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18/01/2012

Tout se perd...


« Écoutez Schettino, vous vous êtes peut-être sauvé vous-même de la noyade, mais je vais vous faire beaucoup de tort. Vous allez me le payer. Bon sang, retournez à bord ! »

L'officier de la capitainerie du port de Livourne à Franceso Schettino, le commandant du Costa Concordia.

16/01/2012

Le jeu des deux images (144)


Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

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15/01/2012

Méchant garçon (41)

 

- Soit, les journalistes sont là pour nous informer et les profs pour éduquer nos enfants, et j'en connais de très bien - des profs pas des journalistes - mais c'est plus fort que moi, quand j'apprends qu'un reporter s'est fait dézinguer à Pétaouchnok ou qu'un apprenant a fait une tête au carré à son enseignant je n'arrive pas à compatir.

Musique (256)

Silver Swans

Let me know

Awolnation

Sail

Dustin O'Halloran

We move lightly

13/01/2012

Sont romantiques ces socialistes !


Anne Mansouret, mère de Tristane Banon, raconte en détails son étreinte avec DSK

Le 13 octobre, le parquet de Paris classait sans suite la plainte de Tristane Banon à l'encontre de Dominique Strauss-Kahn, non sans préciser que "des faits pouvant être qualifiés d'agression sexuelle sont quant à eux reconnus". Pour la jeune écrivaine de 32 ans, c'est la reconnaissance de son statut de victime. Suffisant. Depuis, la jeune femme s'engage contre les violences faites aux femmes. Sa mère, Anne Mansouret, qui a défrayé la chronique en mère indigne, refait parler d'elle dans un livre, Chronique d'une victoire avortée. Elle enterre le PS avant l'heure et revient évidemment sur l'affaire...

Mère de Tristane Banon, elle aussi est élue socialiste, vice-présidente du conseil général de l'Eure. Dans son ouvrage, Anne Mansouret dézingueFrançois Hollande, son entourage ("le même que celui de Lionel Jospin en 2002") et parle d'un "suicide politique inconscient" quand DSK croise le chemin de Nafissatou Diallo dans la chambre 2806 du Sofitel de New York.

Dans l'affaire Banon, Anne Mansouret a été interrogée par les enquêteurs. Le 15 juillet, dans les bureaux de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP), Anne Mansouret déballe tout et raconte avoir eu une relation sexuelle avec Dominique Strauss-Kahn. À l'occasion de la sortie de son livre, Anne Mansouret répond aux questions de nos confrères de VSD. Elle revient sur cette étreinte, qui n'avait rien d'amoureuse ou de tendre, en des termes parfois crus : "Dès l'instant qu'il ne s'agit pas de cul, il est doux comme un agneau ! Mais, dans le sexe, il a des pulsions incontrôlées. Comme avec moi. Nous étions juste copains et tout d'un coup, hop ! on me saute dessus, on me renverse, on me soulève la jupe et, appelons un chat un chat, pas par le côté habituel. Bon, cette violence ne m'a pas vraiment perturbée. J'ai vécu, j'ai eu trois maris, pas mal d'amants... Je n'ai tout simplement pas eu envie d'y retourner. Et, des années plus tard, il y a eu l'histoire avec ma fille." Avec les conséquences que l'on connaît : son destin présidentiel avorté, l'époux d'Anne Sinclair s'empêtre dans des affaires de moeurs à Paris, New York et Lille...

"Dominique a bousillé sa vie comme celle de pas mal de monde autour de lui. Il devra régler ça avec sa conscience", résume, implacable, Anne Mansouret dans VSD. 

Chronique d'une victoire avortée, d'Anne Mansouret, aux éditions Jean-Claude Gawsewitch, 192 pages, 16,90 €.

Source : Pure People

12/01/2012

Bénabar est un con

Politiquement correct

 

J'aime mes parents, 
j'aime mes enfants, 
c'est bien pensant 
J'aime pas la guerre ni la misère, 
c'est énervant.

Tu trouves ça peut-être 
politiquement correct... 
Mais moi j't'emmerde ! 
Je ne suis pas raciste, 
je suis droit de l'hommiste, 
j'porte pas d'fourrure.

Je ne regrette pas la guillotine, 
je ne suis pas misogyne, 
j'trie mes ordures

Je suis, je le répète : 
politiquement correct 
Mais moi j't'emmerde !

Je n'ai rien contre les mosquées, 
je ne me sens pas menacé par les minarets 
Je ne crois pas que les homos
ne sont pas normaux 
ou forcément coquets,


Je suis une tapette, 
politiquement correcte 
Et moi j't'emmerde !

Victime de la pensée unique, je suis, 
je l'avoue laïc pendant qu'j'y pense
Je précise que je ne crois pas 
qu'il y aie trop d'juifs 
dans les médias ou la finance

Je risque de te paraître, 
politiquement correct 
Mais moi j't'emmerde !

Ça va te sembler démagogue 
mais je déconseille la drogue 
même aux mineurs 
Je milite pas tiens toi bien 
pour l'extinction des dauphins 
j'veux pas qu'ils meurent

Tu trouves ça naïf et 
bête politiquement correct 
Et moi j't'emmerde

Je ne parle pas à la concierge 
ni à la femme de ménage 
comme à des chiennes 
Il faut respecter tous les gens 
je l'enseigne à mes enfants
pour qu'ils deviennent

Un jour comme je le souhaite 
politiquement correct
Et on t'emmerde.

Paroles et musique : Bénabar

Interrogation sommaire d'un rustre hétérosexuel

 

Qu'aime-t-on en général chez une femme ? Qu'elle soit féminine, comme les femmes apprécient majoritairement les hommes virils. On aime chez l'autre sexe ce qui nous fait défaut. C'est mon semblable mais pas tout à fait, et ce sont précisément ces différences qui nous attirent, qui nous aimantent.

À la puberté, c'est comme si, tout à coup, on s'apercevait que l'on était incomplet, comme si l'on avait subit une mutilation dont on ne gardait plus le souvenir mais qu'il fallait à tout prix retrouver son intégrité en fusionnant avec l'autre, comme si l'on cherchait à absolument recréer l'oeuf originel.

Au delà du conformisme sociale, il y a cette irrésistible attraction qui fait que l'on cherche à former un couple depuis que le monde est monde. Au delà des pulsions à assouvir, il y a dans la quête des adolescents la curiosité de la découverte de l'autre sexe, tant physique que psychologique, moment intense, magique et redoutable comme toutes les excursions en territoire inconnue.

C'est pour cela que les homosexuels sont pour moi un mystère, ils sont attirés par l'identique, un autre moi en tout point pareil. Pourquoi les attributs de l'autre sexe ne les intéressent pas ? Qui y a-t-il d'attirant dans ce que l'on possède déjà ? Et ça se complique encore avec, par exemple, les hommes qui cherchent un partenaire efféminé, c'est donc que la différence ne les laisse pas indifférent, justement ; alors pourquoi cherche-t-il la féminité chez un homme et pas chez une vraie femme, pourquoi l'ersatz et pas l'original ?