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24/05/2024

Musique (681)

Mirie it is while sumer ilast (chanson anglaise du XIIIe siècle)

Vocantus

 

Commentaires

Et une excellente chronique de plus signée Dalrymple :
https://www.takimag.com/article/the-co-decadence-sphere/
La sphère de co-décad{a|e}n{s|c}e : concept brillant.

Écrit par : BR | 25/05/2024

Réclame gratuite pour ce site de lovecraftiana :
https://www.sighco.com/h-p-lovecraft/
Comme le disait un copain dès les années 90, suffirait de mettre un portrait sur un paquet de lessive pour que les ventes augmentent.
C'est peut-être une opération électorale à tenter.

Écrit par : BR | 25/05/2024

edit/fix : "un portrait de Cthulhu ou d'Ech-Pi-El".

Écrit par : BR | 25/05/2024

quand j'entends ces chansons anciennes (même les anglaises ;-) ) j'ai le sentiment que nous avons vraiment perdu quelque chose

Écrit par : Paul.Emic | 25/05/2024

@Paul-Emic : Pour avoir été involontairement et brièvement exposé à quelques chantonneurs contemporains, je suis maintenant très tenté de trouver un réel talent au groupe Abba et à quelques autres qui me faisaient saigner les oreilles dans mes jeunes années. C'est l'ennui des comparaisons avec pire : on en devient trop indulgent. C'est pourquoi, comparé aux [autocensuré] politicards de ce temps, le méprisable mongénéral fait figure de grantomme. J'ai rappelé chez vous ce mot d'un Grand Ancien : "Il ne faut pas regarder Burrhus comme un homme vertueux absolument. Il ne l’est qu’en opposition avec Narcisse. Sénèque et Burrhus sont les honnêtes gens d’un siècle où il n’y en avait pas."

Aucun rapport : dans l'épisode 2x03 du feuilleton *Nikita*, l'armurier dit ainsi à l'héroïne le bien qu'il pense d'un agent de la Section : "Il appartient au club des 5%". C'est, selon lui, le pourcentage des ceusses qui résistent au conditionnement et qui ont encore une âme -- autrement dit, une personnalité et un cerveau.
5%, c'est bien optimiste, mais s'agit d'une fiction ; dans le monde réel, ce pourcentage doit faire mentir la règle de Pareto des 80/20 et être plus proche de 1%.

Écrit par : BR | 26/05/2024

@ BR "Sénèque et Burrhus sont les honnêtes gens d’un siècle où il n’y en avait pas" n'est-ce pas notre destin ?*
PS je n'ai pas vu le feuilleton Nikita déjà que le film m'avait gavé .

Écrit par : Paul.Emic | 26/05/2024

@Paul-Emic : Nous allons avoir une fin ; savoir maintenant si c'est digne d'être appelé destin... L'époque salopera jusqu'à notre mort. :-(

Entre la bessonade et les deux feuilletons, y'a dix fois, vingt fois l'écart qui existe entre *La totale* et *True Lies*. Postulat de base identique, traitements radicalement différents. Détail amusant qui signe bien la fiction : dans les feuilletons, les méchants sont très intelligents -- pas de Schwab, pas de Gates, pas de Zoroz...

Écrit par : BR | 26/05/2024

l'avantage de se situer à la fin d'une époque, c'est qu'on a plus de probabilité de pouvoir connaître la fin de l'histoire, l’inconvénient c'est qu'on a assez peu de chance de pouvoir la raconter ;-)

Écrit par : Paul.Emic | 27/05/2024

@Paul-Emic : Sophiste ! ;-)
A quel futur incertain transmettre le récit de cet enthousiasmant présent, quand vivre dans n'importe quel passé, ou presque, était préférable ?
C'est une histoire dont j'aurais volontiers fait l'économie : l'intrigue, les personnages et surtout le style sont mauvais.

Écrit par : BR | 27/05/2024

d'une certaine manière, le temps effaçant les aspérités c'est toujours mieux avant, il suffit de lire les écrivains des périodes troublées .

Écrit par : Paul.Emic | 27/05/2024

@Paul-Emic : "Mieux", peut-être pas toujours ; "moins pire", c'est une certitude. Qui, ayant le choix, ne voudrait pas revenir à la France d'avant 1981 et même bien avant ? Ce serait d'ailleurs un bon projet politique, que d'annuler toutes les kronneries imposées après 1968 au profit de la phyance, des tyrans et autres tarécolos -- lois, traités, décrets... -- avant de pendre les coupables, tous les coupables.

Aucun rapport -- encore que... : fantômes et politique :
https://www.takimag.com/article/why-are-ghosts-so-white/

Écrit par : BR | 27/05/2024

edit/fix : phynance, of course.

Les grands textes du passé, rigolos ou instructifs, oubliés ou non, c'est fini, mais pas les anecdotes. On lira chez Q.I. d'érudites considérations sur celle-ci, attribuée à Lincoln :

-- If I should call a sheep’s tail a leg, how many legs would it have ?
-- Five.
-- No, only four ; for my calling the tail a leg would not make it so.

Ce qui fait penser à l'[autocensuré] gauleiterin de la région parisienne couinant, devant son public de crétins à je ne sais plus quelle occasion électorale, "ça va, ça vient, c'est comme la queue du chien".
Et certains d'éprouver encore de la révérence pour toutes ces nullités kronnes, corrompues et incultes qui régentent nos existences, ce qui est avilissant...

Écrit par : BR | 27/05/2024

Gloups. L'animal de l'anecdote est généralement un chien, et c'est ce qui m'avait rappelé la sortie de l'autre abrutie, qui met, dit-elle, toute son intelligence au service de sa fonction.

Écrit par : BR | 27/05/2024

BR > Article intéressant, mais un peu naïf, la démocratie démagogique c'était autrefois, maintenant le garde chiourme pointe sont nez. D'autre part la décadence mondiale, à différentes vitesses, n'a pas besoin de nous pour s'accomplir, seul notre effondrement pourrait faire faire machine arrière aux retardataires.

J'aime bien le t-shirt "Keep Calm and Cthulhu Fhtagn".

Paul.Emic > Peut-être parce qu'avant n'était pas si mal car si on a presque tous la nostalgie de notre enfance ce n'est pas le cas des enfants martyres.

Écrit par : Pharamond | 27/05/2024

@Pharamond : "Comrade Cthulhu" (page 3) pour le Kamerad EQUALIZER. Manque un "Cthulhu is coming back fast and He's *very* angry".

Écrit par : BR | 27/05/2024

BR > C'est à devenir cultiste.

Écrit par : Pharamond | 27/05/2024

Dumas et ses personnages... complotistes ! On lit dans *Le vicomte de Bragelonne*, CCXXXVIII :
//
— Bon ! Athos, que me contez-vous là de la maison royale ? balbutia d’Artagnan. Comment ! vous, comte, un homme sage et bien avisé, vous croyez à ces folies écrites par un insensé ?
— Avec d’autant plus de raison, mon cher chevalier, que vous avez ordre de tuer ceux qui y croiraient, continua Raoul.
//
Les tyranneaux de notre temps n'ont pas encore le courage de faire assassiner ceux qui n'ont pas la foi euroclimatique, mais ils y viendront. Quand les crétins législateurs se mêlent du suicide, affaire personnelle s'il en est, le "suicide imposé" suivra logiquement.
L'honnêteté commande, hélas !, de citer la réplique suivante :
//
— Parce que, répliqua le capitaine de mousquetaires, parce que toute calomnie, si elle est bien absurde, a la chance presque certaine de devenir populaire.
//
Sachant que le pouvoir, grand amateur des inversions, appelle volontiers calomnie toute vérité...

Écrit par : BR | 28/05/2024

BR > La réalité c'est très surfait.

Écrit par : Pharamond | 28/05/2024

@Pharamond : C'est presque "le commentaire universel", comme "le remède à tout" des situs.
L'existence aussi, c'est très surfait. Comme le disait un avocat dans *Les facéties du sapeur Camember* (page 43 de l'édition disponible chez Gallica) : "La vie, hélas !, n'est qu'un tissu de coups de poignard qu'il faut savoir boire goutte à goutte ; et, je le dis hautement, pour moi le coupable est innocent !" (admirable conclusion, très *moderne*)
Coups de poignard dans le dos, ordinairement, même si récemment, le cou a ses adeptes. Et pour reprendre une distinction faite par Roger Minne, y'a les coups, parfois mortels, qui n'ont pas été ressentis.

Écrit par : BR | 28/05/2024

@ BR "Qui, ayant le choix, ne voudrait pas revenir à la France d'avant 1981 et même bien avant ? " oui, enfin non :-)

La période de la reconstruction après 45 ou de l'avant guerre qui n'était pas autre chose qu'une après guerre (celle de 18) 'était marrante que pour les riches. Avant 81 rappelons nous des grèves incessantes des syndicats communistes qui perturbaient tout mais vraiment tout depuis 68 et même avant . Quant à l'après guerre, c'est oublier un peu vite les guerres coloniales, le service militaire de 3 ans parfois. Il y avait des moments rigolos, ce qui semble avoir disparu en effet, mais aussi des moments très durs.

Écrit par : Paul.Emic | 29/05/2024

@ BR "Les tyranneaux de notre temps n'ont pas encore le courage de faire assassiner ceux qui n'ont pas la foi euroclimatique" En êtes vous si sûr ? Déjà le Covid a eu son lot de morts suspectes, il faudrait peut-être y regarder de plus près concernant les climato-sceptiques. Je crois que c'est la première fois aujourd'hui qu'à des latitudes moyennse et en basse altitude je porte un anorak .

Écrit par : Paul.Emic | 29/05/2024

@ BR en ref au commentaire "C'est presque "le commentaire universel" et ce qui suit
On croirait du Hayer dans le texte.

Écrit par : Paul.Emic | 29/05/2024

@Paul-Emic : Jamais prétendu que le passé était paradisiaque, simplement qu'il était *préférable* et moins contraignant, comparé à nos présent et futur de cauchemar appuyés par des techniciens criminels. Un fait exemplaire que j'ai vu mentionné en France comme aux U.S. of A. : jusqu'aux années 80, un travailleur de la classe moyenne inférieure pouvait entretenir épouse et deux ou trois enfants tout en étant propriétaire de sa voiture et de sa maison de banlieue. Apparemment, cet exploit, jadis banal, est devenu impossible aujourd'hui.
Quant à l'inflation des lois de contrôle dans tous les domaines, quand à l'augmentation délirante des prédations étatiques, quant à l'émprise criminelle de quelques tarés et complices sur le monde...

Je n'ignore pas le caractère suspect de quelques décès opportuns ; de fait, je pensais à des exécutions massives et revendiquées -- seul et fragile espoir qu'une partie de la population commence à comprendre, confusément, le sort qui lui est réservé.

Écrit par : BR | 29/05/2024

edit/fix : J'ai pensé "naguère", mais l'exploit en question semble aujourd'hui remonter non à quelques décennies, mais à la plus haute antiquité -- d'où le "jadis".

Autre point en faveur du monde d'avant : la possibilité de se défendre par tous les moyens. Films et romans, jusqu'à la WWII, montrent le pistolet d'usage universel. Le bétail contemporain serait-il armé pour sa vie et sa dignité, que les importés criminels renonceraient.

Et que dire de la liberté d'esprit ?

Écrit par : BR | 29/05/2024

Apparemment, l'euromilice des eurojeunesses euromacronistes réserve parfois de bien mauvaises surprises aux ceusses embrigadés :
https://www.bvoltaire.fr/timeo-tabasse-derriere-la-jolie-vitrine-vendue-par-le-gouvernement-la-realite-du-snu/
"J'ai peur", comme prénom, ce n'est pas un choix très heureux. En très faux latin très macaronique façon "lorem ipsum" :
Timeo snum[1] et tabassageam donantem.

[1] Prononciation : essénoum.

Écrit par : BR | 29/05/2024

BR > C'est bizarre, mais j'avais de gros doutes sur le succès du SNU. C'est toute la limite de l'idéologie actuelle : elle est très efficace pour détruire le monde ancien, mais peine à établir le nouveau. L'individualisme, le relativisme, la cupidité, la dérision, le nihilisme... ne sont pas les meilleurs qualités pour bâtir quoi que ce soit.

Écrit par : Pharamond | 29/05/2024

@Pharamond : L'obligation, surtout assortie de sanctions, garantit le succès, en tout cas merdiatique, de l'entreprise.

Écrit par : BR | 29/05/2024

@Pharamond : Tu as raison, on ne pense pas assez au P-38 Lightning. N'empêche : où est passée la rubrique "Pineupe populiste" ?

edit/fix : tabassageum

Écrit par : BR | 29/05/2024

BR > Le SNU n'est pas obligatoire, mais "vendu" avec des avantages.

La pin-up sur GC&YA ou DRALN ?

Écrit par : Pharamond | 30/05/2024

BR > Le P38 est le chasseur bimoteur la plus réussi de la guerre et il ne manque pas d'allure. Dans le genre j'aime beaucoup le Me 110, piètre chasseur de jour, mais redoutable chasseur de nuit.

Écrit par : Pharamond | 30/05/2024

@Pharamond : Il le deviendra, de droit ou de fait.

Les deux, mon général !

La photo que tu as sélectionnée m'a soudain évoqué mes nombreuses heures de vol dans les principaux simulateurs de WWII.

Écrit par : BR | 30/05/2024

BR > Je n'y crois pas beaucoup, le SNU au 93...

Je vais voir ça.

Moi, j'aimais jouer à "Baron Rouge 3D".

Écrit par : Pharamond | 30/05/2024

@Pharamond : Pour eux, ce sera le SMUZ.

Chic !

*Aces over Europe*, *European Air War*, *B-17 Flying Fortress : The Mighty 8th*, *Battle of Britain*, *IL-2 Sturmovik*... et tous les autres, moins inoubliables.

Écrit par : BR | 30/05/2024

BR > Le SMUZ ?

Écrit par : Pharamond | 30/05/2024

@Pharamond : Service Musulman.

Écrit par : BR | 30/05/2024

BR > Et moi qui essayer de trouver une signification à ce que je prenais pour un acronyme :-)

Écrit par : Pharamond | 30/05/2024

Chez le sieur nobody nowhere, un billet consacré au dernier air à écouter avant la fin du monde. Parmi les suggestions, deux morceaux que j'avais mentionnés ici ("Dust in the Wind" et "The Final Countdown"). Personne n'a pensé, pour l'heure, à la marche funèbre de Siegfried, encore moins à l'adagio pour cordes de Samuel Barber, qui accompagnait si parfaitement la disparition d'une planète dans le jeu *Homeworld* :
https://www.youtube.com/watch?v=fXRJBK8oJSA.
Seule la fin du *Vicomte de Bragelonne* l'emporte en tristesse.


A en croire quelques critiques[1], le journal de Mencken contiendrait nombre de propos peu progressistes tel que celui-ci :
//
The government I live under has been my enemy all my active life. When it has not been engaged in silencing me it has been engaged in robbing me. So far as I can recall I have never had any contact with it that was not an outrage on my dignity and an attack on my security.
//
Pas un mot de trop.

[1] https://www.libertarianism.org/publications/essays/feisty-free-spirit-biography-h-l-mencken

Écrit par : BR | 31/05/2024

BR > Morceau magique et preuve que l'on peut encore faire de la belle musique.

Écrit par : Pharamond | 31/05/2024

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