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15/12/2014

Le jeu des deux images (217)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

 

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14/12/2014

Le jeu des deux images (216)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte. Cette énigme nous est aimablement proposée par Maxence.

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Die große Maschine

- Vous savez, je n'ai pas fait d'études, je vais vous raconter cette histoire à ma manière. Un jour ils sont venus me chercher, ils m'ont dit que dans le village on était tous d'accord. J'étais étonné parce qu'on m'avait jamais rien demandé, et que moi je serais bien resté. Alors je suis parti, il y avait plein de gens que je connaissais pas et puis ceux du village. J'avais pas l'impression qu'ils étaient tous si heureux que ça d'être là. Et puis on est tous monté dans la ''machine'', en nous accueillant on nous a dit que l'on allait vivre quelque chose que personne n'avait vécu, que l'on allait être heureux, que vivre dans son village c'était dépassé, que de toute façon le monde changeait et qu'il fallait faire pareil et plein d'autres choses comme ça. Je suis quelqu'un de réservé mais j'ai quand même demandé si je pouvais rentrer ; on m'a regardé comme si j'avais la peste et on m'a répondu que cette question était ''déplacée'', je me souviens encore du mot exact. Et on est parti et j'ai vite remarqué que le voyage n'était pas confortable pour tout le monde, qu'il restait plein de choses à régler, que ceux qui commandaient n'étaient pas toujours d'accord entre eux, mais on avançait toujours. Avec le temps, des personnes venaient me voir, certaines se rappelaient de ma question, et me disaient l'air de rien qu'elles seraient bien rentrées elles aussi. Plus le temps passait, plus la joie du départ disparaissait sauf chez les responsables, et pourtant on continuait à embarquer du monde. J'ai fini par comprendre que personne ne savait vraiment où on allait, alors non seulement j'étais triste mais maintenant j'avais peur. Mais on continuait toujours. Et il y a eu l'accident. Moi, je fais partie des survivants parce j'étais souvent à l'arrière pour regarder le paysage, j'espérais revoir mon village. Il y a eu plein de morts et de blessés, moi j'ai eu plusieurs fractures mais je vais renter chez moi. Voilà, ça s'est passé comme ça... Ah, on m'a dit que la plupart des responsables s'en étaient sortis... Laissez-moi maintenant s'il vous plaît, je suis fatigué, je vais me reposer un peu.

11/12/2014

Nouvelles références

Deux adolescentes ordinaires - ni chics ni cité - dans le tram.

- Mon copain il trouve que tu ressembles à [incompréhensible].

- C'est qui ?

- Une actrice porno.

- Connais pas

- Elle est mignonne.

- Ah bon ?... Il est sympa.

Le bonheur est dans le prêt

Trouvé quelque part sur le Net :

 

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Travailler – Acheter

Consommer - Mourir

10/12/2014

Complot

Chercher le complot ne revient-il pas le plus souvent à nier la réalité ? […] Retrouver du sens à tout prix en raccrochant les faits historiques à un fil directeur unique, un fil directeur qui fournit à l’opinion publique une clé de décryptage d’un événement paraissant absurde ? Un fil directeur qui rassure parce qu’il explique le chaos.

François Pernot

Qui a vraiment tué Henri IV ?

09/12/2014

Taggus interruptus

Je n'avais jamais vu quelqu'un faire un tag. Comme tout le monde, j'ai vu des tags, des graffs et ce genre de bariolage urbain mais jamais quelqu'un en faire un. Ce soir donc, en rentrant du cinéma, j'ai enfin vu un tagueur à l’œuvre. Il était face à un rideau métallique encore vierge des gribouillis qui constellaient toutes les parois verticales de la rue ; et il était semblable à l'idée que je m'en faisais : jogging-baskets-sweet à capuche. Il a agité sa bombe de peinture, et tout absorbé par sa calligraphie il ne m'a pas entendu arriver sur l'autre trottoir. J'ai donc eu tout le loisir de sortir mon .22LR de son étui et de l'ajuster. "NIKE LA", il en était à tracer la barre horizontale du "A" quand j'ai sifflé pour le faire se retourner, doucement, entre les dents. Tirer dans le dos, je n'aime pas vraiment. Il a pivoté prestement prêt à fuir ou à se défendre, et j'ai tiré, deux fois très rapidement, dans la zone sombre que sa capuche formait sur son visage. Il a eu un petit mouvement de la tête vers l'arrière, rien de très spectaculaire, et il a glissé le long du rideau métallique. Le sang faisait un petit disque irrégulier au dessus du "A", un peu comme ce qu'on appelle un rond en chef dans certains alphabets scandinaves. "NIKE LA", qui appelait-il à "niker" ; la police, la justice, la France ? J'aurai dû attendre un peu.