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07/01/2018

Le jeu des deux images (297)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

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05/01/2018

Idiocratie

Demain, tous crétins ? de Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade

04/01/2018

La décence ordinaire

Entretien avec Jean-Claude Michéa - Comédie du livre 2017

03/01/2018

Je plussoie (20)

La vérité est le nom que les plus forts donnent à leur opinion.

Alphonse Karr

 

Le désespoir est aussi menteur que l'espérance. Il n'y a qu'une chose qui compte : devenir ce que l'on est et faire ce que l'on doit.

Baron Général von Ungern-Sternberg

 

Les seules personnes qui croient possible une croissance infinie dans un monde fini sont les fous et les économistes.

Kenneth Boulding

 

Mieux vaut être violent lorsque la violence remplit notre cœur que de revêtir le manteau de la non-violence pour dissimuler notre impuissance.

Mahatma Gandhi

 

Avec un mensonge on va loin, mais sans espoir de retour.

Proverbe yiddish

02/01/2018

Du 31 au 1er

Je n'ai rien fait de festif pour le réveillon de la Saint-Sylvestre, juste essayé de dormir ce qui n'était pas une mince affaire puisque dans la rue d'aimables concitoyens s'étaient pliés au standard actuel qui veut que plus l'on fait du bruit plus l'on s'amuse ; ils ont dû beaucoup s'amuser. Quand j'ai enfin pu m'assoupir des voisins qui parlent une langue dont je n'ai jamais réussi à déterminer l'origine se sont mis à copieusement se disputer avec quelques insultes en français - signes extérieurs d'intégration, sans doute. Cela a fini avec elle à la fenêtre et lui dans la rue pendant de trop longues minutes. Le matin, l'année a commencé avec une accalmie chez les humains et de la pluie et du vent côté météo.

31/12/2017

2018

Meilleurs vœux aux "nôtres"

et à ceux qui leur sont chers...

et puis c'est tout !

 

Vidéo d'Eirik Solheim

30/12/2017

En attendant 2018...

DÉFAITE DE FIN D’ANNÉE

Hier, à l’avant-veille d’une fête de plus, je me suis promené dans Paris, renouant ainsi avec mes errances d’antan. Je suis né trop tard pour avoir connu le Paris insouciant et les femmes légères que décrivent les écrivains du siècle dernier. Tout ce que j’ai retrouvé lors de ces pérégrinations, c’est une foule bougonne, des visages revêches, une hystérie à fleur de peau auxquels seuls les touristes étrangers échappent. Les Français, on les reconnaît à cette hargne dans les regards et le comportement, même lorsqu’il s’agit de communier ensemble autour du tiroir-caisse où ils dépenseront les quelques euros qui leur reste pour aller acheter des conneries pour « les fêtes de fin d’année ».

Ce qui m’a le plus choqué, c’est le nombre grandissant de patrouilles de parachutistes, béret vert ou rouge. Ce n’est pas leur présence en soi qui me choquait mais la raison de celle-ci. Car, dans le périmètre des grands magasins, leur mission consiste très officieusement à rassurer les consommateurs bovins qui, ainsi continuent d’alimenter la sainte Croissance, l’alpha et l’oméga de la France contemporaine. A la limite, que les Barbus se fassent sauter à la périphérie de ces contingences n’a pas la moindre importance pourvu que les Galeries Lafayette, Fauchon, Hermès ou les bijoutiers de la Place Vendôme continuent de gagner du blé. Voilà désormais à quoi servent les parachutistes qui rêvaient d’action et de patriotisme : à faire en sorte que la « Consommation des ménages » perdure, que la Croissance reprenne et que les enflures du CAC 40 puissent continuer de faire la pluie et… le mauvais temps.

Christian Rol

Source : Zentropa