10/11/2020
Musique (559)
Proposée par Blumroch :
Room of Angel d'Akira Yamaoka, interprétée par Mary Elizabeth McGlynn
BO du jeu vidéo Silent Hill 4: The Room
20:40 | Lien permanent | Commentaires (19)
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Proposée par Blumroch :
Room of Angel d'Akira Yamaoka, interprétée par Mary Elizabeth McGlynn
BO du jeu vidéo Silent Hill 4: The Room
20:40 | Lien permanent | Commentaires (19)
Commentaires
[Musicalmar]
Les détournements d'une scène de *La chute* sont légion ; celui-ci est plus inattendu, qui est presque... sacrilège :
https://www.youtube.com/watch?v=TwO8Z622oAI
(chaîne ioutube découverte grâce au bedeau)
Écrit par : Blumroch | 11/11/2020
[Musicalmar]
Mon P4 étant mort, le Pentium II sous Novell DOS que je gardais en service est redevenu ma bécane principale. Je suis un écolo réactionnaire. J'avais oublié y avoir archivé des messages échangés sur Compu$erve dans les années 90. Dans l'un d'eux, sans originalité, j'expliquais à un informaticien américain incrédule que nous allions vers une société mondiale faite des cauchemars d'Orwell, d'Huxley et de Zamiatine. Toujours sans originalité, je voyais l'union forcée imposée par les organisations criminelles internationales sous prétexte d'un ennemi commun à toute l'humanité, qu'en bon lecteur de science-fiction, je voyais sous la forme d'extra-terrestres aussi méchants qu'imaginaires. J'exposais même dans les grandes lignes le plan nécessaire pour faire gober cette histoire aux populations, mettant à profit l'industrie cinématographique et la NASA (découverte d'une base lunaire établie par les martiens sur la face cachée de la Lune, fabrication de villages des damnés prétendus coupés du monde extérieur, destruction de quelques villes...).
L'important était de laisser planer une menace *diffuse* sans jamais en montrer *trop* les effets *indirects*, et *jamais* les auteurs. Tout devait passer par les merdias.
Bref, un vrai film de série Z... mais avec la caution de l'o.n.u. ;-)
Qui aurait pensé que les marionnettistes utiliseraient, pour mener à bien leur sinistre projet, un virus anodin ? Qui aurait imaginé qu'un tel prétexte serait partout accepté par des populations de krons finis ? Qui aurait deviné que nous allions nous retrouver dans une société digne d'un très mauvais film de science-fiction ?
Écrit par : Blumroch | 11/11/2020
@ Blumroch
2 pépites, Kamerad.
Un documentaire à voir sur le couillonavirus:
https://youtu.be/Ax1hPfvLhtw
Écrit par : Sven | 11/11/2020
Blumroch > Amusant, et ça me rappelle des souvenirs d'enfance.
L'avantage avec un virus c'est que cela tient de la science et quand on est pas scientifique on est obligé de faire confiance... au début tout au moins.
Écrit par : Pharamond | 11/11/2020
@Pharamond : Trust no one. Les savants sont comme tout le monde, capables de tout. Pas tous, évidemment, mais en nombre suffisant pour justifier des bouquins tels que *La souris truquée*. L'histoire des sciences ne propose pas que des esprits admirables : outre les étourdis de bonne fois, y'a aussi les fraudeurs, auxquels on peut ajouter aujourd'hui les pourritures ivres de pouvoir, d'argent et d'honneurs frelatés -- carriéristes et politicards ne sont généralement même pas de vrais savants. Comme le disait un méchant esprit, la proportion des imbéciles est la même dans tous les groupes.
[Musicalmar "Trésor des expressions ricaines"]
Très momentanément[-1] conquis par le multiculturalisme et le localisme, je tiens à le prouver par cette phrase mélangeant trois cultures[0] : *"Going postal"*, c'est la saine réaction de l'honnête homme face à la folie du monde, quand il devient un *berserker* pour pratiquer une variété d'*amok* façon Nietzsche[1].
"Going postal" concerne principalement les amateurs de FPS, à commencer par le surestimé mais rigolo *Postal 2*.
Une autre expression commence à intéresser les ricains fréquentables, c'est-à-dire les mauvais esprits de chez eux : "Going Galt". C'est, pour les ceusses encore indispensables au bon déroulement de l'exploitation des moutons par les krons et salauds, une idée assez proche de la grève des cerveaux prônée par Rand : l'arrêt du ravitaillement vers les villes d'écolos bobos végans ou non, qui pourraient ainsi faire l'expérience de la vie austère et bientôt misérable qu'ils entendent imposer à tout le monde sauf à eux. L'arrêt des services accompagnerait évidemment celui des vivres : ni bouffe ni médicaments ni plombiers ni électriciens ni pompiers... Une manière de New York 1997. M'est avis que le spectacle, filmé par des drones, serait vite divertissant.
Comme toujours, hélas, "going Galt", c'est une courageuse décision individuelle qui n'aurait de force que prise et appliquée par une immense majorité.
[-1] Juste le temps de ce musicalmar. Eh, what did you expect ?
[0] A dire vrai, deux, plus quelque chose qui en tient lieu.
[1] Because amok fati. Wormword lives ! ;-)
[Musicalmar "Répartition pas très collectiviste"]
Je vois bien deux ou trois manières d'avoir des élections impossibles à truquer, à commencer par la suppression des élections[1].
En attendant, un certain Frank Benford avait trouvé une loi universelle permettant, entre autres merveilles, de détecter l'altération des votes. Encore une de ces connaissances inutiles et ornementales que j'avais oubliée (eh, après tout, je ne suis pas un savant), et que je retrouve grâce aux vieilles archives enregistrées sur mon Pentium II.
Gougueule, interrogé, dénonce ces deux articles, sans compter l'inévitable billet de vulgarisation signé kikipedia :
https://www.visionguinee.info/2020/10/27/presidentielle-2020-au-regard-de-la-loi-de-benford-les-chiffres-publies-par-la-ceni-sont-frauduleux/
https://www.compta-online.com/la-loi-de-benford-et-la-fraude-ao2817
https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Benford
La première référence concerne la Guinée. C'est à dessein : cette investigation mathématique, appliquée à un pays plus moderne comme les U. S. of A., serait évidemment insultante.
[1] Yes, I may be just a dreamer indeed.
[Musicalmar "Is it worth it ?"]
Ce n'est pas que l'avis de mes contemporains m'importe beaucoup, mais je serais curieux de savoir si tous ces musicalmars et autres interventions passionnantes, distrayantes et instructives intéressent quelqu'un, à part les rares Kameraden et camarades qui me font l'honneur de se signaler. Je peux ne pas taper tout ça, et pour cause : je sais déjà ce que j'ai à raconter. Ecrivain, j'aurais des nombres de ventes ; blogueur, les nombres de vues ; mais commentateur ? Blumroch finira par se taire (vita brevis), peut-être même avant que Foutriquet 2.0 ne pose une muselière et un baillon sur Internet -- ce qui, si l'individu est un peu moins kron qu'il ne le démontre mauvaise action après mauvaise action, ne devrait plus tarder à l'excès. Prenez modèle sur Contrepoints, que diable !
Écrit par : Blumroch | 12/11/2020
[Musicalmar]
Ah, les journalopes et les zintellectuels à gages, ces ersatz de curés et d'instituteurs, indispensables intermédiaires entre le Savoir et la vile populace...
L'immense Oscar, dans *Intentions -- The Critic as Artist*, disait la nécessité de lire les journaux : "[...] there is much to be said in favour of modern journalism. By giving us the opinions of the uneducated, it keeps us in touch with the ignorance of the community."[1]
C'est pourquoi je consulte, de loin en loin, le site *Atlantico*, qui croit encore nécessaire de solliciter les avis d'un Jacques Julliard pourtant discrédité depuis des décennies[2] :
https://www.atlantico.fr/decryptage/3593768/jacques-julliard--la-crise-du-covid-a-fait-la-preuve-que-les-orientaux-etaient-plus-reactifs-que-les-occidentaux-coronavirus-communication-politique-peuple-foule-impact
Me demandant quelles platitudes et kronneries l'animal va pouvoir énoncer doctement, je lis. Dans les questions passionnantes posées au Grand Cerveau, figure ce passage :
"on étudie les théories de Jacques le Bon (Psychologie des foules, 1895) ou de Herman Broch (Théorie de la folie des masses, 1930-1950)".
Ainsi, l'auteur de *La psychologie des foules*, c'est maintenant un Jacques le Bon -- peut-être le nom d'un roi de France en exil, oublié de tous et des même des manuels d'histoire, roi dont la générosité lui aurait valu d'être surnommé "le Bon". Avant *Atlantico*, j'attribuais ce livre au bon et grand docteur Gustave Le Bon.
Quant à ce Broch, c'est le célèbre Hermann avec deux n qui nous a donné le magnifique *La mort de Virgile* : né en 1886, il est mort en 1951.
On notera que Julliard n'a réagi à aucune de ces deux grossières perles d'inculture et de fausse érudition.
[1] https://en.wikisource.org/wiki/Intentions/The_Critic_as_Artist
[2] Je regrette de n'avoir pas gardé un de ses vieux éditos du *Nouvel Observateur* : il y reconnaissait, contraint et forcé, que la vilaine presse de drouate extrême n'avait pas menti sur l'existence de la fille pingeot et sur tous les développements mafieux associés. Les fâchistes n'étaient donc pas toujours de méchants menteurs ; à l'avenir, il en tiendrait compte en lisant leurs feuilles nauséabondes, c'était une promesse d'honnête homme. La semaine suivante, il reprenait ses bonnes habitudes. "Business as usual".
Écrit par : Blumroch | 12/11/2020
[Musicalmar "Quand les leurkeurs s'expriment"]
L'article *infra* est banal, dont l'auteur orchestre ses platitudes habituelles et prévisibles ; la discussion est bien plus intéressante : par moments, on croirait lire de vrais drouatistes extrêmes à la limite de l'anti-covidisme parfois qualifié de... complotisme.
Quand même, évoquer une grève des électeurs sans la moindre allusion au chef-d'oeuvre de Mirbeau[1], c'est fort.
Nos idées progressent : nous ne sommes plus 1% de la population mais 2%. La victoire est en vue. ;-)
Blague à part, une sourde inquiétude semble grandir, timidement, trop timidement.
http://h16free.com/2020/11/11/67045-lappauvrissement-des-francais-continue
[1] http://www.homme-moderne.org/textes/classics/mirbeau/greve.html
http://www.theyliewedie.org/ressources/biblio/fr/Mirbeau_Octave_-_Prelude.html
(Le prélude seulement)
Écrit par : Blumroch | 12/11/2020
[Musicalmar "Les grands esprits se rencontrent"]
Damn, un commentaire de l'article cité *supra* me mène au "Blog à Lupus" que j'avais négligé ces derniers jours, et je tombe sur un article consacré à la loi de Benford appliqué à l'élection ricaine :
https://leblogalupus.com/2020/11/10/usa-cela-defie-toute-logique-un-scientifique-decouvre-des-signes-revelateurs-de-fraude-electorale-apres-avoir-analyse-les-donnees-des-bulletins-de-vote-par-correspondance-mise-en/
Doit y'avoir un Zeitgeist comme disent les ceusses qui parlent le naziste dans le texte. ;-)
Écrit par : Blumroch | 12/11/2020
[Musicalmar de circonstance]
Quelques réflexions tirées d'*Esculape foudroyé*, écrit par un Alphonse Crespo en grande forme et parfois digne de Bainville. Ce pamphlet intemporel date de 1991, qui mériterait d'être lu par chaque médecin et par chaque patient.
// Crespo a oublié les indispensables milichiens.
Les Etats ont besoin de sang et d'esclaves pour survivre.
// Triomphe du collectivisme sous le masque usurpé du capitalisme de connivence à la chinoise.
Quel que soit leur discours politique, les gouvernants d'aujourd'hui disposent, grâce à ces précurseurs ["les pionniers du fascisme"], d'un système d'assujettissement cohérent et efficace. L'Etat moderne allie avec succès la puissance rhétorique du socialisme aux principes fascistes de soumission de l'individu.
// La seule logique, c'est "Ou bien... ou bien". Soit A, soit non-A.
On ne peut servir deux maîtres à la fois. Une société qui oppose les intérêts de la majorité de ses membres à ceux de l'individu place le médecin devant un choix. Il peut rester fidèle à sa mission première : au service exclusif de l'individu malade, forcément minoritaire dans la société. Il s'opposera à la collectivité lorsque les aspirations de cette dernière prétéritent les besoins de son patient. Il n'hésitera pas à défier les lois qui violent sa conscience. Inversement, le médecin peut choisir de se plier aux contraintes de la collectivité. Il acceptera d'en privilégier les objectifs, même lorsque ceux-ci sont contraires aux intérêts du malade. Il cesse alors d'être médecin, pour se transformer en agent de santé libéré des obligations éthiques propres à son art.
// Préfiguration de la tyrannie à prétexte sanitaire, 1.
Instrument d'un nouveau totalitarisme de la santé, la médecine social-fasciste nous apporte le rationnement des soins, les parasitages ruineux, le lobbyisme politico-médical, le marché noir, le bio-esclavagisme, les ghettos pour vieux, les machines à suicide. Elle hérite du socialisme son masque de vertu, son égophobie foncière, son culte de mots-mirage : "solidarité", "justice sociale", qui divisent la société en débiteurs et en quémandeurs, fauchant au passage tout instinct d'entraide. Elle abhorre le libre contrat entre individus. Elle lui substitue la convention collective imposée d'autorité si nécessaire.
// Préfiguration de la tyrannie à prétexte sanitaire, 2.
Pour le socialiste comme pour le fasciste, la santé individuelle (comme la propriété privée) ne peut qu'être subordonnée à celle, plus abstraite, du "corps social". La lutte contre la maladie ne passe plus par l'individu malade ni par son médecin mais par les mandataires d'une collectivité qui décide, souveraine, des moyens qui seront engagés. On désignera arbitrairement les fléaux et on modulera la vigueur du combat en fonction de l'hystérie qu'ils réveillent. On agira sur les comportements individuels, par la force s'il le faut, pour promouvoir l'hypothétique santé de l'ensemble. Les égoïsmes doivent s'effacer devant les intérêts supérieurs de la collectivité.
// La liberté ou la mort. Personne n'est immortel.
La maladie, le vieillissement, la mort font partie du programme au même titre que la mauvaise récolte ou les intempéries. Aucune institution humaine, affublée ou non des substantifs de sécurité ou de social, ne changera cette vérité. En confisquant aux individus la gestion du risque, l'Etat ne dessaisit pas ce risque de son glaive. Il le dépouille simplement de ses deux éperons : celui qui réveille la prudence, le sens de l'épargne et de l'entraide, et celui qui stimule le courage, l'esprit d'entreprise. Les petits fils des trappeurs sont tombés dans la trappe. Ils ont accepté le marché de payer, en libertés, l'illusion de la sécurité.
// Rouages anonymes et interchangeables, sauf les maîtres, évidemment.
Nos sociétés ont conceptuellement transformé l'individu en rouage de la collectivité. Elles commencent à réaliser qu'il est plus rationnel de le remplacer que de le réparer, lorsqu'il est défaillant, et que la réparation s'avère coûteuse.
// Grande nouveauté de l'époque. Nous finirons tous en batteries, en Soylent Green, en compost.
Le contrôle de l'activité biologique des individus est aussi important que celui de leur activité économique.
// On trouve toujours des salauds de collabos ivres de pouvoir.
Chaque jour, des dignitaires de la corporation prêtent leur savoir à des commissions peuplées de technocrates étrangers au Serment. Ils fournissent à ces derniers, en échange d'honneurs, d'immunités ou de jetons de présence, les moyens techniques d'exercer une activité médicale sur grande échelle par arrêté interposé.
// Chaque choix a son prix.
Dans un système de santé fermé où la convention collective et la réglementation d'Etat supplantent le contrat individuel, le médecin qui veut observer la doctrine hippocratique à la lettre peut encore choisir... entre le statut de paria ou la retraite anticipée.
// L'esclavage tout court.
Le droit de propriété de l'être humain sur sa propre personne est le fondement de toutes les libertés individuelles. En assimilant la santé à un bien collectif, la société s'engage dans un processus qui porte atteinte à cette liberté essentielle. La législation en voie d'élaboration dans le domaine de techniques médicales d'avant-garde ébauche une forme nouvelle de l'asservissement à l'Etat : l'esclavage biologique.
// Hommage du vice à la vertu.
Cependant, même dans les régimes les plus corrompus, les politiciens doivent pouvoir justifier leurs méfaits par des considérations morales.
// Déjà Attali, déjà un Salomon.
La social-fascisation de la médecine conduit progressivement à une politique malthusienne de la santé. Jacques Attali remarque avec pertinence qu'au-delà d'un âge de 60 à 65 ans l'homme "... vit plus longtemps qu'il ne produit et il coûte alors cher à la société [...] 1'allongement de la durée de vie n'est plus un objectif du pouvoir [...] du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s'arrête brutalement plutôt qu'elle ne se détériore progressivement". (J. Attali, interview par M. Salomon dans Nouvelle Presse médicale 11, 1982)
// Foutriquet 2.0 n'est même pas original.
La démoralisation de médecins à la fois boucs émissaires et agents rationneurs de systèmes en faillite, l'érosion de leur éthique, la tentation euthanasique sont des signes qui ne trompent pas. La décomposition de la médecine est engagée. Les parasites commencent d'ailleurs déjà la curée.
// Aujourd'hui, on croit pouvoir changer la nature du mouton. Hélas, ça marche.
Nous voulons la révolution socialiste avec les hommes tels qu'ils sont aujourd'hui, et qui ne se passeront pas de subordination, de contrôle, de surveillants et de comptables.
(Lénine, *L'Etat et la révolution*)
// Droit sacré à l'insurrection.
Nous sommes descendus si bas que nous imaginons qu'obéir aux prescriptions de la loi est conforme à notre de voir et à notre religion.
(Gandhi, *Résistance non violente*)
//
Écrit par : Blumroch | 12/11/2020
Blumroch > Je n'ai jamais dit que les scientifiques étaient des surhommes ni même différents, mais il existe des domaines qui sont tout de même difficilement accessibles sans s'y être penché quelques années.
Moi je lis toujours tes commentaires, d'ailleurs je lis tous les commentaires, même si je ne trouve pas toujours quoi y ajouter.
Écrit par : Pharamond | 12/11/2020
Blumroch > Les références répétées et erronées au fascisme nuisent au propos de ce Crespo.
Écrit par : Pharamond | 12/11/2020
@Pharamond : On peut assez vite faire la différence entre les crapules aux ordres du pouvoir ou ivres de pouvoir, et les autres, sans avoir besoin de devenir spécialiste. Pas besoin d'être un chanteur d'opéra pour savoir que Madonna est une casserole, pas besoin de savoir programmer pour savoir ce que vaut un logiciel, pas besoin d'avoir un doctorat de médecine pour savoir que veran et défraîchi sont des krons, et que fouché est un vrai médecin.
I do know : "à part les rares Kameraden et camarades qui me font l'honneur de se signaler". ;-)
Find & Replace "fascisme" with "tyrannie". ;-)
Écrit par : Blumroch | 12/11/2020
Blumroch > Pour en revenir à mon commentaire de départ ; je disais juste que la médecine est une science et que de ce fait on a tendance à croire ceux qui en ont fait leur métier et ont étudié pour. Les doutes peuvent s'immiscer par la suite, mais au départ on a tendance à croire les professionnels parce que les virus et leur léthalité ça échappe aux compétences de beaucoup de gens. Ce n'est pas comme le déni qui voudrait que le terrorisme et la délinquance ne soient liés à l'immigration : dans ce cas il suffit de regarder les journaux et sortir dans la rue pour constater que c'est une ineptie et tous les experts qu'on voudra auront bien du mal à convaincre du contraire.
Il aurait dû le faire lui-même au lieu de jouer les malins. Le bonhomme est libéral et préfère sans doute une médecine à l'américaine. Désolé, mais il ne me convainc pas.
Écrit par : Pharamond | 12/11/2020
@Pharamond : Le diplôme ne garantit pas la compétence, quel que soit le domaine ; au mieux, il garantit des connaissances... qu'on trouve dans des livres. Au reste, quand on a eu un doctorat qui exige quelques aptitudes au raisonnement (précision importante !), on les a tous si on a du temps à perdre ou un intérêt particulier pour un sujet.
Faut quand même pas mésestimer la force de la logique élémentaire. Je regarde le rapport population/nombre de morts par an, je compare les courbes de mortalité des dix dernières années, et je sais que le virus de Wuhan (dont l'origine ne m'intéresse en rien) est un danger plus que surestimé, et un simple prétexte pour imposer aux populations de moutons un contrôle social total. Pas même besoin de jouer les experts.
Certaines idées de Crespo me semblent détestables, mais pas celles que j'ai citées. ;-)
Écrit par : Blumroch | 12/11/2020
Blumroch > Avant d'avoir les premiers avis divergents, j'avoue avoir pris mes précautions face à la Covid d'autant plus qu'une collègue atteinte a été très malade. C'est la persévérance dans l'aveuglement qui pose un problème.
Écrit par : Pharamond | 13/11/2020
[Musicalmar]
L'optimisme d'E&R me semble déraisonnable, en tout cas prématuré. Le Moloch a des réserves, et n'a pas encore abattu toutes ses cartes :
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Panique-a-bord-du-vaisseau-Systeme-61756.html
//
Nous pensions fin 2019, après un an de Gilets jaunes, que nous étions dans une accélération de l’Histoire, et voilà que nous vivons une accélération dans l’accélération de l’Histoire. Les choses vont si vite que personne ne peut prédire l’avenir : le simple calcul du lendemain devient complexe. Cependant, les grandes tendances sont là, ou plutôt la grande tendance : le réveil des peuples contre des élites corrompues, inefficaces et dangereuses.
//
On peut se réveiller juste à temps pour aller au supplice. :-(
Écrit par : Blumroch | 15/11/2020
Blumroch > Les agents du Système préféreront provoquer le chaos plutôt que d'avouer s'être trompés.
Écrit par : Pharamond | 15/11/2020
Comme disait Trotsky "la bourgeoisie ouvre les yeux, un instant avant qu'on ne les lui crève"
Il en ira de même pour les peuples
À moins que le frigo ne se vide
Et encore
Tant qu'il restera du pinard ( ou du chite) et Hanouna ( ou des séries), y a peu de risques
Il faudrait dénaturer le pinard,frelater le chite et insérer des messages subliminaux dans les prestations d'hanouna
Écrit par : Kobus van Cleef | 15/11/2020
Kobus van Cleef > Si on arrivait à faire tout ce vous dites c'est que le monde a déjà changé.
Écrit par : Pharamond | 15/11/2020
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