08/04/2024
Pépiements (203)
Je discute de choses et d'autres avec un collègue. Bientôt notre conversation en arrive à l'actualité qu'il me dit trouver assez sinistre ; il me cite pêle-mêle l'inflation, le réchauffement climatique, la pollution, les risques d'épidémies, la dégradation des services publics, oublie l'immigration et finit avec un "et avec l'autre con qui veut nous balancer un missile". Je suppose que "l'autre con" c'est Vladimir Poutine.
Le Français est un curieux individu, il doute des médias, considère que les hommes politiques sont corrompus ou incapables, mais croit globalement au narratif diffusé par leurs écrans et redoute, qu'il vote ou non, le retour de l'extrême-droite. En fait, le système en place n'en demande pas plus.
19:50 | Lien permanent | Commentaires (19)
06/04/2024
Pépiements (202)
Étant donné la malédiction de la Ve République qui veut que chaque président soit pire pour le pays que son prédécesseur et vu l'état actuel dudit pays, s'il y a un référendum sur la question je voterais pour que Macron soit président à vie.
07:32 | Lien permanent | Commentaires (11)
04/04/2024
Un peu d'humour (63)
20:23 | Lien permanent | Commentaires (6)
03/04/2024
Pépiements (201)
Quand on prend de l'âge on finit toujours par dire ou penser « de mon temps... ». On est pourtant toujours vivant, on participe encore au fonctionnement de la collectivité, on peut avoir de belles années devant soi, mais on admet néanmoins - parfois confusément - que la société est faite pour les plus jeunes que soi ; les modes, les tendances, la culture populaire, cet air du temps qui transforme les peuples et le monde. Alors le plus grand nombre s'agite, singe la jeunesse et s'y agrippe comme un naufragé à une bouée pour ne pas être emporté par la vague.
21:15 | Lien permanent | Commentaires (4)
02/04/2024
Nonos
Source : Will to power - Aurevoirmonty
21:50 | Lien permanent | Commentaires (6)
Musique (676)
Koyaanisqatsi (version orchestrale)
Philip Glass
21:37 | Lien permanent | Commentaires (4)
01/04/2024
Pépiements (200)
À l'époque où je m’intéressais au cinéma – j'étais plus jeune et le cinéma ressemblait à quelque chose – j'ai souvent été surpris par l'antiaméricanisme de principe que je pouvais lire dans les critiques de beaucoup de journalistes. Aujourd'hui c'est l'inverse, on fait preuve dans ce milieu d'une extrême indulgence pour la moindre niaiserie d'outre-Atlantique quand on ne se pâme pas dès qu'un film montre une once de recherche scénaristique.
19:12 | Lien permanent | Commentaires (2)