15/02/2018
Le jeu des deux images (301)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte. Cette énigme nous est aimablement proposée par Domino.
19:27 | Lien permanent | Commentaires (17)
Météo du 13 février 2018
Mardi dernier alors que je me trouvais chez des amis à quelques kilomètres de Bordeaux nous avons eu droit dans la même journée à une chute de neige, à la pluie, à la grêle, à un très bref orage avec tonnerre et foudre, et pour finir une éclaircie avec un magnifique arc-en-ciel. Étonnant.
19:08 | Lien permanent | Commentaires (6)
12/02/2018
Le jeu des deux images (300)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte. Cette énigme nous est aimablement proposée par Blumroch.
21:05 | Lien permanent | Commentaires (38)
08/02/2018
Il me semble (68)
Qu'un réalisateur ou qu'un écrivain arrive à créer une œuvre qui touche le public ne prouve en aucun cas qu'il soit d'une grande humanité ou même d'une sensibilité particulière, une prostituée douée sait très bien faire ce qu'apprécie son client sans l'aimer pour autant.
19:25 | Lien permanent | Commentaires (21)
07/02/2018
Vu dans Bordeaux7
Dans celui du mardi 6 février 2018 nous découvrons que ce ne sont ni les Résistants, ni les Anglo-américains, ni les Soviétiques qui ont sauvé la France, mais une femme pilote, et toute seule en plus, si l'on en croit le titre de la brève.
Dans le même numéro on peut aussi découvrir à quoi ressemble un apprenti philosophe de nos jours. Ne me demandez pas pourquoi les bambins de la photo ont cette coloration et des tenues de skipper par gros temps, je n'ai pas de télévision.
18:22 | Lien permanent | Commentaires (27)
06/02/2018
J'ai craqué
20:43 | Lien permanent | Commentaires (16)
05/02/2018
Groupuscule
Source : Memes Royalistes
Le mien donne « L’Armée Sociale Radicale ». On ne sait jamais si je me laisse tenter par l'action directe sur le tard.
19:15 | Lien permanent | Commentaires (27)