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05/02/2014

Parce que

Cette semaine, Marianne titre : « Le débat interdit – Sortir de l'euro ? »

C'est vrai ça, les méfaits potentiels de cette monnaie font partie des sujets tabous à propos desquels tout débat est prohibé, comme l'IVG, la démocratie, la peine de mort ou les chambres à gaz. Le simple fait de s'interroger sur ces questions est déjà éminemment suspect. D'ailleurs, avant qu'Attali ou Valls ne se prononce, je n'hésite pas à affirmer avec le courage dont je sais faire preuve au quotidien que la sortie de l'euro mène droit à la Shoah.

04/02/2014

Le jeu des deux images (203)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

 

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03/02/2014

Il y a quarante ans

"En 1975 et en France, il y a des urgences. Et me voici, plongé dans mon époque, dans mon pays et dans leur quotidien. Si donc la meilleure part de moi-même chante une hymne sourde, une autre part vit l'aujourd'hui détestable où se débat et s'enfonce mon pays. Et mon Europe. Et mon Occident. Et s'il est bien de proposer une morale, il faut aussi proposer un combat et un terrain pour celui-ci. La morale, je l'ai dite et chantée. Le combat, il est celui d'Occident. Reste le terrain où peuvent être creusées les tranchées de refuge et d'assaut. Alors, j'ai beau méditer, j'ai beau aller et venir, j'ai beau sonder perspectives et horizons, je ne vois qu'une tranchée capable en même temps de nous abriter et de nous vomir vers l'assaut et le salut. Dans l'urgence de nos jours, en attendant plus vaste abri et plus vaste espérance déployée, notre tranchée s'appelle la France et notre premier bouclier et notre première épée s'appellent le nationalisme. Plus tard, nous verrons. En attendant, dans la mêlée, ici, un nationalisme français est le premier salut. Je m'en explique."

Jean Cau

Quatrième de couverture de Pourquoi la France ?

02/02/2014

L'orage qui vient

J'ai beau retourner le problème dans tous les sens, j'en reviens toujours au même point en ce qui concerne la situation du pays. Et A moy me chault! le résume merveilleusement avec son style dans cet extrait d'un billet du 9 décembre 2013 :

"La fiscalité, première préoccupation des français. On peut violer leurs filles, poignarder leurs gamins pour des clopes, défigurer leurs paysages, empoisonner leur nourriture, se torcher avec le drapeau, chier sur leur histoire, faire tuer leurs soldats pour BHL, vendre leur terre et leur patrimoine historique, interdire des bouquins, persécuter des historiens,... mais faudrait quand même pas pousser jusqu'à leur soutirer trop de pognon... La concession à l'Ile de Ré pour le mobile-home de la retraite, nouveau Camerone !"

Les manifestations récentes prouveraient-elles le contraire ? Nullement. Le gouvernement joue la lassitude, il a le temps. Tout se passe dans le calme : il ne risque rien, les manifestants rentrés chez eux tout est à nouveau comme avant. La situation dégénère : il réprime avec l'assentiment du troupeau, après tout ce ne sont que des fachos violents et antidémocrates sur qui la police tape !

J'avoue tout de même avoir été surpris par le succès des mobilisations récentes, je n'aurais pas cru la population capable d'un tel soubresaut. La trogne congestionnée de Valls indique que je ne suis pas le seul a avoir été étonné. Mais peu importe, il ne se passera rien même dans l'hypothèse d'un improbable départ de Hollande, il ne se serait remplacé que par un autre serviteur de Bruxelles, peut-être plus habile, peut-être plus néfaste.

L'effroyable constat est que sans effondrement rapide et brutal du système économique actuel nous sommes perdus, si ce n'est déjà le cas. Certains préféreront sans doute l'esclavage qui vient s'ils peuvent conserver leur niveau de vie ou à peu près. On peut les comprendre, mais c'est une vue à court terme car la société telle qu'on l'a connue est à bout de souffle et ne pourra perdurer encore longtemps. Nos maîtres le savent et c'est pourquoi ils préfèrent avoir affaire à une masse de communautés antagonistes plutôt qu'à une nation homogène. Les vrais fauteurs de guerre civile ce sont eux, mais ils s'en moquent comme de leur première promesse télévisée.

Je ne suis pas devenu apôtre de l'insurrection ou nihiliste, je sais que les temps qui viennent seront cruels et ils m'effraient, mais ils viendront tout de même. Il vaut mieux alors les appréhender tant que nous sommes des femmes et des hommes libres. Une chose est sûre : le temps presse pour tous, pour eux comme pour nous.

01/02/2014

Le jeu des deux images (202)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte. Après la précédente énigme que j'avais un peu trop compliquée, celle-ci me paraît facile.

 

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29/01/2014

Musique (338)

DeVotchKa

How it ends

Warpaint

Biggy

Aphex Twin

Avril 14th

 

28/01/2014

Sont forts ces nazis ! (53)

Un article de RTL info.be nous parle d'une nouvelle variante de "Hitler n'est pas mort à Berlin mais s'est fait la malle en Amérique du Sud et il y est mort très vieux". Je n'ai pas grand chose à dire sur les délires de cette Brésilienne pourtant doctorante, jugez par vous-même :

Hitler s'est-il échappé en Amérique du Sud ? Un nouveau livre l'affirme

La parution d'un nouveau bouquin relance le débat. L'auteure, Simoni Renee Guerreiro Dias affirme que le fondateur du nazisme ne se serait pas suicidé dans son bunker comme le raconte l'Histoire mais qu'il aurait organisé sa fuite en Amérique du Sud où il serait décédé à l'âge de 95 ans.

Adolf Hitler aurait-il réussi à fuir en Amérique du Sud où il y aurait passé la fin de ses jours? C'est ce qu'affirme Simoni Renee Guerreiro. Cette doctorante brésilienne pense connaître la vérité sur la fin de la vie du dictateur allemand. Selon elle, après avoir fui l'Allemagne, Hitler se serait rendu en Argentine et puis au Paraguay avant de s'installer au Brésil, protégé par des alliés séjournant au Vatican, peut-on lire ce matin dans le DailyMail.

Une photo pose question

Simoni explique que dans la ville de Nossa Senhora do Livramento, un homme surnommé par les locaux comme"le vieux Allemand" se faisait officiellement appeler Adolf Leipzig. Selon elle, il aurait choisi le nom de "Leipzig" parce qu'il s'agissait du lieu de naissance de Bach, son compositeur préféré. Pour ne pas éveiller les soupçons sur ses visions politiques, l'homme s'affichait avec une petite amie noire, appelée Cutinga. Un cliché du couple existe et il est de très mauvaise qualité. Selon Simoni, la ressemblance de cet homme avec Adolf Hitler est sans équivoque. 

Une religieuse priée de garder le silence

La jeune femme a également recueilli le témoignage troublant d'une religieuse polonaise qui visitait des malades au début des années 80 dans un hôpital de la région. Pénétrant dans une chambre, la femme aurait reconnu Adolf Hitler. Elle aurait rapporté cela à sa supérieure qui lui aurait demandé de garder le silence car il s'agissait là d'ordres venant du Vatican.

Simoni a retrouvé l'endroit où Adolf Leipzig a été enterré et compte prélever des échantillons d'ADN pour prouver scientifiquement qu'Hitler n'est pas mort dans son bunker.

Mais je ne peux pas résister à l'envie de vous montrer la "photo qui pose question" :

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Sur le tard, il était un rien négligé l'oncle Adolf.