statistiques web gratuite

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08/10/2015

Champ d'étoiles (18)

Samedi 9 août 2003

16me étape (2me de cette année) – De Pampelune à Puente La Reina - Environ 23 km

Temps beau et chaud avec un peu de vent. Quand je suis parti en pleine canicule on m'a dit que j'étais fou car j'allais souffrir encore plus passé les Pyrénées. C'est faux, bien qu'il fasse chaud la brise qui souffle ici permet de supporter la température. Pourvu qu'elle m'accompagne sur tout mon trajet. Au fait, quel temps fait-il à Bordeaux ?

Cette nuit j'ai dormi profondément mais pas longtemps entre couche-tard et lève-tôt. Parti à 7h15 en forme. Départ agréable au petit matin. On sort très vite de Pampelune qui de ce côté donne l'impression de ne pas avoir de faubourg. Il y a du relief mais l'étape n'est pas trop dure. Il semble y avoir des distributeurs de Coca dans chaque petit village.

Arrivé à Puente La Reina, je choisis une auberge privé à 6 € dans le sous-sol d'un hôtel 3 étoiles à l'entrée de ville. L’hôtesse est charmante. Les locaux avec sanitaires, cuisines, dortoir en boxe, lave-linge sont très propres. L'auberge publique située dans le bourg coûte 4 € est bondée. Le refuge se peuple avec notamment un groupe de Français qui se font suivre par une voiture pour porter leurs sacs, les premiers que je rencontre depuis Pampelune. Beaucoup d'Espagnols, quelques Allemands et un Asiatique d'origine inconnue. Les Français mixtes de quinquagénaires d'un bon niveau social sont bruyants, sûrs d'eux et condescendants. L'une des femmes ne demande-t-elle pas à un des ses compagnons : "C'est de l'eau potable dans les lavabos ?" Je sais qu'il ne faut pas tirer de conclusion hâtive mais comment font les étrangers pour aimer les Français en balade. En me promenant en ville j'ai réussi à indiqué à 2 Italiennes le refuge public... en espagnol. À l'auberge je sympathise malgré la barrière de la langue avec un trio d'Espagnols composé de deux cinquantenaires et d'une femme trentenaire.

i.jpg

Au revoir, Pampelune

 

07/10/2015

Musique (388)

Charlie

Le sapin

Les cow-boys fringants

Les hirondelles

Galadriel

La fille des villes

 

Vous reprendrez bien un croissant ?

Comprendre l'Islam, entretien avec Guillaume Faye pour son nouveau livre

Blanche

Tollé sur la pauvre Morano ! Elle n'a pourtant fait qu'observer une réalité valable quelque temps encore. D'affirmer que la France est un pays de race blanche ne veut pas dire qu'on n'y trouve pas d'autres couleurs ni que l'on veuille génocider les non-blancs. Si je m'en vais habiter au Sénégal cela ne me gênerait nullement que l'on dise que ce pays est de race noire. Bizarrement les excommunicateurs de droite et de gauche sont moins tatillons avec leurs copains corrompus. Mais suis-je sot, qui parle de race est raciste, qui est raciste pense supériorité de telle race sur telle autre et avec des trucs pareils on finît à Auschwitz, alors que taper dans la caisse... 

PS : Quand je dis "pauvre Morano" c'est une formule, je n'en ai strictement rien à faire de cette idiote républicaine.

Champ d'étoiles (17)

Vendredi 8 août 2003

15me étape (1re de cette année) – De Villava à Pampelune - Environ 4 km

Temps beau et chaud.

Lever à 5h pour prendre le train à 6h43 à la gare de Bordeaux. Arrivée à Pampelune je pars direction Burlada jusqu'au point où j'ai pris le bus l'année dernière afin d'assurer la continué du pèlerinage pédestre. Je pense avoir retrouvé l'endroit, je peux maintenant retourner à Pampelune par le Chemin. La ville est en faite plus belle que ce que j'avais cru la première fois, je n'avais pas vu la vielle ville. Le refuge (albergue) est Calle Fuente del Hierro à la sortie de ville dans le gymnase d'une école. Je suis accueilli par une personne fort aimable. La nuit coûte 4 €. "En Espagne on ne parle qu'espagnol" dit-on et je n'ai pour m'aider qu'un petit « Guide de conversation pour le voyage ». Ça promet ! Les sanitaires sont dans des préfabriqués sur la cour. Ici, le Chemin change d'aspect : c'est route bien indiquée et refuge bien organisé. Le dortoir qui doit bien faire 150 places se rempli peu à peu. Vers 19h on a droit à un violent mais bref orage avec grosse pluie. 

h.jpg

Mon lit est quelque part

 

06/10/2015

Champ d'étoiles (16)

Dimanche 28 juillet 2002

14me étape – De Zubiri à Villava - Environ 16 km

Beau temps.

Nous suivons la Nationale 135. Pascal a très mal au pieds. Il essaie de marcher avec des tongs, puis pieds nus et finit avec 2 paires de chaussettes et 7 ampoules. Pour abréger ses souffrances, arrivés à Villava dans la banlieue de Pampelune nous décidons de prendre le bus. La gare routière d'un autre âge tout en béton où nous attendons le car pour San Sebastian tombe en ruine. Pour marquer cette étape je demande un tampon à un employé qui refuse, il n'a pas le droit explique-t-il. Puis métro-train de San Sebastian jusqu'à Hendaye et TGV jusqu'à Bordeaux. C'est fini pour cette année.

Pampelune est une ville fort laide

Champ d'étoiles (15)

Samedi 27 juillet 2002

13me étape – De Burguete à Zubiri– Environ 19 km

Beau temps.

Chemin bien balisé et plutôt bien entretenu. Pascal a très mal aux pieds. Zubiri est un joli village. Après un bon repas nous dormons dans une pension confortable.