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05/01/2016

Musique (401)

TOPS

Outside 

French for Rabbits

Claimed by the Sea

MS MR

Salty Sweet

04/01/2016

Anschluss


Le projet d'un pont entre l'Afrique et l'Europe par oh-my-mag

 

Un projet ? Je croyais que c'était déjà fait...

Deux rêves

Cela faisait longtemps que je ne me souvenais plus de mes rêves et là, deux nuits de suite, quelques jours avant le 31, j'arrive à me souvenir. Je vous les raconte donc :

"1. Je suis dans les grands bâtiments d'un établissement scolaire, un lycée ou une université, quand des créatures sortent du sol, des sphères luminescentes vertes avec de courts tentacules qui pendent derrière elles. Elles se mettent à tout détruire et prennent rapidement de l'ampleur. Avec quelques camarades, garçons et filles, je saute par la fenêtre et tombe sur une pelouse. Nous nous dispersons dans la ville et j'apprends bientôt que ces créatures, devenues gigantesques, ravagent la planète entière.

Je me retrouve dans la maison de mon enfance où depuis la terrasse, je vois par la porte ouverte ma mère, plus jeune qu'elle n'est aujourd'hui, occupée à cuisiner. À l'horizon apparaît la lueur verdâtre qui annonce l'arrivée des monstres. Je dis à ma mère que je ne peux pas rester ni l'amener avec moi, je lui souhaite bonne chance, l'embrasse sur la joue et m'enfuis. Elle ne me regarde, indifférente et continue son travail.

Je suis dans la campagne et aux quatre points cardinaux apparaissent des lueurs verdâtres. Je me dis que c'est fini, je n'ai plus d'endroit où aller. J'ai peur, mais ce n'est pas la terreur qui nous étreint dans les cauchemars, plutôt une immense tristesse résignée.

2. Je téléphone en roulant et une voiture de police avec une femme au volant se glisse sur ma droite (j'ai du me déporter). Pour ne pas être vu, je me penche sur la gauche et je tombe bientôt sur la chaussée. Je me relève et la policière arrête son véhicule à ma hauteur pour me demander si je téléphonais. Je me mets debout et lui dis que ma voiture a continué sans conducteur constituant un danger. Je la vois nettement, c'est la même que dans la réalité, qui s'éloigne lentement et je sais que plus loin il y a un virage serré. L'agent me dit de monter avec elle. Je m’exécute et bientôt nous arrivons au dit virage où il y a plein de monde. Je redoute que cela soit du à un accident dont je pourrai être responsable. Dans l'eau transparente, il y a bien une voiture mais c'est une Peugeot 106 blanche qui n'a rien a voir avec la mienne qui a sagement finit sa course au bord de la route et les gens sont des promeneurs. La policière me dit qu'il y ici une voiture que personne ne réclame et qu'elle veut bien me la donner. J'accepte et nous montons dedans, une fois à l'intérieur je constate que c'est un modèle commerciale sans sièges à l'arrière. Je lui dis que c'est d'autant mieux et que je pourrais transporter des choses volumineuses. Ma passagère sort son bloc-notes et me précise que je dois d'abord payer mon amende pour mon comportement de tout à l'heure."

Voilà, je sais que cela n'a pas grand intérêt mais j'avais envie de les raconter. Si un psy passe par là...

03/01/2016

Pour bien commencer l'année

Funniest Moments of Illegal Migrants

via AMOUR, ABSINTHE, REVOLUTION

 

 

31/12/2015

2016

Meilleurs vœux à ce qui reste de notre pauvre nation !

 

Meilleurs vœux à "notre camp" !

 

Meilleurs vœux à celles et ceux qui passent (sans animosité) par ici ainsi qu'à leurs proches !

 

The Nebelwerfer in action

Et m..., je crois je deviens dubitatif !

"Je suis Charlie"? Et Wolfgang Fröhlich, en prison depuis 10 ans pour délit d'opinion...

 

Histoire... (131)

« Le 5 août 1936, Jesse Owens, un jeune athlète noir, était sacré champion olympique du 200m à Berlin devant un parterre de nazis et leur chef suprême, Adolf Hitler. Lors de ces Jeux, il obtint 4 médailles d’or (100m, longueur, 200m, 4x100m), devenant un mythe et un exemple pour le monde entier. »

Le film Race de Stephen Hopkins qui sortira prochainement nous raconte donc les exploits sportifs de Jesse Owens. Je me demande quel traitement sera réservé à la vérité historique, la bande-annonce ne me disant rien qui vaille. Si la réalisation insiste sur la ségrégation aux USA, elle se devra d'utiliser les grosses ficelles pour le IIIe Reich afin de faire tout de même la différence en faveur de la démocratie.

Un extrait de l'article consacré à l'athlète sur Wikipédia, qui n'est pourtant pas contrôlé par les sbires du Dr Goebbels, loin s'en faut, nous rappelle que les années 30 n'étaient pas vraiment ce qu'on croit généralement :

« Une des légendes qui entourent la participation d'Owens aux Jeux raconte qu'Hitler, furieux de voir un Noir triompher, aurait refusé de lui serrer la main.

En fait, le 2 août, Hitler reçoit dans sa loge des athlètes allemands vainqueurs des épreuves du jour pour les féliciter, puis il quitte le stade avant que l'Afro-Américain Cornelius Johnson, qui a remporté le concours du saut en hauteur, ne reçoive sa médaille. Les officiels font alors savoir au chancelier allemand qu'il doit, soit féliciter tous les vainqueurs, soit n'en féliciter aucun. Hitler choisit de ne plus en féliciter aucun et rien n'indique que cette décision ait pu viser Owens en particulier.

Owens, pour sa part, affirma dans ses mémoires qu'Hitler ne l'avait pas snobé et lui avait fait un signe de la main lorsqu'il était passé devant sa loge : « Quand je suis passé devant le chancelier, il s’est levé, a agité la main vers moi, et je lui ai fait un signe en retour. Je pense que les journalistes ont fait preuve de mauvais goût en critiquant l’homme du moment en Allemagne » (« When I passed the Chancellor he arose, waved his hand at me, and I waved back at him. I think the writers showed bad taste in criticising the man of the hour in Germany. »). Et Jesse Owens ajoute à ce propos : « Hitler ne m'a pas snobé, c'est Roosevelt qui m'a snobé », ajoutant également « Après ces histoires d'Hitler qui m'aurait snobé, à mon retour aux États-Unis, je ne pouvais pas m'asseoir à l'avant des autobus, je devais m'asseoir à l'arrière, je ne pouvais pas vivre là où je le voulais », pointant du doigt la ségrégation raciale aux États-Unis de l'époque.

En 2009, le journaliste sportif allemand Siegfried Mischner affirme que Jesse Owens avait en sa possession une photo de lui-même serrant la main à Adolf Hitler, et dit par ailleurs avoir assisté en personne à la poignée de main, mais que la presse avait alors décidé de ne pas publier la photo pour ne pas donner une image positive du dirigeant du Troisième Reich. »