04/08/2025
Musique (718)
Concerto pour violon et orchestre op.VII n°1
Jean-Marie Leclair
À lire sur rtbf-actus : Mystère autour de l’assassinat de Jean-Marie Leclair, de nombreux suspects, aucune inculpation.
14:33 | Lien permanent | Commentaires (33)
Commentaires
@Pharamond : Pièce très agréable.
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Diplômés ou intelligents -- les deux catégories se recoupent parfois --, certains individus se refusent à tirer du réel les conclusions qui s'imposent. En voici un exemple avec le très estimable Michel Desmurget qui, dans le prologue de sa *Fabrique du crétin numérique*[0], raconte le "bref échange", immédiatement retranscrit presque *verbatim*, qu'il a eu "avec une personnalité politique française porteuse de mandats nationaux", personnalité dont il ne donne évidemment pas le nom :
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A sa décharge, l'homme sortait d'un buffet où il n'avait apparemment pas consommé que de l'eau claire. On dit que l'alcool désinhibe, ce n'est sans doute pas faux. Après quelques bla-bla d'usage sur les bienfaits du numérique, la discussion s'est à peu près passée de la façon suivante.
-- Moi : Toutes les études montrent un affaissement majeur des compétences cognitives de ces jeunes, depuis le langage jusqu'aux capacités attentionnelles en passant par les savoirs culturels et fondamentaux les plus basiques. Et la numérisation de l'école, on le sait avec les études PISA notamment, ne fait qu'aggraver les choses.
-- Lui : On parle d'économie de la connaissance, mais c'est minoritaire. Plus de 90 % des emplois de demain seront peu qualifiés, dans l'aide à la personne, les services, le transport, le ménage. Il ne faut pas, pour ces emplois, des gens trop éduqués.
-- Moi : Alors pourquoi les emmener tous à Bac + 5 si c'est pour qu'ils finissent vendeurs chez Décathlon ?
-- Lui : Parce qu'un étudiant ça coûte moins cher qu'un chômeur et c'est socialement plus acceptable. On connaît tous [sic !] le niveau de ces diplômes. C'est pour amuser la galerie. Il ne faut pas être naïf ; et puis, plus on les garde longtemps à l'université et plus on économise sur les retraites.
J'ose espérer qu'il ne s'agissait là que d'une stupide bravade[1]. J'ai vraiment du mal à croire, en effet, je l'avoue, à une volonté délibérée d'abêtissement des masses.
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Depuis des décennies, les preuves sont là, évidentes, objectives, irréfutables, dans les déclarations publiques des criminels comme -- et c'est ce qui compte -- dans les résultats constatés, mais nul ne doit voir puis signaler ce grand complot au grand jour : l'ignoble entente de toutes les factions formant la mafia étatique et phynancière pour nuire aux populations rançonnées.
[0] Le titre a été rectifié.
[1] Ce n'est pas le mot qui convient.
Écrit par : br | 05/08/2025
br > Même si ces propos n'engagent que son auteur je les crois représentatifs de ce que pensent nos dirigeants actuels.
Je t'ai envoyé un email.
Écrit par : Pharamond | 05/08/2025
@Pharamond : De tels propos, et de pires encore, ont été énoncés depuis des décennies, par de nombreuses crapules appartenant aux cercles, plus ou moins officiels, de décision.
L'étonnant, c'est la difficulté pour un Desmurget, pourtant équipé d'un bon cerveau, de contempler le désastre et d'en tirer la conclusion, évidente -- il ne s'agit pas ici de croyance mais d'induction et de déduction -- : l'existence d'une orientation générale choisie par des canailles partageant les mêmes idées et certains d'être des dieux ayant tous les droits sur le bétail.
J'avais oublié de terminer un message en cours de rédaction.
Écrit par : br | 05/08/2025
br > Il est toujours un peu difficile de croire que le berger qui vous protège du loup, vous soigne, vous fait coucher dans la bergerie quand il fait mauvais est aussi celui qui vous mènera un jour à l'abattoir.
Écrit par : Pharamond | 05/08/2025
br > J'ai répondu à ton message .
Écrit par : Pharamond | 05/08/2025
@Pharamond : Le berger, quand il est bon, n'est pas un spécialiste du tableur Excel ou Lotus -- yep, ça date --, encore moins des fonctions d'optimisation poussée à un degré délirant[1].
[1] On sait l'anecdote, vraie ou fausse, de Rockfeller passant de 20 à 19 -- je ne sais plus le nombre exact -- points de soudure pour les tonneaux de pétrole afin d'économiser quelques milliers de dollars, quand ses profits se comptaient en milliards. C'est la célèbre épingle du banquier Laffitte, qui a berné tant de candides.
Écrit par : br | 05/08/2025
br > Un petit rien multiplié des milliers, des millions de fois donne quelque chose.
Un exemple parmi tant d'autres : les boites de légume de 495 g au lieu de 500. Et 5g dans l'assiette ce n'est rien mais pour l'entreprise beaucoup d'économie.
https://www.carrefour.fr/p/petits-pois-tendres-et-fondants-cassegrain-3083680085311
Écrit par : Pharamond | 05/08/2025
@Pharamond : Très bien, la galerie gun-gallery découverte grâce à DRALN. Quelle... diversité de moyens pour éradiquer les nuisibles... dans un FPS, évidemment. ;-)
Écrit par : br | 08/08/2025
Au cours d'une récente conversation entre Kameraden avait été mentionné le nom maudit du sieur Le Corbusier. Par une de ces synchronicités amusantes dont la déesse Alea possède le secret, Dalrymple le mentionne aussi ici :
https://www.takimag.com/article/architects-of-our-own-destruction/
Ellsworth Toohey n'était pas un critique spécialisé dans l'architecture par hasard.
Écrit par : br | 08/08/2025
J'ai la flemme de rédiger quelques lignes pour conseiller la lecture de *La maison aux mille étages*, lu voici une éternité et récemment retrouvé dans un carton avec des Merritt de la collection Marabout Fantastique. Ce billet pour intellectuels donnera peut-être envie d'y aller voir, malgré le numéro de hauteur condescendante habituel chez Asensio :
https://www.juanasensio.com/archive/2022/10/17/la-maison-aux-mille-etages-de-jan-weiss.html
Écrit par : br | 08/08/2025
br > Je ne suis pas violent - enfin c'est ce que me dit mon entourage - mais j'aime les armes. Je me demande si c'est grave.
Le hasard existe-t-il réellement ?
Pas lu.
Écrit par : Pharamond | 10/08/2025
@Pharamond : Same here. Les FPS et les bouquins de Venner.
Quelque part dans *The Two Towers* de Tolkien, cette jolie réflexion : "War must be, while we defend our lives against a destroyer who would devour all ; but I do not love the bright sword for its sharpness, nor the arrow for its swiftness, nor the warrior for his glory. I love only that which they defend."
D'un autre côté, c'est beau, une arme, comme tout outil parfaitement adapté à sa fonction. Et tuer, c'est quand même l'un des trois occupations originelles.
Écrit par : br | 10/08/2025
@Pharamond : Il y a des coïncidences exagérées.
Seuls les maniaques de S.F. connaissent, en règle générale, ou les rabiques de littératures étrangères.
Une dystopie qui annonçait l'euroschwabisme ; aussi importante ou aussi mineure que le *Nous autres* de Zamiatine.
Écrit par : br | 10/08/2025
br > "Et tuer, c'est quand même l'un des trois occupations originelles." Et les deux autres ?
Écrit par : Pharamond | 10/08/2025
@Pharamond : Ecrire et aimer -- en tout cas selon le Dupastre d'Abellio.
Écrit par : br | 10/08/2025
br > J'ai des doutes en ce qui concerne écrire ou alors il faudrait préciser le sens d'originel.
Écrit par : Pharamond | 10/08/2025
@Pharamond : Ecrire un bouquin traversant les siècles, par exemple. Occupations essentielles si tu préfères : tout sauf les dégradantes petites obligations du quotidien et de l'ordre social.
Écrit par : br | 10/08/2025
Pour oublier un temps l'horreur de ce temps, un divertissement de 69 adaptant un texte de 48 :
www._youtube.com/watch?v=ihqT9kmprDk
Le texte, pour d'éventuels curieux, est ici :
www._newyorker.com/magazine/1948/06/26/the-lottery
La fiche de police est instructive :
_en.wikipedia.org/wiki/The_Lottery
(supprimer le tiret de soulignement)
Je connaissais l'existence de la nouvelle, censée être un chef-d'oeuvre. Venant de la lire, j'suis point convaincu. C'est honnête, sans plus. Combien de réputations usurpées comme celle-ci ? Parfois, faudrait point vérifier... mais on ne le sait qu'après.
Écrit par : br | 10/08/2025
br > Essentiel est en effet un mot plus approprié. Un proverbe de je-ne-sais-plus-où dit que celui qui n'a pas fait d'enfant ou écrit un livre a vécu en vain. Un peu radical mais l'idée est là.
Les liens ne donnent rien.
Écrit par : Pharamond | 11/08/2025
"Les liens ne donnent rien."
:-D :-D :-D
Écrit par : realist | 11/08/2025
@Pharamond : Si, ils marchent tous les trois... à condition de suivre le conseil donné entre parenthèses, savoir SUPPRIMER LE TIRET DE SOULIGNEMENT censé interdire à l'analyseur syntaxique d'hautetfort de reconnaître une url. ;-)
Écrit par : br | 11/08/2025
Soral est capable de faire sans rire l'éloge, délirant, d'un Thiel (Bilderberg, quand même !), d'un Stérin (le kombat kulturel menant à la victoire dans un millénaire, kombat heureusement ignoré par un Bukele ou un Milei !) ou même d'un Méchancon, espérant peut-être se caser, à la Buisson, comme conseiller de l'un, de l'autre ou de ça.
Maurras, lui, proclamait l'admiration qu'il éprouvait pour un Anatole France (A.F. !) qualifié de maître mais sans servilité ni intérêt. N'étant pas sottement inconditionnel, il critiquait chez le grand pyrrhoniste une forme de bienveillance, de complaisance presque, envers le régime maudit.
Démonstration avec ces extraits d'une conversation entre un universitaire et un abbé, dans *L'orme du Mail* ; le tableau est épouvantablement contemporain :
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M. LANTAIGNE. -- [...] La diversité est détestable. Le caractère du mal est d'être divers. Ce caractère est manifeste dans le gouvernement de la République, qui plus qu'aucun autre s'éloigne de l'unité. Il lui manque avec l'unité l'indépendance, la permanence et la puissance. Il lui manque la connaissance, et l'on peut dire de lui qu'il ne sait ce qu'il fait. Bien qu'il dure pour notre châtiment, il n'a pas la durée. Car l'idée de durée implique celle d'identité, et la République n'est jamais un jour ce qu'elle était la veille. Sa laideur même et ses vices ne lui appartiennent pas. Et vous avez vu qu'elle n'en était point déshonorée. Des hontes, des scandales qui eussent ruiné le plus puissant empire l'ont recouverte sans dommage. Elle n'est pas destructible, elle est la destruction. Elle est la dispersion, elle est la discontinuité, elle est la diversité, elle est le mal.
M. BERGERET. -- Parlez-vous de la République en général, ou seulement de la nôtre ?
M. LANTAIGNE. -- Evidemment, je ne considère ni la République romaine, ni la batave, ni l'helvétique, mais seulement la française. Car ces gouvernements n'ont de commun que le nom, et vous ne croirez pas que je les juge sur le mot dont on les nomme, ni même sur ce qu'ils semblent opposés, les uns comme les autres, à la monarchie, opposition qui n'est pas condamnable en soi ; mais la République en France n'est qu'un manque de prince et un défaut d'autorité. Et ce peuple était trop vieux lors de l'amputation pour ne pas craindre qu'il n'en meure.
M. BERGERET. -- Toutefois la France a déjà survécu vingt-sept ans à l'Empire, quarante-huit ans à la royauté bourgeoise et soixante-six ans à la royauté légitime.
M. LANTAIGNE. -- Dites plutôt que, depuis un siècle, la France, blessée à mort, traîne dans des alternatives de fureur et d'abattement un reste misérable de vie. Et ne croyez pas que je flatte le temps passé ni que je suspende mes regrets aux images trompeuses d'un âge d'or qui ne fut jamais. La condition des peuples m'est connue. Leurs heures sont marquées par des périls, leurs jours par des malheurs. Et il est juste et nécessaire qu'il en soit ainsi. Leur vie, comme celle des hommes, si elle était exempte d'épreuves, ne se comprendrait pas. L'histoire antique de la France est pleine de crimes et d'expiations. Dieu châtia sans cesse cette nation avec le zèle d'un infatigable amour, et sa bonté ne lui épargna, dans le temps des rois, aucune souffrance. Mais, étant chrétienne alors, ses maux lui étaient utiles et précieux. Elle y reconnaissait le caractère auguste du châtiment. Elle en tirait des leçons, des mérites, le salut, la force et la gloire. Maintenant ses souffrances n'ont plus de sens pour elle ; elle ne les comprend ni ne les consent. En subissant l'épreuve, elle s'y refuse. Et l'insensée veut être heureuse !
[...]
Mais quelle sera la consolation du patriote ? Il découvre que tous les membres de l'État sont gangrenés et putréfiés. En vingt ans, quel progrès dans la décomposition ! Un chef de l'Etat dont l'impuissance est l'unique vertu et qui devient criminel dès qu'on suppose qu'il agit ou seulement qu'il pense ; des ministres soumis à un Parlement inepte, qu'on croit vénal, et dont les membres, de jour en jour plus ignares, furent choisis, formés, désignés dans les assemblées impies des francs-maçons, pour faire un mal dont ils sont même incapables, et que surpassent les maux causés par leur inaction turbulente ; un fonctionnarisme sans cesse accru, immense, avide, malfaisant, en qui la République croit s'assurer une clientèle et qu'elle nourrit pour sa ruine ; une magistrature recrutée sans règle ni équité, et trop souvent sollicitée par le gouvernement pour n'être pas suspecte de complaisance ; une armée que pénètre sans cesse, avec la nation tout entière, l'esprit funeste d'indépendance et d'égalité, pour rejeter ensuite dans les villes et les campagnes la nation tout entière, gâtée par la caserne, impropre aux arts et aux métiers et dégoûtée de tout travail ; un corps enseignant qui a mission d'enseigner l'athéisme et l'immoralité ; une diplomatie à qui manquent le temps et l'autorité et qui laisse le soin de notre politique extérieure et la conclusion de nos alliances aux débitants de boissons, aux demoiselles de magasins et aux journalistes ; enfin tous les pouvoirs, le législatif et l'exécutif, le judiciaire, le militaire et le civil, mêlés, confondus, détruits l'un par l'autre ; un règne dérisoire qui, dans sa faiblesse destructive, a donné à la société les deux plus puissants instruments de mort que l'impiété ait jamais fabriqués : le divorce et le malthusianisme. Et tous les maux dont j'ai fait une rapide revue appartiennent à la République et sortent naturellement d'elle : la République est essentiellement mauvaise. Elle est mauvaise en voulant la liberté que Dieu n'a pas voulue, puisqu'il est le maître, et qu'il a délégué aux prêtres et aux rois une part de son autorité ; elle est mauvaise en voulant l'égalité que Dieu n'a pas voulue, puisqu'il a établi la hiérarchie des dignités dans le ciel et sur la terre ; elle est mauvaise en instituant la tolérance que Dieu ne saurait vouloir, puisque le mal est intolérable ; elle est mauvaise en consultant la volonté du peuple, comme si la multitude des ignorants devait prévaloir contre le petit nombre de ceux qui se conforment à la volonté de Dieu, laquelle s'étend sur le gouvernement et jusque sur les détails de l'administration comme un principe dont les conséquences ne s'arrêtent pas ; elle est mauvaise enfin en déclarant son indifférence religieuse, c'est-à-dire son impiété, son incrédulité, ses blasphèmes dont le moindre est mortel, son adhésion à la diversité qui est le mal et la mort.
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Réflexion de Bergeret : "Il n'y a que les imbéciles et les ambitieux pour faire des révolutions."
Et les esclaves pour ne pas en faire.
Écrit par : br | 11/08/2025
Toujours plus grotesque et toujours plus mensonger, le cirque de la réchauffance de la climatude est reparti en tournée. J'attends avec impatience les premiers criminels qui expliqueront à des juges complaisants avoir été rendus fous par cette idée, à l'origine de leurs méfaits divers. En voici une préfiguration, et excellente :
https://americanliterature.com/author/w-f-harvey/short-story/august-heat/
Écrit par : br | 11/08/2025
realist > On ne se moque pas, j'avais oublié de suivre la consigne donnée. OK ça m'apprendra à lire plus attentivement.
br > Cela m'apprendra à mieux lire avant de répondre.
Écrit par : Pharamond | 11/08/2025
@Pharamond : Pour le proverbe, *supra*, tu pensais peut-être à la formule de Nietzsche : "Aut liberi aut libri" : faire des livres ou faire des mômes, mais pas les deux.
Écrit par : br | 11/08/2025
br > Le proverbe que je citais n'impliquait pas un choix exclusif.
D'autre part j'avoue ne pas avoir saisi le sens de "August Heat".
Écrit par : Pharamond | 11/08/2025
@Pharamond : Sur ce sujet, le jeu de mots de Nietzsche est la seule référence culturelle que je connaisse.
Dommage d'en arriver là :
https://en.wikipedia.org/wiki/August_Heat_(short_story)
;-)
Aucun rapport, mais Michel Drac semble de retour, assez diminué, chez ioutube (face au commerçant pierro san girgio).
Écrit par : br | 11/08/2025
br > Merci. N'ayant envisagé le fantastique je ne pouvais pas saisir. Mon cerveau est au ralenti, surement la chaleur de ce mois d'août.
Écrit par : Pharamond | 11/08/2025
@Pharamond : C'est bien ce que j'avais pensé. Tout CPU mal ou pas ventilé finit par s'éteindre temporairement. ;-)
Écrit par : br | 11/08/2025
br > Le modèle et l'âge de la CPU y sont sans doute aussi pour quelque chose.
Écrit par : Pharamond | 12/08/2025
@br
Seulement, les 20 première minutes. Après, faut passer à la caisse. Pour que San Giorgio aille en club échangiste lorsqu'il s'essaie à l'humour?
Écrit par : Sven | 12/08/2025
@ Pharamond
Très joli concerto.
D'après wiki, Jean-Marie Leclair a bénéficié du mécénat de plusieurs souverains et princes. L'école m'avait enseigné qu'ils étaient semi-débiles et tout juste bons à affamer leur population.
Alors que de nos jours, dans notre merveilleux état dont les dirigeants suent sang et eau pour assurer notre bien, nos imperceptibles impôts nous donnent accès à un art d'une qualité bien supérieure:
https://etemetropolitain.bordeaux-metropole.fr/wp-content/uploads/VDEF-ETEMetropolitain-PROGRAMME2025_160x260_MAJ_17.07.pdf
Vous pouvez visionner un extrait d'un des spectacles ici: https://collectifsuzetteetnora.fr/crepage-de-chignons/
Écrit par : Sven | 12/08/2025
Sven > On nous aurait menti ?
J'étais en vacances et j'ai loupé ça. Vivement l'été 2026 !
Écrit par : Pharamond | 12/08/2025
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