20/12/2017
Je plussoie (19)
Le Français prétend que la violence ne résout rien, parce qu'il croit que sa lâcheté a tout résolu.
Laurent Obertone
Douter de tout ou tout croire sont deux solutions également commodes, qui l’une et l’autre nous dispensent de réfléchir.
Henri Poincaré
Ex-bêtes de proie carnivores, les nations sont devenues herbivores et ruminent dans la prospérité. Aux orées du pré, dans buissons et halliers, des fauves maigres aux yeux phosphorescents veillent et s'approchent.
Jean Cau
Entre l'inconvénient de se répéter, et celui de ne pas être entendu, il n'y a pas à balancer.
Louis de Bonald
Ce sont les femmes qui dans cinquante ou cent ans regretteront que l'Europe soit devenue mahométane et les plus féministes, athées, bouffeuses de curés d'entre elles auront la nostalgie du défunt et accommodant christianisme.
Gabriel Matzneff
19:48 | Lien permanent | Commentaires (5)
19/12/2017
"L’Essonne de la pensée"
19:34 | Lien permanent | Commentaires (9)
18/12/2017
Misères (2)
Antonin revient sur Radio Méridien Zéro pour une émission, "Sans abri", un peu brouillonne, mais instructive sur la gestion de la misère en France.
22:34 | Lien permanent | Commentaires (4)
17/12/2017
Si on en est là...
19:30 | Lien permanent | Commentaires (10)
14/12/2017
Père
« Et ainsi, partout constate-t-on une volonté de tuer les pères. Parce que la logique de la décadence implique la décapitation du père. Qu'il s'appelle Dieu, le chef, le patron, l'officier, le prêtre, le professeur ou le pater familias, le simple père de famille. Ou plus simplement encore, pour ces dames du MLF, l'homme. Il suffit maintenant d'être homme pour paraître aux yeux de certaines femmes une créature maudite. Pourquoi ? Parce que le père est symbole de tradition, d'autorité, de virilité honnie aujourd'hui puisque toute décadence est féministe, féminoïde et infantile, bien entendu. Je ne fais là aucune misogynie quelconque mais une constatation étale et tranquille : toutes les décadences se jettent vers la mère. La mère est toute indulgence, tout pardon. Elle est toujours prête à accueillir la contestation des fils, c'est bien connu. Elle est la nourricière, elle est presque la société de consommation aux seins énormes. Et le père que dit-il ? Qu'il faut que les enfants obéissent, qu'ils deviennent costauds, qu'ils aient un avenir, qu'ils assurent la garde de la maison — ça s'appelle l'armée —, qu'ils assurent la lignée, etc. C'est moins drôle, évidemment, alors on lacère l'image symbolique et l'image sociale du père. »
Jean Cau
L'entrevue entière sur Zentropa d'où est tiré cet extrait.
20:40 | Lien permanent | Commentaires (11)
13/12/2017
Le jeu des deux images (296)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
12:49 | Lien permanent | Commentaires (13)
10/12/2017
Sylvie
J'ignore s'ils ont le même chirurgien esthétique ou si c'est l'émotion qui l'a transfigurée, mais sur cette photo je trouve que Sylvie Vartan ressemble à Michel Sardou...
20:35 | Lien permanent | Commentaires (5)