13/04/2018
C'est vu (29)
Dans Hostiles de Scoot Cooper un capitaine de cavalerie, vétéran des guerres indiennes, doit escorter un vieux chef mourant et sa famille vers sa terre natale. Le voyage ne sera pas de tout repos. J'aime bien les westerns, j'aime bien Christian Bale et après avoir vu l'alléchante bande-annonce j'aurais bien voulu aimer ce film. Malheureusement la chevauchée promise n'est en fait qu'une succession mécanique de scènes obligées afin d'arriver à la rédemption des personnages principaux et à la morale finale : la guerre c'est moche et il y a des gens bien et des salauds chez tout le monde. Le tout platement filmé (heureusement que les paysages n'ont besoin de personne pour être magnifiques), lourdement démonstratif et peu crédible. J'oubliais : la plupart des critiques de cinéma ont apprécié...
Hostiles de Scoot Cooper
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12/04/2018
Le jeu des deux images (310)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte. Cette énigme nous est aimablement proposée par Blumroch.
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06/04/2018
Poudre noire
Quelques revolvers utilisés pendant la Guerre de Sécession et leurs munitions :
Quelques revolvers du Far West et leurs munitions :
Source : Donn Thorson
18:33 | Lien permanent | Commentaires (10)
05/04/2018
Curieux
23:20 | Lien permanent | Commentaires (12)
04/04/2018
Le jeu des deux images (309)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte. Cette énigme nous est aimablement proposée par Blumroch.
18:36 | Lien permanent | Commentaires (19)
03/04/2018
Manifs
Mon tram s'arrête deux stations avant ma destination et il est annoncé qu'à cause d'une manifestation devant le Palais de Justice ce sera pour une durée indéterminée. Je ne suis plus très loin de chez moi ; je décide donc de ne pas attendre et de rentrer à pied. Bientôt j’aperçois un petit attroupement près de l’Hôtel de Ville. Je me dis que ce sont sûrement les cheminots mécontents de leur sort qui expriment leur légitime déconvenue face à la politique jupitérienne, mais en m'approchant je constate que c'est en fait une trentaine de peignes-culs tout de noir vêtus, certains avec un foulard leur cachant le visage, qui agitent deux ou trois drapeaux de l'Action antifasciste et font éclater un pétard de temps en temps. Ils sont bloqués par un petit cordon de policiers en tenue anti-émeute qui empiète un peu sur les rails du tram. En passant je questionne poliment un brigadier en uniforme de ville un peu à l’écart sur le motif de cette manifestation n'apercevant aucune banderole revendicatrice. Il me dit qu'il l'ignore, les participants n'ayant fait aucune demande pour être autorisés à être là, et que je n'ai qu'à aller les interroger. J'insiste, toujours poliment, et il finit par lâcher qu'ils sont contre les "autres, là-bas" en désignant du menton le Palais de Justice. Je le remercie et continue mon chemin qui passe devant l'endroit indiqué. Entouré par des barrières et devant une grande toile imprimée au nom de "La Meute France" un homme lit les noms de personnes mises en examen pour leurs idées. L'auditoire n'est guère plus nombreux que les fâcheux de tout à l'heure, mais il est sensiblement plus âgé. Je passe mon chemin et rentré chez moi je recherche sur le net des informations sur cette mystérieuse meute. Leur site n'est pas très fourni, mais suffisamment pour que l'on comprenne que c'est un énième mouvement créé dans le but de sauver notre pauvre pays... C'est sympathique, mais dérisoire et lassant.
20:26 | Lien permanent | Commentaires (20)
29/03/2018
Je suis Mireille
Marine Le Pen huée et bousculée a dû être exfiltrée du cortège organisé par le CRIF en hommage à Mireille Knoll. Mais que cherchait la présidente du FN en se livrant à de telles simagrées ? Est-elle assez stupide pour encore croire qu'elle a quelque chance d'accéder au pouvoir ? On aurait pu penser qu'elle avait pris la mesure de ses limites et se contenterait dorénavant de gérer son parti repoussoir afin d'en vivre confortablement. C'est minable mais plutôt cohérent quand on est médiocre. Elle pouvait ainsi s'épargner avantageusement les grands-messes républicaines antiracistes nécessaires au passage de certaines portes. Comment a-t-elle pu croire que le Système allait l'accueillir à bras ouverts parce qu'elle avait fait le grand ménage et jeter papa avec les vieilleries nauséabondes. J'en viens à croire qu'elle est encore plus obtuse que je ne le craignais. Rendons-nous à l'évidence : la pauvre n'en finira pas de s'humilier et ses électeurs avec.
Pour l'anecdote dans l'article de Bordeaux 7 consacré à l'hommage on peut lire : "Parmi les anonymes, rose blanche à la main, Enrico Macias ou Patrick Bruel ont tenu à être présents." Un anonyme nommé reste-t-il encore un anonyme ?
20:48 | Lien permanent | Commentaires (32)