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27/06/2023

Un peu d'humour (37)

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Musique (652)

You left me in the dark

Victoriya

I walk with ghosts

Scott Buckley

26/06/2023

Pépiements (98)

Quand l'auteur d'un roman est une femme et originaire de Suède je me méfie. Et souvent à raison, ainsi parmi les œuvres proposées par certains professeurs de français aux classes de Première on trouve cette année L'épidémie d'Åsa Ericsdotter. Je vous laisse lire la quatrième de couverture :

Le charismatique Premier ministre Johan Svärd n’a qu’un seul objectif en tête : faire de la Suède le pays le plus sain d’Europe. Et le plus mince. Sa promesse de campagne repose sur une idée précise. Il veut éradiquer l’obésité, considérée comme une maladie et une menace pour l’économie.

Les églises se transforment peu à peu en centres de sport, les régimes extrêmes et les opérations chirurgicales se multiplient, et tous ceux dont l’indice de masse corporelle dépasse un certain seuil sont licenciés et expulsés de leur logement. Mais, à l’approche des nouvelles élections, le chef du gouvernement perd patience. Les “porcs”, comme il les surnomme, restent encore trop nombreux et continuent de mettre en péril l’avenir de la nation. S’inspirant des pages les plus sombres de notre histoire, il décide alors de passer à la vitesse supérieure et de mettre son plan à exécution…

Landon Thomson-Jaeger, un jeune chercheur, comprend très vite le danger qui menace la population, mais lorsque sa voisine, Helena, disparaît subitement, il découvre que la situation est bien pire que ce qu’il pouvait imaginer.

«L’Épidémie» est le roman glaçant du basculement vers le totalitarisme, annoncé par le nuage noir du populisme qui assombrit le ciel de notre humanité.

Åsa Ericsdotter, née en 1981, est une écrivaine suédoise. Elle a publié son premier roman à dix-sept ans, et a très vite été reconnue comme faisant partie des auteurs les plus importants de sa génération.

Comme tous les gauchistes abrutis (certains diront que c'est un pléonasme, mais je ne suis pas de cet avis) elle ne peut concevoir le danger totalitariste que populiste. Un populisme - qu'ils imaginent comme la forme électorale d'une droite fascisante toujours renaissante - qui n'existe que dans leur intellect hémiplégique.

21/06/2023

Pépiements (97)

Sur le radeau de La Méduse les officiers et des notables s'étaient réservé l'endroit le moins exposé aux vagues et avaient pris soin d'enlever leurs armes aux soldats et de garder les leurs. Très rapidement devant le manque de nourriture et les risques de naufrage ils réduisirent par plusieurs tueries la population du radeau afin de "réprimer des mutineries". Les rares rescapés à être finalement secourus furent bien évidemment des officiers et des notables. Il ne reste plus qu'à transposer cette sinistre histoire à l'échelle planétaire.

Nous sommes en été

Conitnuité de Pierre Marchal.jpg

Continuité

Patrice Marchal

 

20/06/2023

Pépiements (96)

Enfin convaincu de l'inopérance de la mascarade électorale il me semble n'y avoir d'autres espoirs que d'attendre avec M. Bloy les Cosaques et le Saint-Esprit. Malheureusement, je ne suis pas croyant et les Cosaques sont fort occupés en ce moment, d'ailleurs la moitié de "notre camp" leur préfère une Kiev garante, semble-t-il, des nobles "valeurs occidentales". Alors je n'attends plus rien, même pas la fin car je crains que l'agonie de ce monde ne soit encore très longue.

19/06/2023

Pépiements (95)

On a tout d'abord été obligé de reconnaître que notre société avait fini par bigrement ressembler à un cocktail des univers dystopiques imaginés dans Le meilleur des mondes, Fahrenheit 451 et 1984. Un peu plus tard le cinéma y a ajouté de nouveaux ingrédients assez pertinents avec Soleil vert, Mad Max et Idiocratie. Difficile de nier cette sélection généralement approuvée par qui sait observer l'actualité, mais parfois je me demande si notre avenir ne serait tout simplement pas celui représenté dans le film La Planète des singes, celui de 68.