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26/07/2018

L’actualité de la semaine vue par Bruno Gollnisch

"Affaire" des assistants, affaire Benalla, Mgr Cattenoz, conseils de lecture…

L’actualité de la semaine vue par Bruno Gollnisch :

– 0:15 « Affaire » des assistants : Bruno Gollnisch mis en examen

 7:21 Le Rassemblement National menacé de mort économique

– 12:11 La tentaculaire affaire Benalla

 24:53 14 juillet, coupe du monde : les violences urbaines

– 25:58 Mgr Cattenoz : peut-on tout dire en sermon ?

– 30:12 Les lectures et films de l’été

25/07/2018

Bribes d'Occident (48)

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Le monastère de Valaam en Russie

Valaam, l'archipel des moines de françaois Lespes

Valaam - Enchantement des Pâques russes de Denis Sneguirev et Andy Sommer

Chants de Valaam

Même sans être croyant, même sans comprendre le russe...

(Merci à Blumroch)

23/07/2018

Cinéma...

Du drame social réaliste :

Un saison en France de Mahamat-Saleh Haroun

"Abbas, professeur de français, a fui la guerre en Centrafrique pour bâtir une nouvelle vie en France. En attendant d’obtenir le statut de réfugié, le quotidien d’Abbas s’organise : ses enfants sont scolarisés et il travaille sur un marché où il a rencontré Carole, sensible au courage de cet homme encore hanté par les fantômes du passé. Mais si le droit d'asile lui était refusé, qu'adviendrait-il d'Abbas et de sa famille déracinée ? Et de Carole, privée du foyer qu’elle a cru reconstruire ?"

 

Du drame équitable musical :

Basmati Blues de Dany Baron

"Linda, brillante scientifique américaine, est envoyée en Inde pour vendre le riz génétiquement modifié qu'elle a créé. Mais elle se rend compte qu'elle cause du tort aux fermiers qu'elle pensait aider. Lorsque l’amour s’en mêle, Linda est plus perdue que jamais."

 

Du drame fantastico-historique :

Overlord de Julius Avery

" À la veille du Débarquement, un groupe de parachutistes américains est lâché derrière les lignes ennemies pour une mission cruciale. Mais en approchant de leur cible, ils commencent à réaliser qu'il y a plus qu'une simple opération militaire à effectuer dans ce village occupé par les nazis."

20/07/2018

La femme est l'avenir de l'homme... ou non.

Ce qu'on cherche à émouvoir en nous, ce n'est pas ce qui est noble, généreux, viril, ce sont au contraire nos nerfs, nos pleurnicheries, notre crédulité, notre niaiserie.

Nous sommes tous heureux d'être si bons, si émus, si touchés aux entrailles que nous ne percevons pas que le flux de ces bons sentiments a fini par donner à presque tous les peuples d'Occident une sensibilité et une tournure d'esprit typiquement féminines.

Devenus des réceptacles d'une pensée étrangère, nous sommes à la fois ouverts, disponibles, tendres, et en même temps dévirilisés, sans ressort, sans personnalité et nous nous laissons souiller de toutes les immondices dont il est utile, à quelque moment de nous remplir.

Maurice Bardèche

Sparte et les Sudistes

19/07/2018

Défilé

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Je ne sais plus qui a dit récemment, je cite de mémoire, que "la seule capacité de projection de l'armée française est le défilé du 14 juillet". Il semblerait que cela ne soit même plus le cas.

 

Peut-on mieux le dire ? (12)

L'après-football...

 

Qu’un peuple ait besoin d’exutoires, c’est dans sa nature, de tous temps. C’est quand il n’a plus que ça pour se sentir peuple que les choses deviennent inquiétantes, voire tragiques.

Tout, ou presque, a été dit sur cette Coupe du Monde qui a occupé monopolistiquement l’espace médiatique (c’est-à-dire la néo-réalité de la majeure partie de nos concitoyens) ces deux derniers mois. Entre les ronchons snobinards anti-foot, les démagos populistes pro-ballon rond, les sociologues des foules, les éternels épigones de Muray et leur inusable critique du « festivisme », les philosophes centristes adeptes du « ni oui ni non », les politiques opportunistes et manipulateurs, les experts en comptage racial, les accablés, les enthousiastes et les rigolards (plus rares en ces temps de sérieux compassé), toutes les analyses ont été faites, plus ou moins pertinentes, plus ou moins intéressantes, contenant chacune une petite parcelle de vérité.

Le temps d’une compétition internationale, nous sommes tous devenus des commentateurs sportifs. Avec divers degrés d’aisance, de brio, mais en étant toujours très « concernés ». Il est vrai que le commentaire, de Facebook à la machine à café, est devenu notre activité principale, pour ne pas dire unique, nous qui sommes de moins en moins acteurs de nos existences individuelles et collectives. Calés derrière nos écrans, nous palabrons autour du temps qui passe. Et, à l’occasion, nous nous entretuons même, lorsque notre logorrhée contemplative se heurte à celle d’un autre, toute aussi passive mais éclairée différemment.

Pendant ce temps, les issues s’éloignent et les alternatives restent virtuelles.

Notre dissidence, pour détourner le titre d’un Audiard assez moyen, «elle boit, elle fume, elle drague, et elle cause. »

Malgré la sincérité de nos espoirs, de nos appétences, nous ne parvenons pas à nous extraire de l’immédiateté, de l’agenda événementiel et émotionnel qui nous est imposé par l’adversaire. Notre rupture intellectuelle avec l’époque ne se prolonge toujours pas par une rupture concrète, physique, existentielle avec celle-ci. Nous sommes rongés par des outils et instruments que nous avons eu la prétention de croire pouvoir maîtriser mais dont nous sommes devenus les esclaves empressés, toxicomanes accrocs au numérique. Peu à peu, nous finissons par ressembler  à des ersatz low-cost de Lorenzaccio, incapables de percevoir que nous nous confondons déjà avec les masques que nous pensons porter par habileté et stratégie quand il ne s’agit que d’intérêt et de facilité.

Nous avons plus que jamais besoin de terre, de pierres, de papier, d’encre, de grand air, de travail, de chants et de poésie mêlée d’intemporalité et de transcendance.

Plus d’entrisme ni de gramscisme (concepts épuisés aux résultats toujours reportés…), le communautarisme sécessionniste.

Source : A moy que chault!

 

17/07/2018

Histoire... (145)

Les lieux des batailles antiques d'Alésia et de Gergovie ont peut-être été «découverts » en faisant un peu trop confiance à la toponymie : Alise-Sainte-Reine (21) pour Alésia et Gergoia à Merdogne (63) pour Gergovie. Déterminés sous le règne de Napoléon III afin d'illustrer concrètement le roman national ces sites n'ont pas vraiment été remis en question depuis ; investissements touristiques obligent. S'ils ne sont pas là on les place officiellement où peuvent-ils bien être ? Au lieu de chercher des preuves archéologiques in situ quitte à tordre le texte de César afin qu'il corresponde à la géographie de l'endroit des chercheurs ont procédé inversement. Ils ont réalisé un portrait-robot du champ de bataille à l'aide des informations concernant le relief et ont recherché une concordance sur des cartes modernes puis sur les lieux mêmes. Alésia serait donc aux Chaux-des-Crotenay (39) (voir ici et ici) et Gergovie à Saint-Maurice-de-Lignon (43) (voir le site Gergovie Celtic Awards).