24/07/2012
Vases communicants
Source : ?
14:23 | Lien permanent | Commentaires (0)
23/07/2012
Désarmement
Un enfant de 3 ans a pris un pistolet automatique, pensant que c’était un jouet et a tiré sur son père, qui est mort sur le coup. Un drame qui relance le débat autour de la détention d'armes aux États-Unis. |
Source : Quelque part sur le Net
Ok, c'est dramatique, mais quand un homme politique s'en met plein les poches, parle-t-on de supprimer la démocratie ? Quand un étranger tue quelqu'un, débattons-nous du bien fondé de l'immigration ? Quand un ivrogne percute un piéton en voiture, réfléchissons-nous aux conditions de possession d'un véhicule ou de la libre circulation de l'alcool ? Non ou un peu pour la forme.
Par ailleurs, renseignements pris, on apprend que dans le triste fait divers cité plus haut l'arme était chargée avec le cran de sûreté ôté et laissé sans surveillance sur la table de chevet. Il s'agit simplement d'un drame du à l'irresponsabilité des adultes.
12:12 | Lien permanent | Commentaires (8)
20/07/2012
Miracle de l'évolution
21:37 | Lien permanent | Commentaires (10)
Récréation (55)
Source : reçu par e-mail
12:07 | Lien permanent | Commentaires (5)
19/07/2012
Affreux braillements fascistes aux paroles insoutenables à écouter à vos risques et périls
Massimo Morsello
Canti assassini
CHANTS ASSASSINS
Nous entrâmes dans la vie par la mauvaise porte
A une époque lâche, avec le visage en sueur,
Nous nous entendîmes appeler, toujours plus fort,
Nous nous sentîmes mourir mais ce n'était pas la mort
Et la vie en riant nous pris par la main,
Ôta nos chaînes et nous porta au loin,
Mais en entendant parler de femmes et de vin,
D'un amour corrompu qui tuait un enfant
Et de vieux marchands et d'acomptes payés
Et d'usines nouvelles et d'oreilles affamées
Et nous priâmes la vie de ne pas nous faire mourir
Avant d'avoir un coucher de soleil dont on puisse se souvenir
Et le coucher de soleil était déjà là, il faisait nuit depuis un bon moment
Et le soleil en se levant nous refusa le mépris
Mais en entendant parler d'une femme au miroir
D'un garçon de 20 ans qui mourait comme un vieux
Et d'un vieux souvenir remontant à 20 ans,
Et d'occasions manquées et de trains loupés
Nous découvrîmes l'amour, nous découvrîmes la rue,
En défendant l'honneur avec le sourire et l'épée
Et nous oubliâmes la maison et comme il y faisait chaud
Pour la chaleur plus froide d'une froide prison
Et nous tuâmes l'ennui en ennuyant la mort
Et nous vainquîmes seulement en chantant plus fort
Et à présent nous sommes loin, nous sommes tous proches
Et nous lançons vers le ciel nos chants assassins
Et à présent nous sommes loin, nous sommes tous proches
Et nous lançons vers le ciel nos chants enfantins.
Source de la traduction : Le Coq gaulois
20:04 | Lien permanent | Commentaires (2)
18/07/2012
Il me semble (45)
Il y a un moment où l'on ne parle pas, persuadé de ne pas savoir.
Il y a un moment où l'on parle, sûr de suffisamment en savoir.
Il y a un moment où l'on ne parle plus, convaincu de trop en savoir.
18:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
Musique (275)
Slow Magic
Corvette cassette
Aleah
Breathe
Slow Club
Two cousins
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