Je plussoie (28)

"Si la liberté veut dire quelque chose, c'est le droit de dire aux gens ce qu'ils ne veulent pas entendre."

George Orwell

 

"La vérité n'est pas déterminée par un vote majoritaire."

Le Pape Benoît XVI

 

"Quand un cannibale mange avec une fourchette et un couteau, est-ce un progrès ?"

Stanislaw Jerzy Lec

 

"La prix de la liberté c'est la vigilance. Et le prix de celle-ci c'est l'insomnie."

Bob Mankoff

 

"Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes."

Machiavel

 

"Dans une avalanche, aucun flocon ne se sent jamais responsable."

Stanislaw Jerzy Lec

 

"Quand l'ordre est injustice, le désordre est déjà un commencement de justice."

Romain Rolland

 

"La croissance pour la croissance est l'idéologie de la cellule cancéreuse."

Edward Abbey

Chronique du temps de la Covid-19

Ce matin je suis allé faire quelques courses dans un supermarché de la banlieue bordelaise. Tout y était presque normal, hormis le rayon papier hygiénique totalement vide, celui des pâtes plutôt clairsemé et les hôtesses de caisse avec des gants jetables.

Détente

Pour profiter pleinement des deux citations qui suivent, extraites du CNEWS n° 3115, veuillez écouter la musique proposée en même temps.

Rien sur la Covid-19

Perfect sunset

Les Belges encore

Compagne publicitaire SNCF pour emprunter le TGV et aller voir nos voisins... stéréotypés :

 

Les ravageurs

"Le monde moderne n’est pas méchant ; sous certains aspects, le monde moderne est beaucoup trop bon. Il est plein de vertus désordonnées et décrépites. Quand un certain ordre religieux est ébranlé, ce ne sont pas seulement les vices que l’ont met en liberté. Les vices, une fois lâchés, errent à l’aventure et ravagent le monde. Mais les vertus, elles aussi, brisent leur chaînes, et le vagabondage des vertus n’est pas moins forcené et les ruines qu’elles causent sont plus terribles. Le monde moderne est plein d’anciennes vertus chrétiennes devenues folles."

G. K. Chesterton

Orthodoxie (1908)

Des bâtards peu glorieux, une fois

Les Belges qui ne doivent pourtant produire pas plus de trois ou quatre films dans l’année se lancent eux-aussi dans le lynchage des cadavres. Voici le résumé sur Allociné de U-235 de Sven Huybrechts :

« En pleine Seconde Guerre mondiale, une équipe de résistants belges sans foi ni loi est engagée pour kidnapper un sous-marin allemand. Leur mission : apporter l'uranium nécessaire au projet Manhattan du Congo belge à New York. Mais quand l’ennemi allemand se dresse sur leur route, c’est l’avenir de l’humanité entière qui se joue. »

J'ignorais que l'on pouvait "kidnapper" un sous-marin.

Je découvre que la résistance belge a joué un rôle essentiel dans le projet Manhattan.

Enfin, le titre est lui-même une merveille de subtilité, pensez donc : U-235 ça fait nom de U-Boot et en même  isotope d'uranium, deux éléments dont il est question dans cette histoire.