16/01/2012
Le jeu des deux images (144)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
19:01 | Lien permanent | Commentaires (8)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
19:01 | Lien permanent | Commentaires (8)
Commentaires
Nungesser ?
Écrit par : PdL | 16/01/2012
Je pense à un grand magicien (David Copperfield ?).
Écrit par : Sébastien | 16/01/2012
PdL > C'est bien lui, bravo ! Charles Nungesser avait peint divers attributs macabres sur son avion pendant la 1re guerre dont un cercueil. Il mourut en tentant de traverser l'atlantique avec François Coli à bord de l'avion "L'oiseau blanc".
Sébastien > L'oiseau représenté ici est un merle albinos et non une colombe.
Écrit par : Pharamond | 16/01/2012
Merci cher Monsieur Pharamond
Écrit par : PdL | 16/01/2012
Bravo à PdL !
Mais il aurait pu s'agir de Philippe Séguin: Le 4 février 2010, le conseil municipal d'Épinal décide à l'unanimité de donner le nom de Philippe Séguin à la rue du Merle Blanc, située dans un quartier où la mixité sociale a été privilégiée. C'est Philippe Séguin lui-même qui en avait émis le souhait. Cette première rue Philippe Séguin est inaugurée le 3 juin 2010 par le Premier ministre François Fillon
Écrit par : Gaëlle Mann | 17/01/2012
Gaëlle Mann > Je l'ignorais, mais je trouve dommage de débaptiser des rues au nom pittoresque ou poétique pour leur en donner de nouveaux en hommage aux grotesques du moment.
Écrit par : Pharamond | 17/01/2012
@ Pharamond: je suis exactement du même avis que vous. Mais feu Philippe Séguin a fait débaptiser cette rue du Merle Blanc - quel joli nom! - pour qu'elle porte son nom!
Les anciens noms de rue donnaient souvent des indications sur les activités, les métiers qui s'y pratiquaient, ils ressuscitaient toute une atmosphère, une histoire oubliée. Une des plus vieilles rues de Paris s'appelle la rue du CHat-qui-pêche...
Écrit par : Gaëlle Mann | 17/01/2012
Séguin nous fait un drôle de merle !
Écrit par : Pharamond | 18/01/2012
Les commentaires sont fermés.