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12/02/2014

Ça vous tente ?

La voleuse de livres de Brian Percival sort sur nos écrans. Voici le résumé d'Allociné : « L’histoire de Liesel, une jeune fille envoyée dans sa famille d’adoption allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle apprend à lire avec le soutien de sa nouvelle famille, et de Max, un réfugié Juif qu’ils cachent sous leurs escaliers. Pour Liesel et Max, le pouvoir des mots ainsi que leur propre imagination vont devenir leur seule échappatoire face à la guerre. » En gros, la culture contre la barbarie et je vous laisse deviner qui est du côté de la culture. Le scénario est tiré d'un roman pour jeunes adultes (?) ; c'est que les nazis c'est très pratique pour les histoires manichéennes façon conte de fée avec des méchants et des bons très typés. Et c'est instructif, presque autant que les récentes manifestations qui m'ont permis d'appréhender avec justesse la profonde réflexion qui émanait des groupes antifachos.


PS : En voyant les images de cette bande annonce je crois que j'ai découvert une raison inconnue de la défaite hitlérienne, les dépenses inconsidérées faites pour confectionner des drapeaux. Regardez n'importe quel film où l'on trouve des nazis et vous verrez leurs couleurs arborés sur chaque mur disponible. Du bunker du Führer, au cas il oublierait à quel parti il appartient, au moindre bivouac en passant par l'expédition destinée à déterrer en toute discrétion je ne sais quelle relique magique et les ruelles du plus modeste hameau ukrainien occupé, les couleurs du IIIe Reich flottent ou plus souvent dégoulinent en kakémonos sanglants.

11/02/2014

Parce que (2)

Il y a quelques jours, j'écrivais que tout débat sur l'immigration était interdit. L'article du journal Metro d'aujourd'hui consacré au récent vote des Suisses sur le sujet me le prouve une fois encore. Les électeurs helvétiques ont eu l'outrecuidance de refuser "l'immigration de masse" par référendum ; ça surprend et horrifie le petit monde politico-médiatique. Je lis dans le chapeau de la première page : « À trois mois des élections européennes, c'est le spectre d'un repli nationaliste qui refait surface ». Notez le vocabulaire totalement neutre. Un spectre ça fait peur, c'est quelque chose que l'on croyait mort mais qui ne l'est pas vraiment, associé à "nationaliste", il n'y a qu'un pas à franchir et on se retrouve aux portes des crématoires de Birkenau. Je tourne la page et le titre de l'article apparaît dans toute sa splendeur : « Immigration – La Suisse rallume la mèche » Et on allume la mèche de quoi ? D'un truc qui explose, avec beaucoup de morts, de blessés, de ruines, etc. Personnellement, j'en déduis que l'immigration-invasion est une évidence pour ceux-qui-décident-pour-nous et que la refuser c'est faire éclater le monde tel qu'ils l'ont planifié. La suite de l'article nous apprend qu'en France une telle ignominie ne pourrait pas se produire car elle fait heureusement partie de l'Union Européenne.

Tout ceci est bel et bon, mais si l'on n'a plus guère le droit de débattre de sujet gravissime pour notre avenir qui sont donc affaires entendues, de quoi peut-on discuter ? Et pourquoi faire ?

Entre parenthèses, le cahier des charges de nos dirigeants établi par Bruxelles est si contraignant que ces derniers apparaissent comme clonés, et que la manière dont se prennent les électeurs pour choisir l'un plutôt que l'autre reste un grand mystère pour moi.

10/02/2014

Résumé

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06/02/2014

Azur et or

 

Golden Wheat Field

60minutes2relax

05/02/2014

Parce que

Cette semaine, Marianne titre : « Le débat interdit – Sortir de l'euro ? »

C'est vrai ça, les méfaits potentiels de cette monnaie font partie des sujets tabous à propos desquels tout débat est prohibé, comme l'IVG, la démocratie, la peine de mort ou les chambres à gaz. Le simple fait de s'interroger sur ces questions est déjà éminemment suspect. D'ailleurs, avant qu'Attali ou Valls ne se prononce, je n'hésite pas à affirmer avec le courage dont je sais faire preuve au quotidien que la sortie de l'euro mène droit à la Shoah.

04/02/2014

Le jeu des deux images (203)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

 

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03/02/2014

Il y a quarante ans

"En 1975 et en France, il y a des urgences. Et me voici, plongé dans mon époque, dans mon pays et dans leur quotidien. Si donc la meilleure part de moi-même chante une hymne sourde, une autre part vit l'aujourd'hui détestable où se débat et s'enfonce mon pays. Et mon Europe. Et mon Occident. Et s'il est bien de proposer une morale, il faut aussi proposer un combat et un terrain pour celui-ci. La morale, je l'ai dite et chantée. Le combat, il est celui d'Occident. Reste le terrain où peuvent être creusées les tranchées de refuge et d'assaut. Alors, j'ai beau méditer, j'ai beau aller et venir, j'ai beau sonder perspectives et horizons, je ne vois qu'une tranchée capable en même temps de nous abriter et de nous vomir vers l'assaut et le salut. Dans l'urgence de nos jours, en attendant plus vaste abri et plus vaste espérance déployée, notre tranchée s'appelle la France et notre premier bouclier et notre première épée s'appellent le nationalisme. Plus tard, nous verrons. En attendant, dans la mêlée, ici, un nationalisme français est le premier salut. Je m'en explique."

Jean Cau

Quatrième de couverture de Pourquoi la France ?