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15/06/2012

Electiciti di Fwance

Tiens, EDF m'écrit par e-mail pour m'annoncer que mon dernier prélèvement a été rejeté et que si je ne fais rien on va me couper l'électricité. Zut ! comment je vais faire pour tenir mon blog ? Mais je me dis que quelqu'un qui fait autant de fautes sur trois lignes n'a pu que se tromper de destinataire.

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14/06/2012

Méchant garçon (43)

C'est curieux cette manie chez les bobos adeptes du métissage de choisir des chiens de pure race comme animal de compagnie. 

13/06/2012

Le jeu des deux images (159)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

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12/06/2012

Musique (273)

Audision

Yellow sunset

Saltillo

Remember me

Suzanina

Cry

11/06/2012

Le complexe de Guignol et ses limites ou comment on constate une fois de plus que les fascistes ne sont pas des êtres humains

Nombre de nos concitoyens semblent atteints de ce que j'appellerais le complexe de Guignol. À sa création ce personnage typiquement hexagonal incarnait la revanche du petit peuple sur l'autorité en jouant des tours au gendarme Flageolet qu'il n'hésitait pas à rosser à l'occasion. Il faut dire qu'en ce début de XIXme siècle la société n'était pas tendre avec les petites gens et les membres des forces de l'ordre n'usurpaient pas leur surnom de ''cognes''. Aujourd'hui, qu'un avion veuille ramener des clandestins dans leur pays et des passagers empêchent l'appareil de décoller, que la police viennent chercher une famille africaine à la sortie de l'école d'un des enfants pour les conduire au commissariat et des parents d'élèves se couchent sur la chaussée pour bloquer les véhicules des fonctionnaires, qu'un voyageur sans titre de transport refuse de donner son identité aux contrôleurs et résiste aux forces de l'ordre et voici des passagers huer et photographier ou filmer l'action avec leur portable, qu'un terroriste d'extrême gauche coupable d'attentats meurtriers purge sa peine en prison et tout ce que le pays compte de pétitionnaires professionnels se jettent sur leur stylo pour dénoncer l'infamie et réclamer une sortie anticipée de l'idéaliste... Nos néo-Guignols sont prompts à courir sus aux pandores, à barrer la route à l'injustice, à défendre l'opprimé surtout s'il a la triste figure du délinquant ; derrière le coupable il y a le bafoué, derrière le pire criminel l'être humain que ces bonnes âmes distinguent grâce à leur vue affûtée par une longue pratique. La faute est secondaire, occultée par l'humanité de l'individu. Magnifique principe qui a pourtant ses limites ; derrière l'électeur du FN point de ''petit blanc'' qui craint pour les siens et son pays, derrière le skin-head le résultat d'une histoire de famille sur lequel il serait peut-être bon de se pencher pour essayer de comprendre, derrière le groupuscule pseudo fasciste des personnalités immatures ou désorientés... On ne regarde que la façade car il est indéniable qu'il n'y a rien derrière, hormis peut-être une âme noire et irrécupérable vouée aux Ténèbres.

10/06/2012

Un après-midi de chien

Je viens de faire une centaine de mètres depuis le bureau de vote quand j'aperçois un jeune chien genre beagle traverser la rue sans précaution cherchant visiblement une piste qu'il a perdue. Je l'appelle pour qu'il ne se fasse pas percuter par une voiture, il accourt et j'en profite pour regarder s'il n'a pas un tatouage ou l'adresse de son propriétaire fixée sur son collier : rien. Comme il n'est pas question de le laisser errer sur la voirie je me demande ce que que je vais en faire ? L'amener chez moi pour appeler je ne sais quel numéro pour qu'on vienne le récupérer ou plus simplement me rendre avec lui au bureau de vote qui doit comprendre son contingent d'employés municipaux. Je choisis la deuxième option et je le prends dans mes bras, l'animal se laisse faire mais pèse son poids. Arrivé à destination une femme me dit que les chiens ne sont pas autorisés, je lui explique la situation et c'est le branle-bas, l'un téléphone à la mairie, une autre me tient compagnie, on cherche je ne sais trop qui qu'on ne trouve pas et on arrive enfin avec une ficelle pour attacher l'animal à un poteau de basket (nous sommes dans une école) en attendant le service de la fourrière. J'ai eu l'impression que ce petit intermède a été le bien venu dans leur après-midi monotone. Mais point de médisance, tout le monde a été très sympathique et après un petit au revoir au toutou je suis rentré chez moi de bonne humeur.

 

Le jeu des deux images (158)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

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