01/11/2016
Le jeu des deux images (249)
19:52 | Lien permanent | Commentaires (5)
Voisins
J'habite un immeuble dans un quartier populaire, mais pas trop, c'est à dire non encore totalement envahi. Les locataires changent régulièrement et sont souvent assez pittoresques. Par exemple, j'ai eu récemment un couple d'Africains qui ne passait pas trois jours sans se disputer avec pleurs, bris de mobilier et cavalcades dans les couloirs à la clé. Ils ont été remplacés par un homme originaire d'un pays de l'est de l'Europe qui semble beaucoup aimer téléphoner en s'accoudant à sa fenêtre le soir venu. Je ne sais quelle langue il parle, mais j'ai toujours l'impression que ses appels ne sont constitués que de longues jérémiades. J'ai aussi eu un alcoolique qui écoutait Johnny Halliday à toute heure du jour et de la nuit, semblait se nourrir exclusivement de friture de poisson qui empuantissait l'immeuble, mais qui passait le jour de l'An me présenter ses vœux en s'excusant des désagréments qu'il pouvait parfois occasionner. Des broutilles comme le soir où il a défoncé la porte d'entrée de son appartement et son encadrement à coups de marteau – l’éthylisme ne permet pas une visée très sûre - parce l'ami à qui il avait confié ses clés était parti je ne sais plus où. À cette occasion je me suis aperçu que j'étais le seul à être sorti dans le couloir pour voir d'où venait le vacarme.
Je ne me plains pas, ce n'est rien de grave et j'ai l'intention de finir mes jours à la campagne.
Pour ceux que cela intéressent, deux autres anecdotes déjà mises en ligne sur ce blog. Soyons inventif, je leur donne des titres : La copine et Le justicier.
17:55 | Lien permanent | Commentaires (4)
Diversité
L'image en détail : ici
17:08 | Lien permanent | Commentaires (3)
27/10/2016
Bribes d'Occident (36)
Un petit film réalisé en 1966 sur la vie à Melbourne en Australie :
Life In Australia: Melbourne de Douglas White
20:14 | Lien permanent | Commentaires (6)
26/10/2016
Canis Lupus
J'aime bien les loups, leur symbolique, leur rôle dans le nature, la bête elle-même si souvent calomniée, mais il n'y a pas à dire, certains d'entre-eux - notamment les noirs - filent tout de même les chocottes.
19:47 | Lien permanent | Commentaires (24)
25/10/2016
Musique (434)
ℒund
Mirror
We Are All Astronauts feat. Ellena Soule
Wolves
Brian Eno
Deep blue day
23:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
Peut-on mieux le dire ? (7)
Leur liberté Comment jauge-t-on du degré de liberté d’un pays en 2016 ? En considérant la latitude qu’ont les homos de s’enfiler sans gêne ni retenue, de se marier et d’adopter des gamins, la facilité et la sécurité avec lesquelles les toxicos peuvent se défoncer, le nombre et la diversité des sites pornos accessibles à tous et la capacité de toute minorité à faire chier le reste de la population. Bref, c’est la liberté de péter et roter en public, à la gueule de son voisin de préférence… A ce titre, la France est donc un grand pays de liberté, une grande démocratie ! Allons ne caricaturons pas trop, il existe aussi d’autres libertés, il faut le reconnaître, comme celle de se lever tous les matins à 6 heures du matin pour emprunter les transports en commun puants et bondés afin de rejoindre un boulot dont le salaire vous permet à peine de régler les factures et de payer un logement décent en grande banlieue, la liberté également d’être insulté et agressé dans ces transports ou à la sortie de ceux-ci, celle d’avoir peur en rentrant chez soi la nuit, celle d’envoyer ses enfants à l’école dans des établissement peuplés de dealers et de voyous, où des profs à demi incultes n’apprennent plus rien à leurs élèves, de peur sans doute de froisser les diverses susceptibilités de ceux-ci, la liberté, toujours, d’acheter de la bouffe industrielle et empoisonnée, celle encore de s’abrutir devant le génie comique de Cyril Hanouna, sans oublier celle de payer des impôts que les vrais riches et les vrais parasites ne payeront jamais… La liberté de ramper, de suer, de ramer, de mendier pour survivre dans un environnement de plus en plus laid et détérioré, sous les rires et les glaviots de la faune importée du reste du monde par les ploutocrates mondialistes qui programment posément la fin de votre exploitation par voie d’éradication définitive. Leur liberté à eux, c’est celle de vous jeter à la poubelle comme de vieux outils usés et inutiles, pour ne pas dire de vieilles capotes usagées, souillées de leur foutre infertile d’hédonistes crapuleux. |
Source : A moy que chault!
19:50 | Lien permanent | Commentaires (0)