23/06/2020
Jeux vidéo, nazis, etc.
Paradise Lost
Comme il est dit dans la présentation du jeu sur XBOXYGEN le sujet est original.
21:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/06/2020
Imagerie (4)
Deux autres sites commerciaux proposant des posters néo-rétro :
20:24 | Lien permanent | Commentaires (2)
21/06/2020
Bribes d'Occident (63)
De nouvelles révélations sur Stonehenge de Gail Willumsen (visible sur le site d'Arte jusqu'au 30/10/2020)
20:56 | Lien permanent | Commentaires (2)
Blanchitude
Faisons bref ; que clame le Système sur tous les tons nuit et jour ?
Que si la guerre existe depuis la préhistoire et que c'est mal – et ça tout le monde veut bien l'admettre - c'est malheureusement banalement humain. Cependant même après les conflits les plus brutaux les protagonistes faisaient la paix, or lors de la Seconde guerre un groupe a agi différemment : il a décidé qu'un peuple n'avait pas le droit de vivre. Les nazis, puisqu’il s'agit d'eux, en se conduisant de cette manière, en refusant à une population d'exister, se comportaient d'une manière inédite, haineuse, maléfique et conséquemment se mettaient eux-même au ban de l'humanité. Et les nazis étaient blancs et ils en tiraient même une fierté. Il n'y aura donc jamais de White Pride, et plus grave, la race blanche capable d'avoir engendré le mal absolu est marquée pour l'éternité du sceau de l'infamie, tout Blanc est un nazi potentiel. Un nazi n'aura jamais d'excuses et ni droit à une quelconque pitié, un Blanc ne mérite pas mieux. S'il veut survivre dans le monde de demain il devra collaborer en s'humiliant, se métisser pour se purifier ou disparaître. Tenez il y a de jolis T-shirts qui résument parfaitement cette logique :
Des Blancs l'arboreront et vous diront : « Ne mélangeons pas tous, ce sont ces salauds de nazis qui sont visés avec raison », sans comprendre qu'ils portent en fait sur eux l'énoncé de leur condamnation comme certains condamnés de jadis, à la différence que ceux-ci étaient contraints de le faire.
08:17 | Lien permanent | Commentaires (51)
20/06/2020
Nous sommes en été
23:05 | Lien permanent | Commentaires (15)
18/06/2020
Musique (543)
Les musiques de Barry Lyndon de Stanley Kubrick : 50 minutes loin de ce monde...
1 Sarabande Main Title (Georg Friedrich Handel) (0:00)
2. Women of Ireland (Sean O'Riada) (2:40)
3. Piper's Maggot Jig (Traditional) (6:53)
4. The Sea Maidens (Traditional) (8:37)
5. Tin Whistles (Sean O'Riada) (10:44)
6. British Grenadiers, Fife and Drums (Traditional) (14:28)
7. Hohenfriederberger March (Frederick the Great) (16:43)
8. Liliburlero, Fife and Drums (Traditional) (18:00)
9. Women of Ireland, Harp (Traditional) (19:08)
10. March from Idomeno (Wolfgang Amadeus Mozart) (20:04)
11. Sarabande Duel (Georg Friedrich Handel) (21:37)
12. Lilliburlero (Traditional) (24:52)
13. German Dance No.1 In C-Major (Franz Schubert) (25:47)
14. Sarabande Duel (Georg Friedrich Handel) (28:05)
15. The Cavatina from Il Barbiere Di Saviglia, Film Adaptation (Giovanni Paisiello) (28:56)
16. Cello Concerto E-Minor, Third Movement (Antonio Vivaldi) (33:28)
17. Adagio from Concerto for Two Harpsichords And Orchestra in C-Minor (Johann Sebastian Bach) (37:21)
18. Piano Trio in E-Flat, Film Adaptation of the Opus 100 2nd Movement (Franz Schubert) (42:38)
19. Sarabande End Titles (Goerg Friedrich Handel) (46:56)
22:03 | Lien permanent | Commentaires (48)
17/06/2020
Chronique du temps de la Covid-19 (26)
Depuis que l'entreprise où je travaille considère qu'elle a de nouveau besoin de moi je fais le trajet pour m'y rendre et en revenir à pied ; le tram ne m'inspire toujours pas et ça me dérouille après l'inactivité du confinement. Ce matin ça m'a aussi permis de croiser une patrouille de militaires de l'Opération Sentinelle passant entre un punk à chiens faisant la manche à moitié affalé sur le trottoir et un panneau appelant à aller voter pour le deuxième tour des municipales en respectant, bien évidemment, les gestes barrières. La scène, avec les quelques piétons masqués en arrière plan, méritait la photo ; je me suis abstenu certains protagonistes pouvant mal le prendre, c'est dommage.
19:57 | Lien permanent | Commentaires (0)