18/03/2022
Musique (611)
Nexus
Wait For Me
20:47 | Lien permanent | Commentaires (30)
17/03/2022
Reconquête ?
20:28 | Lien permanent | Commentaires (5)
16/03/2022
Je plussoie (57)
"L’homme moderne est un prisonnier qui se croit libre parce qu’il s’abstient de toucher les murs de son cachot."
Nicolás Gómez Dávila
"La loyauté est une qualité noble, tant qu'elle n'est pas aveugle et n'exclut pas la loyauté supérieure à la vérité et à la décence."
Basil Henry Liddell Hart
"L’individu n’a pas d’enfants, n’a plus d’ancêtres : il s’isole de tous les côtés, il se retranche du passé comme de l’avenir. Reste le moment, pour la jouissance ou l’ennui."
Abel Bonnard
"Le beau c'est le vrai, bien mis."
Paul Morand
"Les mœurs ont plus d'importance que les lois. Les mœurs sont ce qui nous vexe ou nous adoucit, nous corrompt ou nous purifie, nous exalte ou nous avilit, nous barbare ou nous raffine, par une opération constante, régulière, uniforme, insensible, comme celle de l'air que nous respirons."
Edmond Burke
"Beaucoup de gens croient que l'aveu de leurs défauts les dispense de s'en corriger."
Marie von Ebner-Eschenbach
"Nous vivons un âge sombre sur une musique de cirque."
Arya S.
"Le sujet idéal du régime totalitaire n'est pas le nazi convaincu ou le communiste convaincu, mais des gens pour qui la distinction entre réalité et fiction et la distinction entre vrai et faux n'existent plus."
Hannah Arendt
"L'habileté du système, il faut le reconnaître, a été de compenser l'assèchement de la vie personnelle et l'évaporation des solidarités communautaires par de la consommation, de la bureaucratie, des spectacles et du sexe."
Dominique Venner
18:10 | Lien permanent | Commentaires (4)
14/03/2022
Pépiement (26)
Si on m'avait dit un jour que je repenserai à la France sous Hollande avec nostalgie...
15:42 | Lien permanent | Commentaires (20)
13/03/2022
Carte blanche (38)
Laissée à Kobus van Cleef
La première partie est ici, la deuxième ici, la troisième ici, la quatrième ici, la cinquième ici et la sixième ici.
Crépuscule des vampyrs et continent obscur
Septième partie
Il est nyctalope ce mec, pas possib'autrement, car il fait sombre dans la bicoque
La journée se passe, on entend les insectes bourdonner, les tôles du toit claquer en se réchauffant, mais bizarrement aucun humain ni humaines ( en général aux afwiques, c'est l'homme qui fait le plus de bruit)
Au crépuscule lorsque la température chute et que les fers à béton du bâtiment claquent, on les fait de nouveau grimper dans le pickup
Au bout de quelques heures cahotantes, on les débarque, on les aveugle de nouveau et la marche reprend
Pas pour longtemps, d'ailleurs elle est plus facile, aux cailloux et à la fluidité de la poussière sous les pieds succèdent le contact lisse du béton
Puis leur chaouch leur fait franchir une déclivité, une ou plusieurs marches
Les voilà dans une salle, de grandes dimensions si l'on en juge par l'écho répercuté par les parois, probablement du plancher au sol, pas de clim, un air un peu poussiéreux, pas bien chaud
On les pousse sur des chaises, on leur libère les poignets, on les soulage des bâillons puis des bandeaux
Ils sont là, à se frotter les paupières, ils s'avisent l'un l'autre, pas de bobo, toulmonde a l'air entier ?
On dirait, oui, on peut encore tenter quelque chose, en dépit du dépendeur d'andouille qui les couvre d'un air glauque et d'une petoire bien entretenue
Pas le temps, on perçoit des pas dans la pièce à côté, la porte va dinguer contre le mur d'en face, propulsée par une mâle assurance, et Blumroch fait son entrée
Un Blumroch vieilli de plusieurs décennies mais il porte encore beau, l'échine droite le regard clair la carcasse solide, le treillis ouvert sur un torse puissant, un Bruno Kremer en somme
Il se plante devant nos trois amis qui se sont instinctivement levés
Il vrille son regard dans celui de Blumroch, le vrai, qui ne cille point, puis dans celui de kobus ( il est pour cela obligé de pencher la tête) puis dans celui de Jean Eudes
Le cosaque lui approche un siège, il se pose et d'un geste très urbain, invite les prisonniers à en faire de même
Il s'éclaircit la voix,hum,hum
Nous nous rencontrons enfin, ceci dit, je ne vous ai jamais perdu de vue, suivi par drones, pisteurs indigènes, animaux de la forêt spécialement dressés, même les arbres, oui les arbres nous ont tenu au courant de vos aventures, déplacements et péripéties
Les arbres aussi ?
Évidemment, les arbres, what else ?
Bien, si nous pouvions revenir aux raisons de vos présences ici....
Le petit gros et le grand flandrin, nous savons, ils sont à notre recherche, l'universitaire en rupture d'Alma mater, c'est moins net, pouvez vous nous éclairer monsieur du gavrec de ponsac de clairencour de ceci et de celà ? (J'aurais bonne mine si ce patronyme existe réellement)
Jean Eudes dévisage son vis à vis et déclare calmement "il s'agit d'une curiosité toute scientifique, une curiosité anthropologique pour ainsi dire, l'ouest afwicain m'est plus que connu, d'autres horizons s'ouvraient"
le sosie de bruno kremmer le dévisage sans mot dire
il étend les jambes devant lui
"vous vous demandez, ou pas, pourquoi je vous cause au lieu de simplement vous liquider, ou de vous vider de vos sangs respectifs?
vous auriez raison de vous poser ces questions
et de ne pas les formuler à voix haute, mon opinion n'est pas encore arrétée, mais dans les grandes lignes, voilà la situation...."
il s'interrompt, son oeil , à l'instant vif et acéré, papillonne un peu dans le vide, sa bouche s'entr'ouvre
merde, il va pas nous faire une mort subite? un AVC?
les deux?
autre chose?
il se reprend
"en dépit de notre migration vers ce continent obscur, nous n'avions pas pris en compte l'évolution de l'humanité, pourri était le sang des européens, pourri est les sang de afwicains, avec un retard de quelques décennies, SIDA, drogues, parasitoses engendrées par la négligence des campagnes d'éradication des milieux humides dues aux indépendances...on peut dire que l'herbe n'est pas plus verte ailleurs, ou du moins elle jauni aussi vite"
"pour faire court, notre peuple se meurt, une fois de plus et aussi sévèrement que si nous étions restés au pays
sans idéaliser celui ci, d'ailleurs
nous ne sommes pas restés les bras croisés , vous pensez bien, nous avons déterminé qu'il fallait pas moins de 10 litres du précieux liquide pour maintenir l'un des nôtres en vie une seule semaine, avec un traitement dépuratif constant, un genre de dialyse voyez, qui extrait toutes les toxines, le truc est caché dans notre intestin, un genre de symbiote et ça nous fait des petites crottes que nous émettons à intervalle régulier, genre une fois par jour"
Kob's éclate de rire "oué, c'est un microbiote intestinal comme nouzautres, pas de quoi en faire une pendule"
une baffe assénée de main de maître le précipite à bas de sa chaise
"toi l'avorton ventru, tu le fermes, tu m'interrompt pas, ta mère t'as élevé avec les pieds ou quoi?"
penaud il se rassied
"nos scientifiques ont aussi induit une mutation dans l'hémoglobine qui rend dépendant à l'ingestion de sang, la même mutation que je porte, que nous portons, nouzautres vampyrs et que toi, Blumroch, tu devrais porter, si l'exposition aux rayonnement LGBT que tu as subi dans l'enfance n'avait pas fait muter à nouveau ton hémoglobine!"
les autres se dévisagent, Blum un vampyr?
on n'ose y croire!
il prend la parole "mais je connais mes pères et mères, je n'ai jamais eu peur de la lumière et je n'ai aucune accointance dans le milieu LGBT...."
"certes, il y a des choses que tu ignores, mon neveu éloigné, mais tu apprendras un jour"
"neveu? vous voulez dire que....?"
Et de quel rayonnement LGBT parle-t-on ?
Jamais exposé aux fiottes et autres folles, le Blum !
Bon, à l'alcool je dis pas mais c'est tout
Une chose en amenant une autre on apprend que les ancêtres de Blumroch, lointains ancêtres, furent karpatiques, que la mutation de l'hémoglobine s'est brutalement perdue ainsi que la photophobie, que de telles manifestations au sein d'un groupe homogène ne pouvaient pas être tolérées ( alors qu'aujourd'hui on tolère à peu près tout, à l'exception notable de l'expression des zopinions divergentes et choquantes) et donc que les arrières arrières arrières arrières grands-parents de Blumroch furent contraints à l'exil,exil terminé dans l'entre deux mers sur une parcelle de vigne qu'ils avaient bien du mal à faire prospérer ( là j'invente, mais on peut mettre ce que l'on voudra)
Où l'on apprend aussi que la combinaison des qualités défaillantes du sang afwicain, des parasites sanguins,du SIDA et des drogues est autant sinon plus toxique pour le métabolisme des vampyrs que la combinaison des qualités défaillantes du sang européen, des drogues, des toxiques phytosanitaires et du SIDA
Où l'on apprend, toujours,. qu'en dépit d'un travail acharné, effectué par des chercheurs vampyrs de jour et de nuit, dans des labos installés sur les hauteurs de Léopoldville, alimentés en courant par une zentral nukleer laissée en dotation par les belges à la décolonisation, alimentée en matériel humain par les n'haigres que les membres du groupe Wagner vont razzier la nuit ( il faudrait revenir sur cette accointance vampyrs groupe Wagner), en dépit de tout cela donc, les chercheurs ne sont pas parvenus à obtenir un résultat stable, robuste et définitif, la mutation de l'hémoglobine est donc parfois réversible, parfois pas, le dispositif inséré dans la lumière de l'intestin et destiné à épurer les toxines n'est pas toujours bien toléré, bref, et vous vous en doutiez, l'heure est gravissime et ils ont besoin de, de, de....?
Oui, d'expérimentation
Sur des humains
De phénotype avoisinant, puisqu'avec les n'haigres,rejet Habsolu et définitif, l'injection du modificateur génomique a entraîné au mieux un état de mal convulsif au pire une mort subite ( ou l'inverse)
Quant à l'implantation du symbiote intestinal, il s'est autonomisé, a bouffé les cobayes par l'intérieur pour ressortir par la bouche, une abomination, même pour des n'haigres
Quelque chose à voir avec l'ARNmessager, l'activation de la fraction idoine du complément et toutes ces merdes immunologiques et épigenetiques que nous ne maîtrisons Habsolument pas,quoi que nous prétendions, la folie du rhume 19 en attestant
Alors bien sûr, des courageux chez nous ont tenté l'implantation du symbiote..... pas réellement efficace, mais pas agressif, enfin, pas autant que chez les n'haigres, au pire, il est déféqué dans les semaines qui suivent, comme un gros vers solitaire, d'un volume conséquent ( il mime, on s'extasie devant la taille de son avant bras, couvert de poils argentés)
Mais pour le traitement génique, enfin la restimulation de l'expression génomique de la mutation.... personne n'a tenté
Voilà le marché que je vous propose, vous acceptez l'innoculation du traitement génétique, nous vous surveillons le temps nécessaire pour évaluer et, dans la mesure du possible,traiter d'éventuelles complications, nous vous relachons pour une étude dans le milieu naturel, puis nous vous implantons le symbiote
Si vous acceptez, vous serez des nôtres, vous serez des héros, Blumroch sera à l'honneur de sa lignée, il aura réparé un tort survenu deux siècles en amont
Dans le cas contraire, vous serez vidés de vos sangs respectifs,car nous les présumons moins toxiques que ceux de nos gibiers usuels, ni parasites, ni SIDA
Kobus s'exclame "ha, mais on peut pas savoir, moi par exemple, j'ai enfourché une délurée y a pas quatre semaines, et j'ai chopé une chtouille grandeur nature"
Une deuxième baffe le fait derechef choir de sa chaise
"Il est infernal votre pote, il a jamais appris qu'il fallait pas interrompre ceux qui causent ? Bon, on commence par lui !"
Le cosaque Wagner l'empoigne par une aile, kobus se rebiffe, comme un cave, bien mal lui en prend, une grêle de coups s'abat sur son museau, mais tu parles si ça le ralenti... jetté à terre il boxe le mec directement dans les roustons, déjà pas très coloré, l'autre verdi, éructe bruyamment puis tombe sur les genoux,ni une ni deux, Kob's lui claque la trogne sur le sol et tente de lui soustraire son arme, qu'il a gardé à la bretelle, récalcitrance,ahanements de part et d'autre, Bruno Kremer en profite pour, d'un maître coup de grolle, annihiler tout espoir de victoire du kobus
Il sombre dans l'inconscience
fondu enchaîné....ça tourne dans sa gogne, nausées, élancements divers, étincelles à la périphérie du champ de vision
merdasse , que s'est il passé?
à poil, étendu les bras en croix sur une table orthopédique, un gros cathéter dans le bras doit, un tensiomètre à gauche, un oxymètre de pouls au majeur....il lève les yeux....un chariot de réa antédiluvien avec le dèf' le set d'intubation, le draeger tout prêt....
mon pauvre Kobus il est temps d'entamer ton péan funèbre, pas certain que tu puisses écrire la fin de cette aventure
Un vampyr, totalement albinos s'approche, à la main, une éprouvette contenant un liquide bleu cobalt avec des reflets mordorés
Non de djieu, kes ke c'est ke c'truc là, encore ?
Il prélève la totalité du liquide avec une seringue ( 60 cc comme celles qu'on utilise en réa dans les pousse seringue) il connecte à la perfusion et hop, il pousse le tout allègrement, pas le temps de faire ouf, le gros kobus est expédié dans les pommes, les limbes, il se décorpore, se voit depuis le plafond, avec les alarmes qui couinent et le staff qui s'agite autour
Puis silence
Obscurité
On va l'perdre, on va l'perdre, on va l'perdre, l'perdre, perdre,erdre,dre...
On l'a perdu, perdu,du, du,du....
C'est sur ces échos catastrophés que notre ami s'éteint
Le scope fait un dernier bip puis ligne plate
On a balancé de l'adré, des bicars, de l'oxygène, on a massé, rien, que dalle, la carcasse ne répond plus, le moulin ne repart pas
Merdasse de merdasse, y a une incompatibilité immunitaire, encore une
Les mecs débranchent le de cujus,hop on retire les cathéters, la sonde trachéale, on coupe le Draeger qui faisait stupidement pchit pchit pchit ( en plus lent, c'est le rythme de la respi idéale)
Ils interrogent le grand vampyr qui ressemble à Bruno Kremer ( et que,par commodité nous avons décidé de renommer Bruno Kremer) , "on passe aux autres ?"
"Non pas, il n'en reste que deux et puis l'un est un neveu éloigné"
On pousse le cadavre tout chaud sur son brancard, vers une autre pièce
Un peu déglinguée la pièce,trous dans le toit et les murs, peut être des séquelles de la guerre du Kivu ou bien la décrépitude des zindependances
Les vampyrs tiennent conciliabule à côté, sans se cacher ni baisser d'un octave
Mais le bruit de la conversation n'atteint pas kobus qui, visiblement,entame son dernier voyage
D'abord son ventre dégonfle, spectaculairement, alors qu'en général c'est l'inverse
Puis sa pilosité semble s'accroître, à vue d'œil
On sait que la rétraction cutanée peut donner l'illusion que les poils poussent chez les Macchabées, cependant c'est un processus assez lent, ça n'arrive pas dans les 15 minutes après la mort
Enfin,sa peau blanchi,y compris le coup de soleil sur la calvitie, puis elle tourne au bleu
Et lorsqu'on dit bleu, c'est bleu
Ses lèvres se retroussent, des cannines pointent vilainement
Bon gû, mais kes kis passe ?
Les necrophages ne l'approchent pas,ni caliphora viccinaria ni caliphora mortuaria, les bestioles ont même tendance à déserter le coin, mais ça ne touche pas les vampyrs à côté qui déblatérent de façon de plus en plus véhémente
Enfin un rayon de lune touche la paupière..... elle s'ouvre,cling, d'un seul coup
Si on était au Kino, il y aurait un effet musical, des cuivres ou des cordes, cliiiiing !
Mais on est dans la vraie vie et pas un bruit ne vient ponctuer la renaissance de kobus
Il ouvre l'autre œil, le regard bêtement fixé au plafond, ça papillonne un peu, puis ça se fixe, le temps de constater que l'iris est devenu rose, albinos, si vous préférez
Il remue ensuite les mains, les doigts, les épaules, soulève une jambe, l'autre, inspire profondément, lâche un gaz, un autre, fini par s'asseoir sur le bord du brancard
Il est effrayant à voir, éfflanqué, la peau bleuâtre, les dents qui dépassent, des poils blancs, des yeux roses
Le mort qui vit, c'est pas une miss France, c'est une exhumation !
Souple comme un lingot de fer brut il glisse à terre, le brancard va dinguer contre le mur, la conversation avoisinante s'interrompt aussitôt, un bruit de pas, on vient, où se cacher ?
18:25 | Lien permanent | Commentaires (27)
12/03/2022
Pépiements (25)
"Refugees Welcome, j'aime Greta, je suis Charlie, je prie pour Paris, je regarde ailleurs quand on réprime les manifestations, je dénonce mon voisin qui ne respecte pas le confinement, j’applaudis le personnel soignant, je me vaccine, j'affiche les doses que l'on m'a injectées sur mes réseaux sociaux, je soutiens l'Ukraine, j'affiche la photo de mon thermostat à 18°. Maîtres, regardez comme je connais ma leçon et je la récite bien."
Notre époque est devenue l'âge d'or du fayot.
08:28 | Lien permanent | Commentaires (14)
09/03/2022
Pépiements (24)
Le réfugié exotique que l'on accueillait avec un peu de pitié condescendante est provisoirement passé de mode, c'est du caucasien qui arrive. Et l'Européen, malgré des décennies de propagande, ne peut s’empêcher de le percevoir différemment du précédent. Il nous ressemble tellement, se dit-il, ce pourrait être nous... Et il lui vient une sourde angoisse ; finit le sentiment rassurant d'être le généreux privilégié qui daigne ouvrir sa porte pour aider le nécessiteux qu'il croit lointain, le monde lui apparaît tout à coup plus fragile qu'il ne l'avait cru. Peut-être bien, aussi, perçoit-il confusément l'inutilité de toutes les humiliations et les soumissions acceptées pour vivre heureux : l'Histoire n'a pas dit son dernier mot. L'Européen ne pardonnera jamais à Poutine ce rappel du réel, qu'il n'est pas possible de vivre pour l'éternité dans la paix et la prospérité. D'où la censure hystérique de tout ce qui évoque la Russie qui va au-delà des usages inhérents aux temps de guerre : ce qui ne va pas dans le sens du "progrès" ne peut être qu'obscène.
15:29 | Lien permanent | Commentaires (16)