17/10/2017
Commentaires
Par je ne sais quel sortilège ce cher Blumroch a extirpé du présent blog le nombre de commentaires par pseudo au 12 octobre 2017. Je vous livre les chiffres qui surprendront peut-être certains. La lecture de noms que j'avais oubliés me rappelle de plaisants échanges ; comme le temps passe...
1 : 8990 ::: pharamond
2 : 1869 ::: paul-emic
3 : 730 ::: unours
4 : 722 ::: equalizer
5 : 684 ::: coach berny
6 : 668 ::: kobus van cleef
7 : 556 ::: blumroch
8 : 554 ::: carine
9 : 532 ::: cile
10 : 521 ::: un fan
11 : 490 ::: nathanael
12 : 488 ::: telephobe
13 : 392 ::: gaelle mann
14 : 370 ::: le blaireau-garou
15 : 274 ::: profdisaster
16 : 261 ::: jazzman
17 : 255 ::: martin-lothar
18 : 219 ::: popeye
19 : 208 ::: ben
20 : 205 ::: agg
21 : 194 ::: orion
22 : 185 ::: sebastien
23 : 184 ::: l. cheron
24 : 175 ::: dia
25 : 145 ::: poudre
26 : 144 ::: ccrider
27 : 140 ::: jean-pierre
28 : 135 ::: danny
29 : 134 ::: thierry manrique
30 : 133 ::: cendrinox
31 : 123 ::: schleuder
32 : 117 ::: wilo
33 : 116 ::: maxence
34 : 102 ::: nordiste
35 : 95 ::: pdl
36 : 90 ::: anton
37 : 89 ::: traitdejupiter
38 : 84 ::: zorglub
39 : 81 ::: mistersmith
40 : 74 ::: arthourr
41 : 68 ::: ezrah
42 : 67 ::: tyrsson
43 : 66 ::: blogbrailleur
44 : 64 ::: xyzorglub
45 : 62 ::: tania
46 : 61 ::: stag
47 : 61 ::: franck ferdinand
48 : 59 ::: anonyme
49 : 58 ::: stephane
50 : 47 ::: protis
51 : 47 ::: fromageplus
52 : 47 ::: benway
53 : 45 ::: jean aymard
54 : 44 ::: le brebis galleux blog
55 : 44 ::: christian
56 : 44 ::: baudricourt
57 : 43 ::: sven
58 : 43 ::: poudre en guyane
59 : 43 ::: blaise suares
60 : 41 ::: philippe edmond
61 : 41 ::: arianil
62 : 40 ::: ootkonos
63 : 40 ::: jpv
64 : 40 ::: ivane
65 : 38 ::: martin lothar
66 : 38 ::: lebuchard courrouce
67 : 37 ::: marie gabrielle
68 : 36 ::: le gall
69 : 36 ::: gas
70 : 35 ::: stephane
71 : 35 ::: lemartien
72 : 34 ::: roberta blancourt
73 : 32 ::: le brebis galleux
74 : 32 ::: jean-marc
75 : 29 ::: zephyr
76 : 28 ::: vonkamach
77 : 28 ::: jma
78 : 28 ::: artemise
79 : 25 ::: woland
80 : 25 ::: raph
81 : 24 ::: corto
82 : 23 ::: jmespe
83 : 23 ::: c.
84 : 22 ::: simorgh
85 : 22 ::: polydamas
86 : 21 ::: ph.
87 : 21 ::: nathalie
88 : 21 ::: il popolo d'italia
89 : 20 ::: philippe dubois
90 : 20 ::: phd
91 : 20 ::: $crooge mc duck
92 : 19 ::: tintin
93 : 19 ::: boutros
94 : 18 ::: noone
95 : 18 ::: naif
96 : 17 ::: martin
97 : 17 ::: la bleue
98 : 17 ::: droite d'avant
99 : 16 ::: la belle bleue
100 : 15 ::: martin.lothar
101 : 15 ::: jp
102 : 15 ::: aramis
103 : 14 ::: noix vomique
104 : 14 ::: mq
105 : 13 ::: vryko
106 : 13 ::: koltchak91120
107 : 13 ::: hanoi
108 : 13 ::: cc.rider
109 : 12 ::: s.
110 : 12 ::: nexus
111 : 11 ::: plc
112 : 11 ::: cmr
113 : 11 ::: carinec
114 : 11 ::: a.g.
PS : Paul-Emic étant mon plus ancien visiteur il détient encore la première place.
21:28 | Lien permanent | Commentaires (53)
16/10/2017
Le jeu des deux images (291)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte. Cette énigme nous est aimablement proposée par Blumroch.
21:52 | Lien permanent | Commentaires (8)
15/10/2017
Musique (465)
John Denver
Take me Home, Country roads
The Dead South
In Hell I'll be in good company
Old Crow Medicine Show
Wagon wheel
19:52 | Lien permanent | Commentaires (7)
13/10/2017
Cinéma (2)
Daniel Conversano nous fait découvrir ou redécouvrir Mon oncle de Jacques Tati, carte postale naïve d'une France disparue. Nous découvrons aussi en creux le narrateur, moins provocateur et agaçant et bien plus sympathique et profond qu'il n’apparaît sur d'autres vidéos.
Cinéma - Mon Oncle, Jacques Tati, 1958
17:36 | Lien permanent | Commentaires (7)
Cinéma
Blumroch m'a fait découvrir cet excellent billet de Paul Fortune auquel j'adhère à 100% :
Le cinéma est mort Publié le 18 septembre 2017par paulfortune1975 J’ai lu ici un article intéressant sur la mort de la cinéphilie, ou du moins sur sa disparition progressive. Il est certain que le cinéma n’est plus ce qu’il était et que la passion dévorante qu’il pouvait inspirer ne se justifie plus au regard de la production actuelle. C’est particulièrement ce passage qui a retenu mon attention : « …ce que déplore Jean-Baptiste Thoret depuis des années, c’est la disparition de la classe moyenne cinéphile, ce cadre commun, qui, sans érudition préalable, permettait de discuter de Bette Davis ou Gary Cooper à la cantoche sans avoir besoin de rappeler qui ils sont. Il n’y a plus de cinéphilie possible quand l’ère du temps parle une autre langue que celle du cinoche, qu’il soit intello, bisseux, auteuriste, populaire, ou affublé de n’importe quelle autre étiquette. » C’est très bien vu. Le cinéma est au départ une attraction foraine, un divertissement populaire qui fonctionnait d’autant mieux qu’il était muet et pouvait s’adresser aux illettrés de tous les horizons, notamment aux États-Unis lorsque de nombreux immigrants ne parlaient pas nécessairement anglais. Le temps aidant, les films sont devenus le divertissement de la classe moyenne et constituait une véritable sortie, souvent en couple ou entre amis. Il y avait alors tout un rituel qu’on pu encore connaître ceux qui fréquentait les cinémas dans les années 80, et parmi les kilomètres de navets produits entre les années 40 et les années 80 surgissaient d’authentiques chef-d’oeuvres. Ici ou là se développait un cinéma bis de connaisseurs et d’aficionados qui court-circuitai le bon goût mais offrait une alternative parfois atrocement nanarde et parfois atteignant des sommets de poésie. La classe moyenne disparaissant progressivement, accaparée par les nécessités immédiates d’une survie dans un monde qui menace de les pousser du côté des classes populaires si elles ne réussissent pas à se maintenir dans le sillage de la classe managériale et médiatico-politique. Dès lors, le cinéma qui lui était destiné ne peut plus survivre. Il doit se muer en blockbuster pour ado et jeunes adultes incultes ou en séries racoleuses pour cadres fatigués ou accros du streaming. Il peine à être autre chose que le divertissement forain des origines, témoins ces films extravagants bourrés d’effets spéciaux qui tiennent plus du train fantôme ou du roller-coaster que d’autre chose. Je note aussi que le cinéma est dépendant de la technique plus que n’importe quelle autre forme de création à vocation éventuellement artistique – car le cinéma n’est pas un art mais un divertissement industriel de masse qui peut, parfois, faire surgir quelque chose qu’on peut considérer comme relevant de l’art. La technique ayant évoluée, elle a influencé le mode de consommation même des films. On ne va plus en salle mais on consomme chez soi, via internet. Le rituel a disparu, le film, quel qu’il soit, devient un objet de consommation immédiate, une expérience qu’on peut interrompre à tout moment. L’inflation des dvd puis des supports purement numérique a cet effet paradoxal qu’on ne revoit plus guère les films, alors qu’auparavant, un film déjà ancien de quelques années qui était reprogrammé attirait d’autant plus le cinéphile que l’occasion ne se représenterait peut-être pas de sitôt. J’ai constaté que je retenais d’autant mieux les films qui me marquaient que je les avais vu en salle il y a longtemps, alors que ceux que je voyais directement à partir d’un dvd que je possédait chez moi ne me laissait en général presque aucun souvenir. Le cinéma étant redevenu du consommable, au sens de jetable, il est normal que ceux qui le font ne se soucie plus guère d’être des artistes intègres. La boursouflure des films hollywoodiens actuels témoigne d’une mégalomanie typique des fins de règne. Il y a quelque chose de néronien dans ces grands spectacles qui jouent l’épate jusqu’à l’écoeurement. Il est fascinant de voir comme le cinéma, à son insu, épouse parfaitement ce phénomène d’usure de la classe moyenne des pays occidentaux en conjonction avec une évolution technique sans précédent qui, dans d’autres champs, permettent une emprise accrue des États et des multinationales sur les peuples. La démocratie libérale que nous avons connu depuis la guerre est une parenthèse née de conditions exceptionnelles de croissance, et le cinéma en a été un des symptômes les plus fascinant. Il semble que cette parenthèse soit en train de se refermer progressivement, et avec elle meurt le cinéma comme expérience unique, qui se débat constamment depuis deux décennies dans le filet du remake incessant, effet nécessaire de la possibilité pour les créateurs de films de revoir presque à l’infini n’importe quel film. Ce qu’on pourrait croire une source d’inspiration infinie et féconde est en fait stérilisant. Les cinéastes de la génération d’avant la vidéo ne voyaient les films qui les inspiraient qu’une ou deux fois, ce qui les obligeaient à créer pour meubler les trous dans leurs souvenirs et les empêchaient de sombre dans l’imitation formelle, le gimmick permanent et la citation systématique. Certains pensent que ce vide créatif n’est que temporaire, et que de nouveaux cinéastes surgiront à la prochaine génération. Je ne suis qu’à moitié d’accord avec cela : le cinéma est déjà mort. La prochaine génération fera autre chose, qui ne sera plus exactement du cinéma. |
17:07 | Lien permanent | Commentaires (11)
12/10/2017
Pattée ou gammée, une croix c'est une croix !
The Hatred de Michael G. Kehoe est sans doute un énième navet classé épouvante-horreur, mais le résumé officiel est assez absurde pour être cocasse : "Plusieurs copines débarquent dans une maison regorgeant d'artefacts nazis. L'un d'eux, une ancienne croix de templiers, renferme haine et peur..."
19:34 | Lien permanent | Commentaires (6)
11/10/2017
Le jeu des deux images (290)
19:42 | Lien permanent | Commentaires (25)