En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
@Pharamond : Je ne connaissais pas ce tableau magnifique. Merci !
"Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous pouvons mourir assassinées, par des autres aidés de certains des nôtres." :-(
Voilà ce qu'il en coûte, d'abandonner la saine hiérarchie des priorités : d'abord la connaissance, ensuite l'énergie, enfin la prospérité.
Écrit par : Blumroch | 08/09/2019
Merci à vous pour m'avoir fait découvrir ce magnifique tableau et la méditation qu'il inspire ;o)
Écrit par : téléphobe | 09/09/2019
Blumroch > Même si le monde occidental a été fragilisé irrémédiablement avec la "victoire des Alliés" et son idéologie inhérente, les murailles ont commencé à s'effondrer pour de bon il y a à peine une quarantaine d'années. Quand on voit l'état actuel de la société on se dit que cela a été tout de même très rapide pour mettre à bas un monde que l'on croyait inébranlable.
téléphobe > C'est toujours un plaisir de faire connaître et apprécier ce que j'aime.
Écrit par : Pharamond | 09/09/2019
@Pharamond : Dès les années 80, j'avais vu et prévu un certain nombre d'évolutions funestes (au reste, quand je les énonçais, je passais pour excessivement pessimiste voire fou), mais je n'avais pas imaginé que la chute serait si rapide. J'espérais la constater *post mortem* depuis un confortable néant.
Personne, à ma connaissance, n'avait annoncé une disparition si rapide avec l'aide de la mafia au pouvoir.
Écrit par : Blumroch | 09/09/2019
Même chose pour moi. tout ce que j'avais "prévu" est arrivé en pire et plus rapidement.
Écrit par : Pharamond | 09/09/2019
J'ai eu aussi le sombre pressentiment, si j'ose dire, qu'il y avait quelque chose de pourri dès le début des années 90 sans imaginer ni l'ampleur ni la rapidité de la catastrophe. D'un certain point de vue, la rapidité à laquelle se déroule la chute est peut-être une chance.
Écrit par : Sven | 14/09/2019
C'est d'ailleurs ici que ce tient toute la difficulté qu'affronte le Système : même en présence d'une population zombifiée il faut aller assez vite pour atteindre le point de non retour (à mon avis on l'a déjà dépassé) et pas trop pour éviter une hypothétique révolte (la crise avortée des Gilets jaunes en est un échantillon). Deuxième difficulté : la crise économique n'attend pas et peut juste être retardée donc la marge de manœuvre est étroite, d'où la submersion accélérée par les migrants.
Commentaires
@Pharamond : Je ne connaissais pas ce tableau magnifique. Merci !
"Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous pouvons mourir assassinées, par des autres aidés de certains des nôtres." :-(
Voilà ce qu'il en coûte, d'abandonner la saine hiérarchie des priorités : d'abord la connaissance, ensuite l'énergie, enfin la prospérité.
Écrit par : Blumroch | 08/09/2019
Merci à vous pour m'avoir fait découvrir ce magnifique tableau et la méditation qu'il inspire ;o)
Écrit par : téléphobe | 09/09/2019
Blumroch > Même si le monde occidental a été fragilisé irrémédiablement avec la "victoire des Alliés" et son idéologie inhérente, les murailles ont commencé à s'effondrer pour de bon il y a à peine une quarantaine d'années. Quand on voit l'état actuel de la société on se dit que cela a été tout de même très rapide pour mettre à bas un monde que l'on croyait inébranlable.
téléphobe > C'est toujours un plaisir de faire connaître et apprécier ce que j'aime.
Écrit par : Pharamond | 09/09/2019
@Pharamond : Dès les années 80, j'avais vu et prévu un certain nombre d'évolutions funestes (au reste, quand je les énonçais, je passais pour excessivement pessimiste voire fou), mais je n'avais pas imaginé que la chute serait si rapide. J'espérais la constater *post mortem* depuis un confortable néant.
Personne, à ma connaissance, n'avait annoncé une disparition si rapide avec l'aide de la mafia au pouvoir.
Écrit par : Blumroch | 09/09/2019
Même chose pour moi. tout ce que j'avais "prévu" est arrivé en pire et plus rapidement.
Écrit par : Pharamond | 09/09/2019
J'ai eu aussi le sombre pressentiment, si j'ose dire, qu'il y avait quelque chose de pourri dès le début des années 90 sans imaginer ni l'ampleur ni la rapidité de la catastrophe. D'un certain point de vue, la rapidité à laquelle se déroule la chute est peut-être une chance.
Écrit par : Sven | 14/09/2019
C'est d'ailleurs ici que ce tient toute la difficulté qu'affronte le Système : même en présence d'une population zombifiée il faut aller assez vite pour atteindre le point de non retour (à mon avis on l'a déjà dépassé) et pas trop pour éviter une hypothétique révolte (la crise avortée des Gilets jaunes en est un échantillon). Deuxième difficulté : la crise économique n'attend pas et peut juste être retardée donc la marge de manœuvre est étroite, d'où la submersion accélérée par les migrants.
Écrit par : Pharamond | 14/09/2019
Les commentaires sont fermés.