12/10/2018
Musique (484)
Werchowyna
Zoriuszka
РУСИЧИ (RUSICHI)
Два сокола (Deux faucons)
21:43 | Lien permanent | Commentaires (2)
11/10/2018
Histoire... (148)
Actuel Moyen Âge interviewe Faustine Harang à l’occasion de la sortie de son livre La torture au Moyen Âge. Nous sommes assez loin de l'image véhiculée par la culture populaire avec ses moines et ses magistrats cruels et obtus passant à la question de pauvres hères au moindre soupçon.
20:56 | Lien permanent | Commentaires (17)
10/10/2018
Votez Fillon !
Plus je prends de l'âge plus j’abhorre la droite dite "parlementaire" et ses électeurs. Longtemps je les avais pris pour des alliés un peu timorés et quelques expériences de ma courte période militante au FN m'avaient fait croire à de la sympathie de leur part. J'avais imaginé naïvement que quels que puissent être nos divergences nous partagions des principes, de grands principes communs. En fait, il s'agissait très généralement que de prudence parce que ce qui caractérise les partisans de cette droite c'est leur égoïsme et leur lâcheté morale. Les "droitards" veulent surtout que rien ne chance pour eux, prêts à toutes les compromissions avec n'importe qui pourvu qu'ils gardent leur pouvoir d'achat, courant pour cela au secours de la victoire dès que possible. Combien de notables se sont reniés en acceptant les fantaisies grotesques de la gauche afin de garder leur poste ou pour faire "moderne" parce que les temps changent ? La nation française ne leur est simplement apparue longtemps que comme la garante la plus adéquate à leur préservation ; donnez-leur ce qu'ils croient être meilleur pour eux et ils passeront à autre chose. Entre la vieille France pour laquelle ils ont tout de même quelque nostalgie et les mânes du progrès ils ne tergiversent pas, ils vont là où est l'argent. Car en fait ils n'aiment que cela, pas très différents de l'image caricaturale des bourgeois de jadis ; l'argent et la sécurité, non pas celle de chacun, mais la leur et celle de leur caste. "Le monde peut bien s'effondrer ma retraite est assurée et mon fils est ingénieur, il trouvera toujours du travail" pourrait résumer implicitement leur idéal de vie, le même que celui des bobos les fioritures de mièvrerie altruiste déculpabilisantes en moins. À force d'arrangements intéressés et de reniements plus où moins honteux de ceux en qui beaucoup ont crus ou voulus croire parce que "les extrêmes on sait où ça mène" nous en sommes arrivés où nous en sommes et il est bien trop tard aujourd'hui.
10:15 | Lien permanent | Commentaires (35)
09/10/2018
Prénoms
Sur le site Data Addict la page consacrée à l'évolution des prénoms en France de 1950 à 2010 est instructive.
23:08 | Lien permanent | Commentaires (21)
08/10/2018
Balade
Je ne suis pas amateur de jeu vidéo, mais j'ai passé près de deux heures à regarder mon neveu faire l'intégralité de FAR : Lone Sails. Dans un univers steampunk post-apocalyptique un petit personnage conduit une sorte de locomotive vers la salut à travers différents décors. L'histoire est linéaire et les épreuves assez simples, mais la musique et les décors sont de toute beauté ; un envoûtement pour les âmes contemplatives.
19:56 | Lien permanent | Commentaires (5)
07/10/2018
Le jeu des deux images (321)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
19:01 | Lien permanent | Commentaires (32)
04/10/2018
Petit théâtre ambulant (9)
Il y a contrôle dans le tram. Un peu plus loin dans la rame une femme basanée, peut-être Rom, n'a manifestement pas de titre de transport et ne semble pas vouloir donner son identité. Elle n'est pas agressive et parait plutôt tenter le registre geignard avec le contrôleur. Comme l'histoire s'éternise ses collègues qui ont terminé les vérifications dans leur secteur se rapprochent de la contrevenante, peut-être pour faire pression. En face de moi deux étudiants parlent de leurs cours, mais s’interrompent bientôt pour s'intéresser à l'incident. La fille finit par lâcher :
- C'est triste, les transports devraient être gratuits.
Son compagnon, pas très convaincu, mais ne voulant visiblement pas la contrarier botte en touche avec un :
- Oui, mais tu sais...
Leur débat sur le sujet s'arrête là et ils reprennent leur conversation de tout à l'heure. Et moi je descends à la station suivante.
20:42 | Lien permanent | Commentaires (40)