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04/06/2018

À 100% d'accord

Aussi loin que porte le regard

Tout ce qu’on peut recouvrir du nom de « droite » est voué à perdre, pour la bonne et simple raison que la droite, en France du moins, ne sait rien faire d’autre que regarder vers le passé. Or, s’il est bien une chose dont nous pouvons être certain, c’est que la posture du « c’était mieux avant » a toujours échoué. Toute la contre-révolution, depuis Burke et Joseph de Maistre, et malgré leur intelligence, n’a strictement rien empêché. La restauration monarchique a été un échec lamentable. Les gens qui aujourd’hui se rappellent avec nostalgie les années 60 – ou 40 pour certains – n’aboutiront pas non plus. Peut-être que c’était mieux avant – encore que sous certains aspects, il soit permis d’en douter. Mais le passé est, par définition, passé. La gauche au contraire parvient toujours à ses fins. Il n’y a pas là de sens de l’histoire ou autre force fumeuse issue du cerveau agité d’un intellectuel désœuvré. La gauche a toujours un but et regarde vers le futur. Elle a un projet, souvent néfaste, mais qui a le mérite d’exister. La seule façon de sortir du marasme est de proposer autre chose. Il faut d’ailleurs noter que les seuls mouvements qu’on aime à classer à droite qui ont imposé quelque chose étaient en réalité de gauche et porteur d’un projet, certes contestable, mais indéniablement novateur – vous savez, le genre de projet avec des aigles comme emblèmes, un tantinet agressif.

Pareillement, la posture systématiquement défensive qu’adoptent les conservateurs et autres droitards ne mènera nulle part, car l’action bat toujours la réaction. Il faut être offensif. Mais on en revient au problème précédent : il faut un projet. La difficulté vient de ce que ce projet n’est pas encore mûr. Il est clair cependant que les lubies portées par la gauche vont finir en vaste chaos. Notre démocratie droitdelhommiste, que certains nous présentent comme aboutissement ultime de l’humanité, est évidemment vouée à disparaître. Elle ne pouvait fonctionner qu’avec l’existence de classes moyennes éduquées dans un occident en pleine croissance économique et démographiquement viable face au reste du monde. Tout cela est fini. Les conditions ne sont plus là, cette forme politique va disparaître. Elle est déjà un astre mort. Tout le défi est d’imaginer ce qui va venir après, et il est probable que nous sommes à l’aube d’un bouleversement au moins aussi colossal que celui que fut la révolution industrielle.

Ceux qui s’accrochent au monde ancien seront emportés. Je ne crois pas que ce qui nous attende soit confortable, bien au contraire. Mais nous n’avons pas vraiment le choix, de toute façon.

Source : Paul Fortune le 28 mai 2018

03/06/2018

Nos maîtres

Michel Geoffroy présente son livre La super-classe mondiale contre les peuples sur Radio Sputnik.

31/05/2018

Crachat

 

lfi.jpg

Le député Bénédicte Taurine (LFI) à une cérémonie militaire en Ariège…

Source : Profession Gendarme

Je me demande ce qui est le plus grotesque entre la gauchiste irrespectueuse grassement payée par le contribuable, les militaires qui acceptent d'obéir à des lois votées par ce genre de personne ou les électeurs qui ont voté pour cet épouvantail en espérant améliorer leur vie.

 

30/05/2018

Musique (477)

M83

Un Nouveau Soleil

Tango with Lions

In a bar

Tony Anderson

Journey 

29/05/2018

Relais

Deux commentaires de visiteurs qui nous proposent des actions en faveur de notre camp et qui ne demandent pas grand effort :

Surtout si vous êtes dans un pays étranger, il est très important de faire parvenir un mot de soutien à Ursula Haverbeck en prison. Un simple merci sur une carte postale suffit parfais à remonter le moral. Son adresse :

Ursula Haverbeck

JVA Bielefeld-Senne

Hafthaus Ummeln

Zinnstr. 33

33649 Bielefeld, Germany

 

Écrit par : Il Popolo d'Italia

Un timbre, une carte postal et un peu d'encre...

[...] je relaie cet appel à une manif en faveur de Tommy Robinson

A Bordeaux nous manifesterons le 1 juin, à 18h, devant le consulat de Grande Bretagne, 355, boulevard du Président Wilson. Merci de venir, de faire venir les amis patriotes et de faire connaître cet appel à manifester.

 

Écrit par : Philippe Dubois | 

Si vous êtes dans les environs à ce moment...

Vu dans Bordeaux7 (4)

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La première page du Bordeaux7 de ce matin nous présente une première page toute en noble sobriété avec en gros titre "La France des héros" et au-dessus les noms de quelques-uns d'entre eux : "Gassama, Beltrame, Didi, Bathily...", soit deux Maliens, un Français d'origine algérienne (quand c'est positif il faut le préciser, dans le cas contraire ce serait stigmatiser) et tout de même un Français de type "caucasien" comme ils disent outre-Atlantique, sauf que lui en est mort d'être un héros. On pourrait en déduire que les Français de souche n'étant plus capable de se conduire courageusement ou en mourant, heureusement qu'une nouvelle population arrive pour le faire. Oserais-je faire remarquer que dans trois des cas le héros ne l'a été que conséquemment à des actes violents engendrés par l'immigration-invasion incontrôlée ?

27/05/2018

Grenouilles

Les grenouilles tombées dans la jatte de crème

"Un jour, deux grenouilles tombèrent dans une jatte de crème. Aussitôt, elles s'aperçurent qu'elles s'enfonçaient : impossible de nager ou de flotter longtemps dans cette pâte molle aussi épaisse que des sables mouvants. Au début, les deux grenouilles agitèrent violemment leurs pattes dans la crème pour atteindre le bord de la jatte. En vain : elles ne parvenaient qu'à barboter au même endroit en s'enlisant. Elles avaient de plus en plus de mal à remonter à la surface et à reprendre leur souffle. L'une d'elles dit tout haut : « Je n'en peux plus. On ne peut pas sortir de là. Impossible de nager dans cette substance. Je vais mourir, je ne vois pas pourquoi je prolongerais cette souffrance. Où est l'intérêt de mourir épuisée par un effort stérile ? » Ayant dit cela, elle cessa de s'agiter et s'enfonça rapidement, littéralement engloutie par l'épais liquide blanc. L'autre grenouille, plus persévérante ou peut-être plus obstinée, se dit : « Rien à faire ! Pas moyen d'avancer dans cette matière. Pourtant, bien que la mort soit proche, je lutterai jusqu'à mon dernier souffle. Je refuse de mourir une seconde avant que mon heure ait sonné. » Elle continua à s'agiter et à barboter au même endroit, sans avancer d'un pouce, pendant des heures et des heures. Et soudain, à force de trépigner et de battre des cuisses, de s'agiter et de patauger, la crème se transforma en beurre. Surprise, la grenouille fit un bond et, patinant, arriva au bord de la jatte. De là, elle rentra chez elle en coassant joyeusement."

Jorge Bucay

Merci à UnOurs pour m'avoir rappelé l'existence de ce conte.