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18/01/2012

Tout se perd...


« Écoutez Schettino, vous vous êtes peut-être sauvé vous-même de la noyade, mais je vais vous faire beaucoup de tort. Vous allez me le payer. Bon sang, retournez à bord ! »

L'officier de la capitainerie du port de Livourne à Franceso Schettino, le commandant du Costa Concordia.

Commentaires

@ Pharamond: je me demande comment ça se passait au temps de Jules César...

Écrit par : Gaëlle Mann | 18/01/2012

Sous César, je l'ignore, mais il n'y a pas si longtemps les capitaines quittait le navire en dernier quand il le quittait.

Écrit par : Pharamond | 18/01/2012

En tout cas, César n'était pas un lâche, comme le raconte cette histoire :


« Il [le pilote] ordonna donc à ses matelots de tourner la barque, et de remonter le fleuve. César ayant entendu donner cet ordre, se fait connaître, et prenant la main du pilote, fort étonné de voir là César : "Mon ami, lui dit-il, continue ta route, et risque tout sans rien craindre ; tu conduis César et sa fortune." Les matelots, oubliant la tempête, forcent de rames et emploient tout ce qu'ils ont d'ardeur pour surmonter la violence des vagues ; mais tous leurs efforts sont inutiles. César, qui voit la barque faire eau de toutes parts, et prête à couler à fond dans l'embouchure même du fleuve, permet au pilote, avec bien du regret, de retourner sur ses pas. »

http://bcs.fltr.ucl.ac.be/suet/caes/PlutCesarB.htm#XXXVIII

Écrit par : Sébastien | 19/01/2012

Avec la destinée qu'il a eu, il était difficile d'en douter.

Écrit par : Pharamond | 19/01/2012

Les commentaires sont fermés.