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06/07/2020

Aéronefs (56)

Si comme moi vous avez un peu de mal à identifier les chasseurs italiens de la Seconde guerre mondiale voici une petite présentation pour y voir plus clair :

Fiat C.R.42 Falco (1939).jpg

Fiat C.R.42 Falco (1939)

Fiat G.50 Freccia (1939).jpg

Fiat G.50 Freccia (1939)

Macchi M.C.200 Saetta (1939).jpg

Macchi M.C.200 Saetta (1939)

Reggiane Re.2000 (1939).jpg

Reggiane Re.2000 (1939)

Macchi M.C.202 Folgore (1941).jpg

Macchi M.C.202 Folgore (1941)

Reggiane Re.2001 (1941).jpg

Reggiane Re.2001 (1941)

Reggiane Re.2002 Ariete (1942).jpg

Reggiane Re.2002 Ariete (1942)

Fiat G.55 Centauro (1943).jpg

Fiat G.55 Centauro (1943)

Macchi M.C.205 Veltro (1943).jpg

Macchi M.C.205 Veltro (1943)

Reggiane Re.2005 Sagittario (1943).jpg

Reggiane Re.2005 Sagittario (1943)

Pour faire simple seuls trois constructeurs ont réalisé des avions de chasse : Fiat, Macchi et Reggiane, chacun avait une forme caractéristique de dérive pour tous leurs appareils. Le dernier chiffre de leur dénomination permet de les situer dans la chronologie du conflit : 0 pour les premiers appareils, 1 ou 2 pour ceux qui furent conçu dans l'urgence pour pallier l'infériorité technique des précédents face à leurs adversaires et enfin 5 pour les derniers sortis en 1943 et pouvant enfin rivaliser avec les machines de l'ennemi. L'invasion du pays par les Alliés ne permit pas de développements ultérieurs.

 

PS : Désolé pour les talentueux dessinateurs, mais il est difficile sur le net de trouver la source originelle des œuvres et par conséquent de citer leurs créateurs.

04/07/2020

Aéronefs (55)

Un survol assez orthodoxe de l'histoire des bombardements stratégiques lors de la Seconde guerre mondiale :

De Rouen à Hiroshima - La guerre en plein ciel de Nicolas Jallot

03/07/2020

Sur les murs (2)

La Covid-19 et le mouvement "Black Lives Matter" ne doivent pas faire oublier le féminicide planétaire qui continue de se perpétrer sournoisement, aussi de temps en temps des slogans plus ou moins inspirés constitués d'une suite d'affichettes apparaissent pour nous le rappeler - et on remerciera au passage leurs autrices de ne pas taguer directement les murs. Celui-ci près de chez moi va droit au but. On remarquera au passage que des petits lambeaux ont été arrachés : acte malveillant et rétrograde du patriarcat acculé ou tentative agacé d'un habitant n'appréciant pas ce genre de décoration sur son immeuble ? Toute révolte a ses victimes.

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Musique (545)

palence

invar

Ari Mason

Sleep Still

VNV Nation

Prelude

 

02/07/2020

Les bêtes (18)

Les écolo-macroniens ont le coeur sec, les chiens des labos peuvent en témoigner.

(Merci à Blumroch)

01/07/2020

Histoire... (165)

Histoire et communication

Jeudi 14 Mai 2020

Communiqué du Réseau citoyen du Cercle Normand de l'Opinion

 

Ceux qui affectent de mépriser l’histoire parce que c’est du passé et s’enivrent de communication parce que c’est du présent devront corriger le logiciel de leur compréhension du monde : un événement, qui touche de près Rouen et l’ensemble de la Normandie vient de leur en donner la preuve. Il s’agit du documentaire de RMC-découverte relatant les circonstances du raid aérien du 17 août 1942 de l’U.S. Air Force qui aurait dû endommager la gare de triage de Sotteville et qui, totalement raté, fit des dizaines de victimes civiles sur la rive droite de Rouen, à plus de 2 km de l’objectif.

Les lecteurs de l’ouvrage de l’historien Paul Le Trévier (17 août 1942. Objectif Rouen. 1er raid américain sur l’Europe – Édition Comever – 2005) connaissaient dans le détail cette funeste opération, mais nombre de Rouennais en ignoraient les tenants et aboutissants. L’apport du documentaire de RMC*, réalisé par Emmanuel Amara, réside dans la projection de bandes d’actualité de l’époque, notamment de la conférence de presse qui suivit le raid, avec les interviews des promoteurs et des participants de ce bombardement-fiasco. Inutile de préciser que ce ne fut pas la tonalité de cette opération de propagande !

Et l’opinion publique normande, médusée, a découvert ce mardi 12 mai 2020 qu’on lui avait caché une sinistre vérité : les Américains ont menti quant aux résultats du raid, ils ont travesti la vérité quant à ses motivations.

  • Motivations : il s’agissait pour les responsables de l’aviation américaine de pouvoir s’affranchir de la tutelle britannique plus aguerrie. Les Anglais, qui avaient survécu à trois ans de guerre aérienne, privilégiaient les bombardements de nuit et à relative basse altitude. Les Américains, avec leurs forteresses volantes B17, prétendaient bombarder de jour, à très haute altitude, et atteindre leurs objectifs avec la plus grande précision grâce au nouveau viseur Norden… En fait, ils voulaient prendre le commandement des forces aériennes alliées. Il leur fallait une démonstration éclatante de leur supériorité.

  • Mensonges sur les résultats : le communiqué de victoire de la conférence de presse avait été rédigé à l’avance et les pilotes interrogés avaient été chapitrés pour clamer une « vérité pré-établie ».

Là où le passé devrait éclairer le présent, c’est sur le choix de Rouen par l’U.S. Air Force. La gare de triage était un prétexte, le choix de Rouen reposait sur la notoriété de la capitale normande, bien connue de l’opinion publique américaine (qui n’a pas attendu les événements de 1944 pour connaître de la France Paris, la Côte d’Azur et… la Normandie). Voilà une leçon à retenir de cette malheureuse affaire.

Quoi qu’il en soit, retenons l’essentiel : pour des raisons politiques et de prééminence, le premier bombardement stratégique américain sur l’Europe a été expérimenté sur Rouen car il fallait convaincre l’opinion publique américaine que les États-Unis, mal préparés à cette guerre où ils avaient été entraînés (Pearl Harbor) étaient capables de « gagner la guerre » grâce à l’aviation… L’échec – au plan militaire – de cette opération a été nié et le mensonge a été d’autant plus avéré que l’on a « oublié » d’évoquer les pertes civiles.

Ce fut, comme pour le bombardement absurde du Havre de septembre 1944, un véritable crime de guerre. L’histoire « officielle » étant écrite par les vainqueurs et la servilité des élites (sic !) aidant, il y eut une vérité officielle qu’il ne fallait pas mettre en doute. 70 ans plus tard, la véritable histoire apparaît.

L’imprudente loi Avia récemment votée confie aux GAFA la possibilité de censurer les plates-formes internet, allons-nous subir des représailles informatiques pour avoir osé critiquer le dogme de la bienveillance américaine ?

 

C.N.O.

Rouen, le 14 mai 2020

Source : TVNC - Terre d'actions et d'infos

* Il s'agit du documentaire 1942 : Rouen sous les bombes alliées d'Emmanuel Amara diffusé le 12 mai 2020 sur RMC découvertes

 

Imagerie (5)

Les affiches néo-retro de Mads Berg et d’Émilie Grimpel ne sont pas mal non plus.

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Mads Berg Illustration

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Les Petits Yéyés