10/06/2012
Un après-midi de chien
Je viens de faire une centaine de mètres depuis le bureau de vote quand j'aperçois un jeune chien genre beagle traverser la rue sans précaution cherchant visiblement une piste qu'il a perdue. Je l'appelle pour qu'il ne se fasse pas percuter par une voiture, il accourt et j'en profite pour regarder s'il n'a pas un tatouage ou l'adresse de son propriétaire fixée sur son collier : rien. Comme il n'est pas question de le laisser errer sur la voirie je me demande ce que que je vais en faire ? L'amener chez moi pour appeler je ne sais quel numéro pour qu'on vienne le récupérer ou plus simplement me rendre avec lui au bureau de vote qui doit comprendre son contingent d'employés municipaux. Je choisis la deuxième option et je le prends dans mes bras, l'animal se laisse faire mais pèse son poids. Arrivé à destination une femme me dit que les chiens ne sont pas autorisés, je lui explique la situation et c'est le branle-bas, l'un téléphone à la mairie, une autre me tient compagnie, on cherche je ne sais trop qui qu'on ne trouve pas et on arrive enfin avec une ficelle pour attacher l'animal à un poteau de basket (nous sommes dans une école) en attendant le service de la fourrière. J'ai eu l'impression que ce petit intermède a été le bien venu dans leur après-midi monotone. Mais point de médisance, tout le monde a été très sympathique et après un petit au revoir au toutou je suis rentré chez moi de bonne humeur.
22:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le jeu des deux images (158)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
21:43 | Lien permanent | Commentaires (11)
Les années lycée
Philippe Chatel
Ma lycéenne
Yves Simon
Diabolo menthe
Michel Sardou
Le Bac G
(Un peu daté, je sais...)
18:29 | Lien permanent | Commentaires (2)
Sale bête !
On croyait Michel Rocard occupé à chercher la place qui lui revient, un suaire sur l'épaule. Mais non, il continue à cracher son venin : « Personne ne le dit, mais il ne peut y avoir d’issue en Grèce qu’avec un pouvoir militaire. » Les juntes c'est affreux et fascistes (pléonasme) sauf quand c'est pour l'euro. N'oublions pas que cet homme a été Premier secrétaire du Parti socialiste.
Mais ce n'est pas tout, Rocard est allé traîner sa vieille carcasse tremblotante et inaudible devant le MEDEF pour y annoncer que « [...] les souverainetés nationales ont dépassé leur stade d'efficacité, elles entrent dans la période de la nuisance. » N'oublions pas que cet homme a aussi été député, sénateur, ministre et Premier ministre de la France. Mais tout ça c'est fini, il ne lui reste plus qu'à racoler chez les puissants de demain pour finir ses jours dans le luxe.
12:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
09/06/2012
Bribes d'Occident (5)
Dans le série Les grands guerriers du passé, Les fantômes des croisades de Jamie Lee nous décrit les combats de la bataille du Gué de Jacob en 1179 grâce à l'étude des squelettes exhumés.
19:48 | Lien permanent | Commentaires (5)
08/06/2012
Fait chaud !
Léo Ferré
C'est extra
(L'homme était méchamment fêlé mais quelle chanson !)
22:26 | Lien permanent | Commentaires (5)
Où il est question de train, de Naples et de cigogne
Bon, voyons voir le portrait officiel de notre président ordinaire. Lui est en plan américain prêt à dégainer on ne sait quelle loi démagogique ou antifasciste, on croirait presque Gary Cooper dans Le train sifflera trois fois. Dommage qu'il ait le trait mou, mais ça il n'y peu rien, sinon un lifting. Quoique les récents effets du bistouri sur l'ancienne première dame ont dû l'épouvanter s'il y avait pensé. Passons à l'arrière plan. Là, c'est flou, c'est le palais présidentiel mais c'est flou. Il y a bien le drapeau français et celui de l'UE mais disposés comme des draps en train de sécher à une fenêtre, ce n'est plus l'Elysée c'est Naples. Il y aussi le drapeau national au faîte du Palais mais il est tout petit, on dirait une cigogne posée par hasard. Mais moi ce que j'en dis...
20:12 | Lien permanent | Commentaires (2)