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26/05/2016

Le fléau

Faire observer des vérités désobligeantes sur d'autres communautés humaines c'est prendre le risque qu'il puisse leur arriver des choses déplaisantes à l'occasion d'une secousse de l'histoire, c'est indubitable. Aussi faut-il bien évidemment se garder de formuler des calomnies et des incitations à la haine, mais le monde est ainsi fait : en situation de crise grave, de danger mortel, et il en arrive périodiquement, les groupes humains entrent en concurrence et à ces moments il est préférable de se regrouper entre-soi et de savoir reconnaître ses adversaires.

Nos maîtres le savent parfaitement, or cette lutte naturelle pour la survie les dessert car ils ne tirent leurs scandaleux revenus que de la libre circulation des personnes et des biens ; tout repli même partiel et temporaire nuit à leurs affaires, menaçant l'essence de leur pouvoir. Au contraire, la disparition des nations réelles, seules entités capables de s'opposer à eux, leur convient idéalement. Même s'il est illusoire de les imaginer comme une sorte de confrérie monolithique - ce ne sont que des hommes avec leurs imperfections et leurs intérêts sont parfois opposés - l’effacement de l'idée nationale en Europe reste unanimement leur priorité absolue. Une oligarchie apatride et cosmopolite pourra alors régner en toute quiétude sur un chaos contrôlé sans frontière incapable de produire une quelconque dissidence efficace. Cette élite pourra se déplacer au gré des conflits et des opportunités et leurs adversaires ne pourront trouver nulle part un refuge. Comment obtenir ce résultat en Europe ? Tout simplement en culpabilisant sa population avec les Croisades, le colonialisme, l'esclavage, la Shoah et tout ce que l'on peut trouver de négatif chez elle quitte à exagérer ou inventer, en lui présenter l'individualisme exacerbé comme un triomphe de l'idéal humaniste et en pervertissant les bons sentiments.

Peu importe que notre communauté périsse si nous continuons à exister en tant qu'individu ; la mort même de cette communauté sera perçue comme une libération nous permettant d'échapper à des usages aliénants et de nous accomplir en conséquence, enfin. Quand nous constaterons que quelque chose cloche, que le monde paradisiaque promis n'est pas au rendez-vous, il sera trop tard ; envahis, mis en minorité, dissous, coupés de nos racines, sans repère culturel, nous serons incapables moralement et matériellement de tenter quoi que ce soit.

Cours de néo-cathéchisme (2)

 Aujourd'hui, le diable

 Selon l'ancienne religion :

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Source : Enluminure de l'ouvrage Codex Gigas 

Selon la nouvelle religion :

Hitler-on-the-rise.png

Source : Portrait officiel du Chef légitime de l'état allemand de 1933 à 1945