03/09/2021
Musique (592)
Margherita Pirri chante dans plusieurs langues, mais je préfère quand c'est dans sa belle langue maternelle.
Pensieri
Luna bianca
Un giorno di maggio
20:01 | Lien permanent | Commentaires (14)
02/09/2021
Je plussoie (46)
"L’homme en soi des Lumières n’existe pas. Il n’y a que des hommes concrets, fils d’une hérédité, d’une terre, d’une époque, d’une culture, d’une histoire, d’une tradition qui forment la trame de leur destin."
Dominique Venner
"Les citations ne sont pas des paravents derrière lesquels se réfugier. Elles sont la formulation d'une pensée qu'on a caressée un jour et que l'on reconnaît, exprimée avec bonheur, sous la plume d'un autre. Les citations révèlent l'âme de celui qui les brandit."
Sylvain Tesson
"Les grandes nations ont toujours agi en gangsters, les petites en prostituées."
Stanley Kubrick
"Nous disparaîtrons corps et âme de ce territoire comme les Gaulois. Ils nous ont pas laissé vingt mots de leur propre langue. De nous, si le mot "merde" subsiste ça sera bien joli."
Louis-Ferdinand Céline
"La magie de l'enfance repose beaucoup sur cette capacité à vivre et ressentir dans le même mouvement, à habiter l'instant de tout son être."
Hélie de Saint Marc
"La vie s’enfuit. La vie nous prend tout ce que l’on aime. Mais n’est-ce pas elle qui nous a donné tout ce que l’on aime ?"
Ariya S.
"Ceux qui nous tourmentent pour notre bien nous tourmenteront sans fin, car ils le font avec l'approbation de leur propre conscience."
C.S. Lewis
"Le désespoir est aussi menteur que l’espérance. Il n’y a qu’une chose qui compte : devenir ce que l’on est et faire ce que l’on doit."
Ungern von Sternberg
"Nous savons qu'ils mentent, ils savent qu'ils mentent, ils savent que nous savons qu'ils mentent, nous savons qu'ils savent que nous savons qu'ils mentent, mais ils mentent toujours."
Alexandre Soljenitsyne
20:29 | Lien permanent | Commentaires (9)
Chronique du temps de la Covid-19 (83)
Hier, une collègue :
- Je sais qu'on dit la Covid, mais moi je dis le Covid parce que c'est méchant.
20:16 | Lien permanent | Commentaires (6)
01/09/2021
Chronique du temps de la Covid-19 (82)
Septième manifestation contre le pass sanitaire pour moi samedi 28 août.
L'heure du rassemblement est de nouveau à 14 heures place de la Bourse. J'y rejoins M. comme la semaine dernière. Les mini-discours qui se succèdent sont répétitifs et globalement d'un maigre intérêt. Entre témoignages d'enfants et d'adolescents inaudibles, appels à la solidarité avec les migrants, incitations à des méthodes plus musclées ou suggestion de bloquer les quais avec un sit-in on s'ennuie ferme. Quand un orateur propose de voter avant de prendre toute décision les gens s'impatientent et nous partons ; il doit être près de 15 heures. Un important dispositif policier nous interdit le centre ville et ne nous laisse qu'une voie possible : donc ce sont les quais sur la droite puis le cours Victor Hugo. Au niveau de la rue Sainte Catherine le cortège bifurque et s'y engage. Cela ne nous inspire pas beaucoup, aussi nous suivons sans grand enthousiasme. Très vite la manifestation est bloquée ; convaincus par certains discours beaucoup pensent naïvement que le nombre fera plier les CRS. Quelques minutes plus tard un nuage de lacrymogène rappelle à tous la réalité : en face ils sont équipés et nous non. Tout le monde reflux plus ou moins précipitamment. M. et moi mettons nos masques qui nous protège un peu, de toutes façon nous sommes restés prudemment loin de la tête du cortège. La gorge et le nez piquent un peu et c'est tout. Sous les hués un cordon de CRS s'avance jusqu'au bout de la rue et la barre. Nous restons une petite demi-heure ainsi, trois véhicules de pompiers arrivent dans ce laps de temps ; des personnes se seraient senties mal. Nous finissons par revenir sur nos pas. Près de moi un manifestant dit à son voisin que c'est la manifestation la plus minable à laquelle il a participé. Je ne suis pas loin de penser la même chose. Sur les quais nous sommes sommes encore bloqués quelques minutes puis la voie se libère et nous rejoignons notre point de départ. Il doit être 16h30 et alors que certains vont défier les CRS positionnés au bord de l'eau ou se ressembler pour des "ateliers" M. et moi décidons de quitter la manifestation. Les médias ont annoncé 2 400 participants.
Drapeaux au vent sous un ciel bleu les choses avaient pourtant joliment commencé
20:15 | Lien permanent | Commentaires (11)
31/08/2021
Le temps des cathédrales
20:23 | Lien permanent | Commentaires (5)
30/08/2021
J'ai la même crainte, et ça ne m’arrange pas non plus
"Il y a des époques où la plupart des gens peuvent, sans doute, se contenter d'être ordinaires, d'être honnêtes, de pratiquer avec modération des vertus simples, et de ne pas faire le mal autour d'eux. Il y a des époques où cela doit suffire pour être quelqu'un d'estimable, somme toute, et peut-être même pour “attraper le ciel”, comme disait Diderot. Et puis il y a des époques, je le crains, où l'on est forcé d'être un héros ou un saint, ou un moins que rien. Pas de juste milieu. J'ai très peur que notre époque ne s'avère une de ces dernières, et ça ne m'arrange pas du tout."
Rémi Usseil
18:47 | Lien permanent | Commentaires (10)
27/08/2021
Comme c'est étonnant !
20:01 | Lien permanent | Commentaires (7)