17/10/2012
Bribes d'Occident (10)
Alors que les pays musulmans produisent des films à leur gloire (Fetih 1453 par exemple) et que pour les réalisateurs français l'histoire s'arrête à la Collaboration, la Shoah et le colonialisme, de l'est nous viennent encore des films comme September Eleven 1683 (Bitwa pod Wiedniem) de Renzo Martinelli sur le siège de Vienne :
Source : Contre-info.com
20:04 | Lien permanent | Commentaires (2)
16/10/2012
Histoire... (89)
Une présentation sur Altermédia France de l'ouvrage Christian Slaves, Muslim Masters : White Slavery in the Mediterranean, the Barbary du chercheur américain Robert C. Davis.
20:36 | Lien permanent | Commentaires (13)
14/10/2012
Les tuiles de l'enfer
Jadis, pendant un cours d'histoire j'avais demandé à mon professeur pourquoi il était interdit de sortir de l'Union Européenne une fois qu'on y avait adhéré (peu de gens le savent mais c'était le cas juqu'en 2007 et le traité de Lisbonne). Il m'avait répondu à quelque chose près que c'était parce qu'il n'y avait aucun intérêt à en sortir et que par là même il n'était pas nécessaire de se casser la tête à faire une loi inutile. Donc, pour lui l'UE était l'avenir inéluctable de l'Europe et c'était tellement évident que ma question en était presque ridicule. Pourtant il existe bien des lois contre l'homicide alors que tuer son prochain apparaît aussi comme une évidence, et surtout son explication me rappelait l'ex URSS qui se disait démocratique et n'autorisait pourtant qu'un seul parti, celui-ci étant d'après ses dirigeants la perfection de la politique au service de l'homme pourquoi en autoriser inutilement d'autres.
21:03 | Lien permanent | Commentaires (4)
Dans le port de Saïgon
Opium
(Chant militaire)
Dans le port de Saïgon
Il est un jonque chinoise
Mystérieuse et sournoise
Dont nul ne connait le nom.
Et le soir dans l'entrepont,
Quand la nuit se fait complice
Les Européens se glissent
Cherchant des coussins profonds.
Opium, poison de rêve
Fumée qui monte au ciel,
C'est toi qui nous élève
Au paradis artificiel.
Je vois le doux visage
Les yeux de mon aimée.
Parfois j'ai son image
Dans un nuage de fumée.
Et le soir au port falot
Les lanternes qui se voilent
Semblent de petites étoiles
Qui scintillent tour à tour.
Et parfois dans leur extase,
Au gré de la fumée grise,
Le fumeur se représente
Ses plus beaux rêves d'amour.
Puisqu'on dit que le bonheur
N'existe pas sur la terre
Puisse l'aile de nos chimères
Un jour nous porter ailleurs
Au paradis enchanteur
Plein de merveilleux mensonges
Où dans l'ivresse de mes songe
J'ai laissé prendre mon coeur.
20:25 | Lien permanent | Commentaires (10)
12/10/2012
Kyrie eléison
Humiliés, insultés, battus, mutilés, volés, leurs familles et leurs biens menacés, des “profs” tentent désespérément de trouver une explication plus rationnelle à leur malheur. Vieux réflexe marxiste, ils incriminent la société « qui concentre les immigrés dans des ghettos pour ne pas avoir à s’en occuper, laissant à la drogue et aux armes à feu le soin d’anéantir, comme aux États-Unis, les plus excités ». Analyse primaire que contredisent, en France sociale-démocrate, les centaines de milliards lourds dilapidés en expertises, assistantes sociales, grands travaux de réhabilitation et construction de collèges aussi vite saccagés qu’édifiés. Ces jeux du cirque, ce déferlement des barbares dans l’Empire (les “rodéos” en voiture et le modèle afro-américain célébré par Lang et les médias) évoquent irrésistiblement la décadence romaine que la « saine réaction populaire » naguère évoquée par Pie XII suffirait à endiguer. Mais les Français n’ont plus la force de réagir. Ils redoutent plus encore d’être traités de racistes que de se faire voler ou tuer. Terrés comme des zombies, ils ne craignent rien tant que d’être arrachés au sommeil hypnotique qui constitue leur ultime défense, dérisoire et mortelle, contre les agressions du monde. A ceux qui croient encore la résistance possible, il ne restera bientôt plus, contre les possédés, que l’exorcisme de la prière. Nicolas Bonnal |
Source : Zentropa
20:24 | Lien permanent | Commentaires (2)
Le jeu des deux images (167)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
07:00 | Lien permanent | Commentaires (9)
10/10/2012
Le jeu des deux images (166)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
22:00 | Lien permanent | Commentaires (10)