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12/07/2012

Ciné club

Le Manuscrit trouvé à Saragosse de Wojciech Has, d'après le roman de Jan Potocki, en version intégrale et originale sous-titrée en français : 

 

Pour en savoir plus : l'article de DVD classik

 

08/07/2012

Le jeu des deux images (162)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

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Le tour de France du patrimoine (choix absolument arbitraire) :

Les plus beaux villages de France

 

07/07/2012

Histoire... (84)

 

La bataille des Glières a-t-elle eu lieu ?

 

Une thèse vient mettre à mal la version communément admise selon laquelle une poignée de maquisards ont résisté à l'armée nazie.

 

La bataille des Glières du 26 mars 1944, symbole de la Résistance commémoré chaque année par Nicolas Sarkozy, ne serait-elle qu'une légende créée de toutes pièces ? Cette thèse, soutenue par de nouvelles recherches historiques, suscite la polémique en Haute-Savoie.

"Un des blasons de l'histoire millénaire et héroïque de la nation", a écrit d'elle l'académicien Max Gallo, une "grande et simple histoire", disait l'ancien ministre de la Culture André Malraux, ou simplement la "première bataille de la Résistance", selon le site de l'Association des Glières : le plateau des Glières, que Nicolas Sarkozy visite tous les ans depuis 2007, a une histoire moins simple qu'il n'y paraît, si on en croit le résultat de nouvelles recherches qui suscitent une vive émotion.

Mythe

Au coeur de la polémique se trouve la thèse de Claude Barbier, soutenue en novembre 2011 à La Sorbonne devant un jury de spécialistes de la période, Olivier Wieviorka, Jean-Pierre Azéma, Pascal Ory, Gilles Vergnon et Jean-Marc Berlière. Ce docteur en histoire de 47 ans, qui a eu accès à des archives jusque-là inexploitées, écorne sérieusement la version officielle des événements. "Il n'y a pas eu de bataille à Glières", assène-t-il. "Ce qui est appelé la bataille des Glières le 26 mars 1944, ce sont 2 maquisards tués et un autre blessé lors d'une reconnaissance offensive d'un détachement allemand de 30 à 50 hommes", ajoute-t-il.

L'accrochage n'a d'ailleurs pas lieu sur le plateau lui-même, mais à côté. Et quand les Allemands montent sur le plateau, le lendemain, les maquisards ont fui. Le mythe de la bataille serait né, sur fond de guerre psychologique entre Vichy et la France libre, de deux télégrammes envoyés par un agent des services secrets français "dont le contenu était totalement imaginaire". Repris sur les ondes de Radio Londres, cela donne une bataille de 14 jours durant laquelle 500 Français résistent à 12 000 Allemands. Un "bilan extravagant" qui s'est imposé "parce que Glières offrait une vision valorisante des Français pendant la guerre", dans la droite ligne du "mythe gaulliste d'une France en résistance", estime Claude Barbier.

"Le vocabulaire de Vichy"

Des mots qui ne plaisent pas aux dirigeants de l'Association des Glières, chargée de faire vivre l'héritage du maquis, qui chahutent régulièrement le chercheur au cours de ses conférences. À Annecy, début mars, l'ancien sénateur Jacques Golliet a ainsi dénoncé un travail à l'interprétation "un petit peu biaisée", évoquant "l'état d'esprit" des archives de Vichy dont "il est difficile de se remettre". Le général Jean-René Bachelet, président de l'association, critique, lui, "une démarche de notaire pointilleux et chagrin". "Ergoter autour du mot bataille est assez dérisoire au regard des enjeux", dit-il, accusant Claude Barbier de reprendre le "vocabulaire de Vichy" qui parlait de "légende".

Balayant ces polémiques, Jean-Marc Berlière, professeur émérite à l'université de Bourgogne, prédit au contraire "un extraordinaire tournant historiographique" sur la période. "Pendant 60 ans, on a vécu sur des équations fausses. Grâce à l'ouverture des archives et à une nouvelle génération d'historiens qui ne s'autocensurent plus, on va fortement nuancer et corriger ce qui a été écrit" sur l'Occupation, promet-il. "Petit à petit, un certain nombre d'évènements vont apparaître pour ce qu'ils sont : des mythes, des légendes", assure-t-il.

Source : Le Point.fr le 19/03/2012

06/07/2012

Le jeu des deux images (161)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

 

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Haro sur le facho !

Mais pourquoi les gauchistes détestent-ils autant ceux qu'ils définissent comme des fascistes ?

Ce n'est bien sûr pas par humanisme comme ils le clament haut et fort, ils ont maintes fois prouvé qu'ils s'accommodaient fort bien, quand ils ne leur faisaient pas de vibrantes déclarations d'amour, de régimes sanguinaires quand ceux-ci étaient pro communistes. S'ils les détestent autant c'est tout simplement par confort et intérêt, parce qu'il est valorisant de combattre ceux qui font l'unanimité contre eux, ceux que l'Histoire a fichés comme le Mal absolu, ceux qui ont commis le crime des crimes et cela sans aucun risque puisque le fascisme réel a été écrasé en 1945 et que ses pseudo résurgences n'ont jamais affecté que quelques pays éparses et quelques groupuscules isolés. On s'en prenait ainsi volontiers au lointain Chili de Pinochet en oubliant la menace du Bloc soviétique à moins de 700 kilomètres de Paris.

Il y aussi la détestation de l'ordre et de la normalité, le fascisme étant assimilé abusivement à la réaction il doit être honni. On pourra rétorquer que l'URSS ne prônait pas spécialement le désordre chez elle. Certes, mais c'était après une Révolution qui était censée avoir fait table rase des vieilles valeurs oppressives, c'était donc un ordre sain et émancipateur. Aujourd'hui encore par réflexe et entretient du fond de commerce le gauchiste défend spontanément l'agresseur contre la victime si cette dernière leur apparaît suspecte d'être trop "normale". On en est arrivé au monstre paradoxale qu'est le bobo, qui se croit transgressif parce qu'il aime l'art moderne et fume du cannabis sans s'apercevoir qu'il est devenu la normalité.

Oui, le gauchiste actuelle n'est pas pauvre, loin s'en faut, et l'argument de la défense du faible, du marginal, du minoritaire et donc de l'étranger lui permet de prôner l'abolition des frontières et l'immigration-invasion qui permettra de détruire la nation abhorrée dans un souci de justice tout en créant un ensemble humain corvéable à merci. Les gauchistes ont le portefeuille très près du coeur. Les maigres forces qui s'opposent à lui sont l'inertie de la population mais le travail de l'éducation, des médias et du consumérisme font efficacement leur travail, et ceux qui pensent que préserver la nation c'est défendre ceux qui la composent mais qu'il suffit de traiter de fascistes pour les neutraliser.

Les gauchistes ont vraiment tout à gagner à détester ceux qu'ils définissent comme des fascistes.

05/07/2012

Éther

 

Riceboy Sleeps

Daníell in the sea