07/06/2012
Le sens des priorités
20:47 | Lien permanent | Commentaires (2)
03/06/2012
Le bachelier fou
Voici la transcription EXACTE (avec fautes) d'une copie que je viens de corriger: " Le travail n'est pas partie remise, c'est à dire que même si l'on exerce le métier que l'on avait décidér de faire tout au long de notre existence, il ya dans certains moments, des sentiments de fatigue, de stress, de colère, d'agressivité, d'anxiété. Ons se voit faire face à de multiples obstructions dans le monde du travail. Le travail exercé tout au long de la journée demande du repos car tous les muscles du coprs fonctionnent d'où il nécessite un repos stable et mérité par son travail. Même que dans son travail, il ya des conditions à respecter et à effectuer d'où l'homme n'est jamais à l'abri de ce qu'il désiré. Le travail peut rendre l'homme fou, c'est à dire qu'il fait face à des dépréssions et c'est pour cela qu'il existe un asil. C'est un endrois qui permet à l'homme de se resaisir afin de pouvoir vivre une vie normale et spontannée. L'homme n'exécute que les tâches que l'on lui demande car le travail fourni n'est pas aussi dépressif que l'on lui demande. Le mot travil signifie autant de chose que l'on peut nous l'imaginer. Ce travail veut tout simplement dire que c'est un atout sous forme de progrès pour l'homme car c'est du temps à consacrer pour pouvoir affiner un travail digne d'être reconnu. Le travail peut rendre fier toute personne qui l'exécute quand on veut on peut, on peut alors le résultat ne peut qu'être positive et satisfait mais si on se voit confronté à l'opposé, le travail ne peut être que baclé donc ramène à ce que la personne qui a éxécuté le travail non fourni, se voit confronter à différentes situations dont "stress". Le travail est synonyme de "joie", de "récompense", ce mot signifie des choses que l'homme ne peut ressentir car ceci est dans sa nature" fin de citation résultat: 2/20 commentaire: 1pt pour le mot travail et 1 pt pour l'encre. Faut rappeler que cette personne a le BAC Message édité par freewind le 25-01-2004 à 12:16:53 |
Source : Forum de Harware.fr
(Merci à M. V. T. pour la trouvaille)
19:52 | Lien permanent | Commentaires (8)
31/05/2012
L'enfance éternelle
Barbara
L'aigle noir
(Philippe Grimbert, un timbré adepte de la psychanalyse y a vu une allusion plus ou moins consciente des rapports incestueux que le père de la chanteuse avait eu avec elle. Il y a des explications fumeuses quelque part sur le web, je vous laisse chercher si le coeur vous en dit, ne m'en voulez pas.)
20:19 | Lien permanent | Commentaires (6)
30/05/2012
Le raccourci
Mourir pour un eldorado (The Donner Party) de Ric Burns est le sinistre récit de l'expédition Donner pris dans la neige pendant l'hiver 1846-1847 alors qu'elle se rendait en Californie :
histoire de la Donner party (1) par soleillevant32bis
histoire de la Donner party (2) par soleillevant32bis
histoire de la Donner party (3) par soleillevant32bis
histoire de la Donner party (4) par soleillevant32bis
histoire de la Donner party (5 et fin) par soleillevant32bis
17:30 | Lien permanent | Commentaires (6)
29/05/2012
Éternité
Un des fuyards se retourna et décocha sans viser une flèche avant de prendre les jambes à son cou. Apollinadès tomba raide mort. La flèche lui avait traversé la nuque et lui était ressortie par la bouche au moment où il se tournait pour haranguer les soldats. S’écroulant dans la poussière, ses dents se brisèrent sur cette langue de fer. Toute la scène n’avait duré qu’un instant, drame violent, ramassé en profondeur, pur comme un profil de médaille antique.
J’ai toujours pensé que la mort était une chose laide et surtout insignifiante, mais là, dans ce paysage désertique, nu, je me dis qu’elle avait du caractère, qu’elle était un achèvement grâce auquel l’homme devient une partie intégrante de l’Histoire. Je pensai à ses jeunes héros de la Grèce. Dans son sacrifice inutile, Apollinadès les avait rejoints, ainsi que Léonidas et ses Spartiates, les phalanges d’Alexandre et les légionnaires des Césars. Je le revois encore s’élancer vers la mort comme s’il courait retrouver son épouse. Ah, Apollinadès, j’envie ta vie si droite et nette, sans ornement ni artifice, toute tendue vers un seul but ! Cette existence où il n’y a rien à ajouter ni à retrancher. Quel artiste tu as fait ! Aujourd’hui, la mort t’éteint, mais tu ne t’éteins pas. Aujourd’hui, tu quittes une lumière pour une autre lumière. Les uns diront que tu es mort, les autres que tu as été tué. Mensonge. Tu as ouvert la porte de ton ombre et tu y es entré.
Joseph Macé-Scarron
Trébizonde avant l’oubli
22:48 | Lien permanent | Commentaires (10)
27/05/2012
Bons sauvages
Les chefs de deux villages papous étaient sur le point de faire leur premier voyage en avion. Ils avaient aidé à construire une piste de fortune dans les montagnes inaccessibles de Nouvelle-Guinée, et avaient en échange été invités à faire parti du vol par Wulf Schienfenhôvel, un éthologiste allemand qui m'a raconté cette histoire. Les deux Papous, pas du tout effrayés de monter à bord de l'avion, firent une demande curieuse ; ils voulaient que l'une des portes latérales reste ouverte. Wulf leur expliqua qu'il faisait froid là-haut, dans le ciel, et que totalement nus à l'exception de leur traditionnel étui pénien, ils mourraient de froid. Les deux hommes répondirent que cela ne faisait rien. Ensuite, ils exprimèrent le désir d'apporter avec eux quelques grosses pierres. « Pourquoi cela ? » demanda Wulf, étonné. La réponse fut que, si le pilote avait l'amabilité de faire des cercles au-dessus du village ennemi, eux-mêmes pourrait jeter des pierres par la porte ouverte de l'avion. Évidemment, on ne donna pas suite à leur requête.
À la fin de la journée, Schienfenhôvel pouvait noter dans son journal qu'il avait assisté à l'invention de la bombe par l'homme du néolithique.
Frans de Waal
De la réconciliation chez les primates
23:24 | Lien permanent | Commentaires (4)
Musique (272)
Bliss
Kissing
Flunk
Blue monday
Pan Pan
Dust
21:28 | Lien permanent | Commentaires (0)