22/12/2020
Charlie
Je m'apprête à entrer dans la librairie Mollat pour faire quelques achats pour Noël quand j'entends la voix d'un enfant :
- Maman, regarde : ils ont Charlie Hebdo !
Il montre du doigt le livre Charlie Hebdo, 50 ans de liberté d'expression exposé en vitrine. La mère répond quelque chose que je ne comprends pas et ils continuent leur chemin ; le gamin ne doit pas avoir plus d'une douzaine années.
13:36 | Lien permanent | Commentaires (4)
21/12/2020
Psikhouchka
Enfermé de force en hôpital psychiatrique mais toujours debout ! - Le Zoom - Jean-Louis Caccomo
Quand la justice aux ordres ne suffit pas il reste les hôpitaux psychiatriques pour éviter des enquêtes compromettantes pour certains.
21:55 | Lien permanent | Commentaires (16)
Pépiements (11)
L'histoire a maintes fois démontré que la position d'une minorité au sein d'un état n'est pas toujours confortable. Il est cependant une chose toute simple qui échappe à nos grandes âmes mondialistes toujours prêtes à voler au secours de l'opprimé : dans la société sans frontières en train de naître sous nos yeux l'homme blanc sera très minoritaire. Et comme pour tous ceux qui occupèrent un temps la place enviée et redoutable du maître il n'y aura personne ou presque pour le défendre à l'heure des règlements de comptes.
10:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
Nous entrons dans l'hiver
09:23 | Lien permanent | Commentaires (19)
18/12/2020
Musique (564)
Natasha Blume
Black Sea
First Aid Kit
My Silver Lining
Magic Wands
Black Magic
21:11 | Lien permanent | Commentaires (63)
16/12/2020
C'est vu (40)
Netflix diffuse Les Mondes extraterrestres une mini-série en quatre épisodes. Le principe est d'imaginer différentes formes de vie sur quatre hypothétiques exoplanètes aux conditions très différentes en extrapolant sur ce qui existe sur Terre. L'idée et la bande-annonce sont plutôt alléchantes, mais le visionnage est malheureusement très décevant. Les séquences réelles n'apprennent pas grand chose, celles des mondes créés en images de synthèse ne sont peuplés que de quelques bestioles et des scènes sont diffusées plusieurs fois. Enfin, on a droit à des aberrations comme sur la planète Eden où des herbivores paralysés après avoir respiré les spores d'un champignon vénéneux sont dévorés par des carnivores qui s’empoisonnent à leur tour ; leur cadavre permettant ainsi à de nouveaux champignons de pousser. Pourquoi pas ? Seulement la narratrice explique sans sourciller que c'est un exemple de symbiose. Bref, tout ceci sent l'opportunisme, le manque de moyen et le bâclage.
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15/12/2020
Le jeu des deux images (338)
19:26 | Lien permanent | Commentaires (29)