouer le patronat - lequel déjà n’avait pas témoigné dans son ensemble, lors de la dernière guerre, un patriotisme excessif - en faveur de l’immigration de masse, de la contre-colonisation et du Grand Remplacement. D’un autre côté, je proteste de tout mon être et de toutes mes phrases contre l’économisme, la soumission de tous nos gestes, de toutes nos ambitions, de toutes nos pensées, de toutes nos idées de la patrie, et d’abord de la politique, à l’économie, à la seule conception économique de la vie. Songez qu’on a voulu nous convaincre qu’il fallait changer de peuple et accueillir à bras ouverts la contre-colonisation pour sauver notre système de retraite ! Quand il s’agit de l’indépendance de la patrie, je me fous du système de retraite. Et toute la France s’en est foutu tant qu’elle a été une nation et pas une zone d’influence économique, un marché. J’en parle d’autant plus à mon aise que de retraite je n’en ai pas, pratiquement. Ni de capital, d’ailleurs. Mais je refuse de soumettre toute ma vie à l’économie, et la France ferait bien d’en faire autant.

Renaud Camus, in revue Éléments numéro 144

Source : Zentropa