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28/11/2021

Chronique du temps de la Covid-19 (100)

Samedi 20 novembre c'est ma dix-huitième participation à la manifestation anti passe sanitaire.

Comme d'habitude je rejoins vers 14h30 M. et Philippe Dubois place de la Bourse. Lors des "prises de paroles" un homme, pourtant métis, appelle au rassemblement de l'extrême droite à l’extrême gauche contre la dictature sanitaire. Nous partons peu après et une femme très enthousiaste nous demande combien nous pourrions être à manifester à cet instant. Elle avance les chiffres de 800 ou 900, peut-être 1 000. En fait, nous devons être trois fois moins. Nous passons par la place Saint-Michel avec un bref arrêt "sensibilisation" devant la terrasse des cafés, puis nous empruntons la rue Sainte-Catherine où un homme nous invective depuis un balcon, le bruit ambiant m'empêche d'en comprendre la raison. À l'intersection du cours Victor-Hugo nous bifurquons ; il ne faudrait envahir la partie "chic" de la rue commerçante. Nous repassons place Saint-Michel, puis ce sont les quais et le Miroir d'eau. Il est environ 17h30 et je rentre chez moi.

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Samedi 27 novembre

Je rejoins vers 14h30 Philippe Dubois au Miroir d'eau qui m'annonce que la manifestation d'aujourd'hui n'est pas autorisée. Le parcours demandé, trop au centre ville – il devait passer cours de l'Intendance – ayant été refusé tardivement par la préfète un itinéraire de remplacement n'a pas pu être présenté. Les organisateurs dénoncent un coup monté et proposent que l'on reste sur place à diffuser de la musique et à donner le micro à ceux qui le souhaitent. Nous sommes une petite centaine et il fait froid et humide, aussi je quitte M. qui nous a rejoint et Philippe pour rentrer chez moi.

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27/11/2021

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25/11/2021

Je plussoie (51)

"La plupart des gens ne s’aperçoivent pas à quel point ils sont devenus des particules, des atomes d’une violence gigantesque. Ils se laissent ainsi entraîner par le courant qui les happe vers le vide ; comme le disait Tacite : « Ruere in servitium » ils se jettent dans l’esclavage ; cette passion pour l’auto-dissolution a détruit toutes les nations…"

Stefan Zweig

 

"Le degré d'homogénéité des sociétés occidentales d'aujourd'hui dépasse de loin celui des sociétés totalitaires du siècle dernier."

Alain de Benoist

 

"Autrefois, personne n'avait le droit de penser librement ; maintenant c'est permis, mais plus personne n'en est capable. Maintenant, les gens ne veulent penser que ce qu'ils sont censés penser, et c'est ce qu'ils considèrent comme la liberté."

Oswald Spengler

 

"A force de voir des fesses et autres choses sur les écrans, on finira par en avoir marre et on cherchera des images pieuses. Dans ce domaine comme dans d’autres, l’homme est limité.Si on lui donne trop de caviar, il dit : « Je voudrais des sardines à l’huile. »"

Georges Brassens

 

"Les sociétés mourantes accumulent les lois comme les mourants accumulent les remèdes."

Nicolás Gómez Davila

 

"La pensée demande des correctifs, des nuances, de la subtilité, pas des dogmes tout faits issus des fast-foods de la réflexion."

Jacqueline de Romilly

 

"Celui qui se respecte ne peut vivre aujourd’hui que dans les interstices de la société."

Nicolás Gómez Dávila

24/11/2021

Musique (600)

Ph.D

I won't let you down (1991)

Chumbawamba

Tubthumping (1997)

The Asteroids Galaxy Tour

Around the bend (2009)

23/11/2021

Petit théâtre ambulant (11)

Ce matin dans le tram la conductrice rappelle que les vélos sont interdits aux heures de pointe : une fois, deux fois et une troisième fois en plaisantant qu'elle avait oublié que les cyclistes étaient sourds. Elle finit par refermer les portes et faire repartir le tram, sans doute pour ne pas être en retard. Deux stations plus loin les contrôleurs présents dans la rame descendent et se rendent à la hauteur du récalcitrant que j'aperçois maintenant car il y a moins de monde. C'est un grand Noir qui rouspète un peu, j'entends un "Eh, laisse mon vélo !" adressé à un contrôleur qui à bout de patience a empoigné la selle, mais finit par obtempérer. Je constate qu'il comprend le français et ne semble pas atteint de surdité.

22/11/2021

Art

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Nazinéma (2)

Films historiques, dramatiques, humoristiques, fantastiques ou documentaires ; dans le nazillon tout est bon.

The Meaning of Hitler de Petra Epperlein et Michael Tucker

The Banishing : La Demeure du mal de Christopher Smith

A call to spy de Lydia Dean Pilcher

Enemy lines de Anders Banke

Paragraphe 175 de Rob Epstein et Jeffrey Friedman

Où est Anne Frank ! d'Ari Folman

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Minuit moins six d'Andy Goddard