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21/11/2007

Défouloir

J’ai envie de dire des grossièretés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

Voilà, c’est fait. Ça fait du bien.

Pardon ?

Mais je n’ai jamais dit que je les écrirai.

Petits

Le petit poussin brise sa coquille et se met à courir.

Peu de choses lui manquent pour crier : "Je suis libre..."

Mais le petit homme ?

Au petit homme, il manque tout. Bien avant de courir, il a besoin d’être tiré de sa mère, lavé, couvert, nourri. Avant que d’être instruit des premiers pas, des premiers mots, il doit être gardé de risques mortels. Le peu qu’il a d’instinct est impuissant à lui procurer les soins nécessaires, il faut qu’il les reçoive, tout ordonnés, d’autrui.

Il est né. Sa volonté n’est pas née, ni son action proprement dite. Il n’a pas dit Je ni Moi, et il en est fort loin, qu’un cercle de rapides actions prévenantes s’est dessiné autour de lui. Le petit homme presque inerte, qui périrait s’il affrontait la nature brute, est reçu dans l’enceinte d’une autre nature empressée, clémente et humaine : il ne vit que parce qu’il en est le petit citoyen.

Charles Maurras

La politique naturelle

Le tour de France du patrimoine (choix absolument arbitraire) : Saint Mesmin (85)

Le château

19/11/2007

Le départ

 
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Alfred Thompson Bricher

Autumn myst

Musique (47)

Men at work

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Archi connu, mais j'adore.

Où il est question de loups, de Turcs, de textile, de cerveaux, de tout et de n'importe quoi

Parfois, il m'arrive d'allumer la télévision rien que pour voir un bon gros navet, de ceux qui vous rendent heureux pour aller vous coucher. Donc, hier soir je me suis installé pour regarder L'Empire des loups de Chris Nahon, tiré d'un roman de Jean-Christophe Grangé, celui qui voit des fachos partout - les étudiants et moines néo-nazis des Rivières pourpres 1 et 2 c'est lui. Je savais qu'avec une pareille référence je n'allais pas être déçu. Bingo ! Le film était à la hauteur de mes espérances - j'ai seulement regretté de n'avoir pas de pop-corn sous la main pour atteindre un nirvana nanardesque. Cette fois, il était question d'ignobles services secrets laveurs de cerveaux et de non moins ignobles Turcs d'extrême droite trafiquants de... tout ce qu'on peut trafiquer. Après des péripéties dignes de Starky et Hutch - le gore en plus - on finit par une fusillade anatolienne et bordélique où les méchants meurent et les gentils survivent. Et les loups dans tout ça ? me direz-vous. Et bien il s'agit des Loups gris, qui, pour l'anecdote, existent réellement sous la forme d'un groupe ultra-nationaliste turc mais représentés dans le film en ninjas troglodytes, ce qui, quand on sait que Jean-Christophe Grangé est grand reporter, laisse songeur. Bref, pendant 2 heures, un jeune flic nommé Nerteaux - tiens, ça fait ''tonnerre'' en verlant - affublé d'un Jean Réno en chemise hawaïenne tentent de nous faire peur dans un Paris tout gris, où il pleut tout le temps et où tout le monde fait des économie d'éclairage pour se terminer dans une Turquie de pacotille aux couleurs aussi saturées que dans les séries américaines quand on veut nous faire comprendre qu'on est dans un pays chaud. Que du bonheur.

Hygiène

Chaque fois que l'occasion se présente : pensez à votre pays et ayez ce geste élémentaire de salubrité publique :

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