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30/11/2017

Encore un peu de requin

Pour une campagne pour la défense des requins la danseuse Hannah Fraser nous offre une chorégraphie au milieu de requins-tigres, animaux pourtant référencés parmi les potentiels mangeurs d'hommes. Pour mémoire, chaque année on dénombre un centaine d'attaques de requins avec moins de 10 cas mortels pour 50 à 100 millions de squales péchés pour la soupe, les cosmétiques ou les souvenirs pour touristes amenant plusieurs espèces à être menacées de disparition.

Tigress Shark - Woman Dances with Tiger Sharks

29/11/2017

Requins marteaux

Depuis Les dents de la mer le "film de requin" est devenu un genre à part entière, Sens Critique en répertorie 94, la plupart sombres navets ou superbes nanars, selon les goûts. Pauvres bêtes...

28/11/2017

Peut-on mieux le dire ? (11)

Les tricheurs 

Pour suivre l'air du temps, pour se soumettre à l'hystérie de l'instant, pour se conformer à la dernière mode médiatique, Jupiter Macron propose la création d'un « délit d'outrage sexiste immédiatement verbalisable d'un montant dissuasif. » Un nouveau délit, rien que ça ! Un nouveau tas de paperasse venant compléter la montagne de réglementations et de lois qu'ils sont déjà infoutus de faire appliquer, qui étouffent les honnêtes gens sans jamais inquiéter les crapules,une nouvelle étape de l'inflation législative, fruit de cette maladie mentale qui fait que l'on pense avoir résolu un problème dès lors qu'on a pondu un texte officiel portant son nom.

Ce projet de mesure pourrait n'être que grotesque s'il n'était pas avant tout abjecte. Abjecte de démagogie, de lâcheté, de mensonge et de tartufferie... Dans un pays où des filles se font violer collectivement dans les caves et où leur tortionnaires bénéficient d'une quasi totale impunité, où les flics n'osent plus mettre les pieds dans les quartiers où les « outrages sexistes » sont justement les plus nombreux et les plus violents, où la justice estime qu'une gamine peut être « consentante » à une relation sexuelle à 11 ans, où les voyous roulent sans permis dans des voitures de luxe payées en liquide, où les racailles s'abstiennent de payer tout transport en commun et rient aux éclats quand ils sont verbalisés par un contrôleur avant de jeter immédiatement l'amende à la poubelle... Dans un tel pays, un état si totalement incapable et démissionnaire prétend régenter et punir les « gestes, attitudes, et paroles » sexistes ? Les nullités qui nous gouvernent, incapables d'empêcher les massacres islamistes ou de nourrir les sdf, vont partir à la chasse aux mains au cul et à la plaisanterie graveleuse ? Quelle pitoyable et sinistre plaisanterie... Bien sûr, comme tout ce qu'ils font, comme tout ce qu'ils entreprennent, cette tentative absurde restera en plus lettre-morte, sans autre efficacité que quelques amendes symboliques distribuées à des petits bourgeois éméchées, des ouvriers lourdingues et des chefs de service trop entreprenants... Car évidemment, on n'ira pas traquer « l'outrage » sexiste dans le 9.3, déjà qu'on n'y va plus pour le trafic de drogue ou d'armes... On s'agitera donc quelques temps dans les quartiers bourgeois et ceux des classes moyennes qui subsistent encore, puis on passera à autre chose, une autre connerie dictée par l'agenda médiatique et l'hystérie revendicative d'une quelconque minorité...

Source : A moy que chault!

26/11/2017

Atavisme

Parmi les raisons évoquées pour expliquer pourquoi le peuple ne se révolte pas, au delà des contingences pratiques (avec qui ? avec quoi ? comment ? dans quel but ? etc.) et des raisons habituellement évoquées (manipulation par l'école et les médias, abrutissement généralisé, mode de vie, confort amollissant, individualisme, etc.) il y en a une rarement énoncée : le peuple a énormément de mal à admettre que ses chefs puissent le trahir. Il conçoit assez aisément que ceux-ci puissent être stupides, lâches, injustes, brutaux, corrompus, rapaces et exiger parfois des sacrifices cruels ou inutiles... mais imaginer qu'ils en arrivent à planifier froidement la disparition de ceux dont ils ont la responsabilité est au-dessus de son entendement. La confiance dans les chefs même écornée reste un sentiment fort parce que le peuple se souvient confusément que ceux qui se sont hissés au-dessus du commun sont censés être garants de tous, de l'enrichissement des uns à la simple survie des autres et, surtout, qu'en leur absence le chaos n'est jamais loin. Le peuple ne consent à les mettre à bas qu'à la seule condition que d'autres chefs crédibles soient parvenus à s'affirmer.

25/11/2017

Musique (467)

Trois reprises par Ane Brun :

The Dancer

Big in Japan

Feeling good

Un peu de bon sens

Dieudonné, Soral : les raisons de mon soutien (les enjeux du révisionnisme) par Vincent Reynouard visible ici

24/11/2017

Huit ans après

Alors qu'aujourd'hui tout espoir m'a quitté en ce qui concerne l'avenir de "notre monde", je me dis qu'il me faudrait peut-être trouver la foi en Dieu après avoir perdu celle en l'humanité. Vouloir un refuge ce n'est pas très courageux, mais c'est humain. Mais je n'y arrive pas, il faut dire que je ne tente rien et le triste spectacle des rares croyants que j'ai était amené à côtoyer ne m'incitent guère à aller dans ce sens ; sans parler de l'hôte du Vatican qui ne provoque chez moi que répulsion. Il y a quelques jours, en cherchant dans mon blog je ne sais plus trop quoi j'ai retrouvé ce texte écrit il y a huit ans :

Mécréant

Je n’ai pas la foi. Il arrive pourtant que quelque chose se passe en moi, une sensation qui n'a rien à voir avec une interrogation rationnelle, plutôt une sorte d'émotion viscérale, de chaleur interne, mais l’impression est trop fugitive pour changer quoi que ce soit.

Alors parfois je cherche Sa présence dans les ors des cathédrales, le dépouillement d'une chapelle perdue ou les ruines d'une abbaye, Son humble présence dans le regard d'un enfant, un vol d’oiseaux, le pré qui ondule sous la brise ou l’arbre qui se penche dans la tourmente...

J’en arriverais à envier ceux qui croient sans se poser de question. Mais non, je me mens, cette foi n’est pas pour moi.

Alors à défaut de savoir, au moins sentir intimement, et une fois, rien qu’une fois, me perdre dans la splendeur de Dieu.