02/10/2020
Ici et maintenant (3)
Au delà du problème migratoire dû au projet métisseur de nos élites largement secondée par l'apathie de la population, et quelle que puisse être la part de l'action humaine dans le processus, la Terre se réchauffe ce qui entraînera des mouvements de populations fuyants les zones les plus chaudes de la planète devenues inhabitables vers des terres au climat plus hospitalier. Dans le chaos qui en découlera ce ne seront pas les instances internationales, complices, dépassées et inefficaces qui fourniront des solutions viables pour les sociétés occidentales ; en ces temps pas si éloignés seules les sociétés ethniquement homogènes auront peut-être une chance de survivre au cataclysme parce qu'en période de crise grave l'individu n'est rien sans la communauté de ses semblables.
18:06 | Lien permanent | Commentaires (47)
01/10/2020
Les bêtes (22)
J'ignore si les cervidés sont mélomanes, mais cette vidéo a saisi un bien bel instant de vie.
The Sound of Silence (harp cover) | Deer Blooper
Naomi SV
12:37 | Lien permanent | Commentaires (8)
30/09/2020
Rien qu'une ombre
20:13 | Lien permanent | Commentaires (12)
Musique (555)
Tomás Luis de Victoria
Vidi speciosam
Tomás Luis de Victoria
Duo Seraphim Clamabant
16:23 | Lien permanent | Commentaires (61)
Facho !
Fasciste ?
Pour répondre à la question lancée ici « Comment suis-je devenu fasciste », pour ma part, je ne l'ai jamais été... J'ai souhaité l'être, j'ai aspiré à l'être, espéré l'être, mais je ne l'ai jamais été. Si je l'avais été, je n'aurai pas supporté l'ignominie de cette époque, de cette société, je n'aurais pas accepté ces humiliations quotidiennes, cette médiocrité, cette laideur. Si je l'avais été, j'aurais sacrifié ma vie à cet idéal, j'aurai renoncé à tous les conforts, à toutes les facilités, pour essayer de me montrer digne de tous ceux qui ont soufferts et sont morts en son nom. Trop grande pour moi, trop digne pour n'être qu'un déguisement, je laisse la chemise noire à ceux qui l'ont maculée de leur sang. Trop bien nourri, trop fatigué et trop lâche, je ne suis qu'un romantique reconnaissant, un mauvais fils admiratif, qui peut au moins travailler à ce qu'on ne crache pas trop sur ses glorieux anciens. C'est une tâche qui n'est pas inutile ni dérisoire. Mais suis-je fasciste ? Non. Seuls mes rêves le sont. 05/04/2020 |
Éloge de la radicalité par Julien Rochedy
09/09/2020
11:05 | Lien permanent | Commentaires (14)
29/09/2020
Les bêtes (21)
Gibovendée : l'industrie des animaux élevés pour la chasse
16:05 | Lien permanent | Commentaires (21)
28/09/2020
Ryssen
22:46 | Lien permanent | Commentaires (38)