18/01/2009
Envie

Alexander Saidoff
Strawberries in a vase
12:01 | Lien permanent | Commentaires (2)
Le bonheur ?
Le magazine Ça m'intéresse consacre son dossier du numéro de janvier au bonheur. Entre autre, on demande leur recette du bonheur à un panel de scientifiques. La plupart sont absconses ou peu convaincantes, mais celle de Thierry Janssen, psychothérapeute, me convient. Si ce n'est pas la panacée pour être heureux, elle a au moins le mérite d'être une bonne définition de la façon de n'être pas trop malheureux.
''Trois ingrédients incontournables : jouir de la vie en acceptant que personne n'échappe à la mort ; savoir s'adapter aux changements et, surtout, ne pas tricher avec soi-même. Il faut absolument être cohérent à chaque instant de sa vie entre ce que l'on pense, ce que l'on fait et ce que l'on dit. C'est un travail très laborieux mais, sans ça, il n'y a pas de bien-être.''
10:24 | Lien permanent | Commentaires (5)
17/01/2009
Musique (98)
21:34 | Lien permanent | Commentaires (0)
À propos de l'Opération ''Plomb durci'' (8)
"Israël ne peut pas arrêter les combats maintenant"
Interview d'Olivier Rafowicz, réserviste et porte-parole de Tsahal pour la presse étrangère...
Après avoir évoqué une éventuelle fin de son offensive, qui a tué plus de 900 Palestiniens depuis le 27 décembre, Israël a envoyé dimanche des réservistes à Gaza. Le pays y frappera "d'une main de fer" tant que les tirs de roquettes palestiniens se poursuivront, a menacé hier le Premier ministre israélien, Ehud Olmert. Olivier Rafowicz, porte-parole de l'armée israélienne, explique la stratégie de l'Etat hébreu.
Pourquoi Israël intensifie ses opérations ?
Nous ne pouvons pas arrêter maintenant sinon le Hamas en sortira vainqueur, sur le plan politique et surtout idéologique. D'autre part, Tsahal ne peut baisser les bras avant d¹atteindre son but. Cela donnerait raison aux islamistes et les renforcerait. Or c¹est très dangereux pour Israël et pour la région : aucun des pays arabes du Moyen-Orient n'a intérêt à ce que l'islamisme se propage.
Face à tant de femmes et d¹enfants tués, que répondez-vous ?
Vous croyez que Tsahal est heureux de tuer des civils ! Arrêtez ! Les dirigeants du Hamas restent terrés dans leurs tunnels et prennent en otage la population qui leur sert de bouclier humain. Pourquoi ils ne la mettent pas dans les tunnels au lieu de s¹en servir pour eux ? Le Hamas continue de se diluer parmi les civils et force Tsahal à commettre le pire. Vendredi dernier, on leur a proposé d'évacuer les blessés et de les soigner dans nos hôpitaux. Le Hamas a refusé !
Craignez-vous un bourbier à Gaza ou un embrasement du conflit ?
On ne craint pas un bourbier car on n'a aucune intention de réoccuper Gaza et nos soldats ont été spécialement entraînés à ce combat de guérilla. Maintenant, le conflit peut se développer sur d'autres fronts mais le scénario du pire est de n'avoir rien fait pendant huit ans. Aujourd'hui, l'existence même d'Israël est menacée. On va frapper un grand coup, on est prêt et on n'a pas peur.
En quoi ce combat est-il différent des autres ?
C'est la première fois qu'Israël se trouve confronté à une menace terroriste islamiste qui menace son existence même, et à ses portes. On ne se bat pas contre les Palestiniens mais contre le terrorisme islamiste.
A quelle condition arrêterez-vous les opérations ?
Si le Hamas cesse de tirer des roquettes et stoppe son approvisionnement d'armes via les tunnels. S'il donne les garanties d'un cessez-le-feu durable. Mais ses dirigeants prônent la résistance. On leur a fait confiance en 2005 en évacuant Gaza et le résultat a été d'intensifier les tirs de roquettes sur Israël. Nous ne lâcherons pas.
In Métro le 12/01/09
20:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le tour de France du patrimoine (choix absolument arbitraire) : Anjou
Un magnifique travail de récupération et de restauration de matériel ferroviaire angevin.
16:26 | Lien permanent | Commentaires (3)
16/01/2009
Cyclope

Matthew Daub
Night Mover
22:23 | Lien permanent | Commentaires (2)
La Belgique balkanisée
La situation institutionnelle belge suscite désormais l’attention quotidienne d’une quantité de médias internationaux rassemblés à Bruxelles comme des médecins au chevet d’un mourant, prêts à assister à son dernier souffle.
A l’évidence, le spectacle pitoyable donné par l’ensemble de la classe politique belge est de nature à susciter l’étonnement. Jamais on n’a vu une telle rupture entre le pays légal et le pays réel : depuis plus de 170 jours, cette lamentable clique de politiciens s’acharne à ne pas traiter les vrais problèmes des Belges mais se concentre sur des querelles linguistiques, ne manquant pas une occasion de les attiser.
On chercherait en vain un homme politique belge soucieux d’offrir à ses concitoyens de quoi retrouver une fierté, un enthousiasme, un idéal. Non, tous, des parlementaires aux présidents de partis, convergent dans la même attitude : ridiculiser leur population aux yeux du monde entier. Pas un seul homme d'état pour défendre le bien commun, notion par eux incomprise. Et les journalistes belges ne sont pas en reste. Depuis des années, ils portent une lourde responsabilité dans cette désunion.
Mais fait-on l’analyse correcte de la situation ?
Et si derrière l’éclatement de la Belgique , il n’y avait pas seulement, d’un regard international, une anecdote géopolitique mais les prémices d’un plus vaste mouvement ultérieur ? Depuis longtemps, nous le savons, certains veulent faire sauter les nations. Partisans d’un gouvernement mondial et détenteurs des multinationales y voient des vestiges encombrants d’un passé dont il faut se débarrasser.
De toutes les nations ouest-européennes, la Belgique souffre le plus d’un déficit de sentiment identitaire. Elle est, par cet aspect, le premier domino idéal à faire tomber pour, petit à petit, entraîner les autres. Depuis des semaines tous les mouvements autonomistes et séparatistes d'Europe guettent un signal de Bruxelles, légitimation de leurs propres offensives ultérieures.
Certains croient de bonne foi, plus juste et plus efficace de défendre une identité locale qu’une identité nationale. Mais au final, c’est l’ordre marchand qui sera vainqueur. Quand les nations tomberont, ce ne seront pas les régions qui pourront offrir un bouclier solide face à la dictature mondialiste ou au melting-pot globalisé.
Quel que soit le drapeau, belge ou flamand, espagnol ou catalan, français ou basque, latin ou lombard, tout cela n’aura plus aucune importance si nos populations perdent les valeurs essentielles à leur survie. Dans tout l’Occident, en même temps que s’estompait son identité chrétienne, le matérialisme et le relativisme ont fait des ravages. Quelle que soit la ville européenne observée, on ne veut plus y servir ni Dieu ni la Patrie , mais le Veau d’Or. Le tout dans un climat général d'abrutissement télévisuel et d'anéantissement moral.
Ceux qui veulent résister à cet effondrement doivent s’engager de toute urgence. Le temps presse.
Alain ESCADA, Président de Belgique et Chrétienté
Le 15/11/2007
22:20 | Lien permanent | Commentaires (0)