02/03/2016
Autrefois
La femme aux gants, dite La Parisienne de Charles-Alexandre Giron (1883)
Plus d'informations sur le site du Petit Palais
13:56 | Lien permanent | Commentaires (7)
01/03/2016
P... de siècle !
PORTRAIT DE LA PARISIENNE DU XXIE SIÈCLE 12 février 2015 Il travaille avec passion le sujet de la Parisienne depuis de longues années. Lui, c’est Baudouin Winckler, portraitiste et auteur de 75 portraits de « Parisiennes » incarnant à merveille la Capitale. Six ans de travail et plus de 250 séances, c’est le temps qu’il aura fallu au photographe pour réaliser cette sélection de portraits de femmes, posant chez elles, à Paris. Hommage donc à ces femmes, dont la diversité et la complexité ont déjà fait couler beaucoup d’encre. Voici un aperçu de la parisienne version XXIe siècle, icône de l’élégance et du savoir-vivre. |
Les images sont sur Paris ZigZag.
OK, c'est de l'art mais quand je vois ça je n'ai vraiment pas envie de prier pour Paris. Désolé.
21:58 | Lien permanent | Commentaires (4)
29/02/2016
En avant !
Si "être de gauche" signifie avant tout savoir "vivre avec son temps", les figures du mal et de la déraison se dégagent d'elles-mêmes. Tous ceux - ontologiquement incapables d'admettre que les temps changent - qui manifesteront, dans quelque domaine que ce soit, un quelconque attachement pour ce qui existait encore hier trahiront ainsi un inquiétant "conservatisme" ou même, pour les plus impies d'entre eux, une nature irrémédiablement "réactionnaire". Car s'il est une seule mauvaise pensée que l'homme de gauche doit s'interdire inconditionnellement de former - le salut de son âme progressiste et libérale en dépend - c'est bien celle qui voudrait que sur tel ou tel aspect de l'existence collective, les choses aient pu aller mieux avant.
Jean-Claude Michéa
Le complexe d'Orphée
21:26 | Lien permanent | Commentaires (2)
28/02/2016
Le jeu des deux images (242)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
20:13 | Lien permanent | Commentaires (13)
25/02/2016
Musique (409)
10:53 | Lien permanent | Commentaires (10)
C'est vu (21)
Dans Remember d'Atom Egoyan un survivant de la Shoah part se venger d'un nazi qui a tué toute sa famille. Le problème c'est qu'il souffre de trouble de la mémoire (ce doit être le seul dans la catégorie) ce qui n'aide pas. Attention spoiler : En chemin le justicier du troisième âge flingue un gros beauf policier néo-nazi et sa chienne Éva (!), puis un ancien SS et finit par se suicider quand il découvre qu'en fait il n'est pas juif mais criminel nazi lui aussi. Peu importe les circonstances, les faits exacts, les preuves, etc. ; pas de place sur Terre pour les suppôts d'Hitler !
10:33 | Lien permanent | Commentaires (4)
24/02/2016
Constats
"Le discours de l'Occident est intimidé parce que qu'après la défaite de l'Allemagne nazie, tout un vocabulaire a été, par les vainqueurs, rendu terrible et parce que, de ce fait, son utilisation est coupable. Or, ce vocabulaire n'était jamais qu'un contenant. Ni coupable, ni innocent. Un contenant, rien d'autre (comme le mot démocratie en est un lui-même, sauf que le contenu n'est pas le même à Prague ou à Paris). Nous assistons alors à ceci: ce vocabulaire terrorisé et maudit n'est plus utilisé, mais les contorsions auxquelles nous nous livrons pour l'éliminer de notre discours par traductions affaiblies ne vont pas sans conséquences, car nous finissons par penser de manière non moins affaiblie. Et le contenant pourrit le contenu, de la même façon que naguère au cours de l'autre opération à laquelle nous nous livrâmes. Le résultat est clair: nous devenons les Précieuses terrorisées et sodomisées du langage et, par inexorable conséquence, de l'action."
Jean Cau
Réflexions dures sur une époque molle
1981
"Ils sont sourds. Ils baptisent les lions moutons. Ils croient que le monde est une bergerie dont ils seront les pasteurs humanistes. Ils ne veulent plus savoir que toute vérité est une guerre, toute vie un combat, toute survie une âpre lutte. Ils ont oublié que la grandeur d'un peuple est d'abord faite de son égoïsme et que l'oubli de celui-ci le condamne à l'esclavage. Ils refusent de voir qu'on ne gagne jamais si on n'est pas habité par la rage de vaincre et que, pour être magnanime, il faut d'abord être vainqueur et qu'on est vainqueur que si l'on est fort. Ils sont sourds à ces simples cris."
Jean Cau
La Barbe et la Rose
1982
19:59 | Lien permanent | Commentaires (4)