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01/12/2017

Pour nous il est trop déjà tard...

« Les habitants d'un village vaudois ressuscitent et regagnent leurs maisons, remises à neuf. Adèle, retrouve, son bâtard, qu'elle avait, dans une autre vie, noyé dans la rivière ; l'aveugle voit ; l'amputé marche. L'oppression, l'argent n'existent plus. Ramuz chante un monde rustique, idéal et transparent, d'où le temps s'est absenté... Mais comme il n'y plus de passé, plus d'avenir, il n'y a plus de souvenirs, plus de projets. Bientôt, l'ennui mord les âmes. Il faudra que l'infernale cohorte des punis, restés dans leur tombeaux et qui veulent s'en évader, revienne menacer le village pour que ses habitants mesurent enfin leur félicité. Le message de l'auteur est clair comme ses mots, violent comme ses images : pas de bonheur, pas d'éternité sans souvenir du mal. »

La quatrième de couverture de Joie dans le ciel de Charles-Ferdinand Ramuz